wm m ml BABBI EHXKU flffi rnmmm Hoi m u\ ffiEBlA in 9n HT 0JHH i IK JHH Hfln BHfa 1 mi Site Mllflfi mm H nui im fti HBDD sBM, H Weil v nil RinHIll JISS8I m n ■ ii ■riilr MIHlBUn H Hi Si JfflWl «Hf BSflB|HtfHI|HlIBffffl HH ■■■I huh Hsi Sml dp IBBuIlralBifBitntsix] HBIBIIB ' ' = '-'" x is .- \ * - $ %. tf = S -K &■ V '*, <£*. % 4 -r <^, *■ •>»> *+ «? & ">. <\ v- K aN W nS ^ % C^v *■ ^ ">. *i <^ KET TO THE EXERCISES IN OLLENDORFF'S NEW METHOD A " LEARNING TO READ, WRITE, AND SPEAK THE FRENCH LANGUAGE. REVISED EDITION NEW- YORK: D. APPLETON & COMPANY, 200 BROADWAY. 1851. \S5\oo/ Entered, according to the Act of Congress, in the year 1846, By D. APPLETON & COMPANY, In the Clerk's Office of the District Coon of the United States for the Southern District of New York. PREFACE. I did not at first intend to publish the Key to the exer- cises contained in my Method ; but experience has con- vinced me that such a book is always of great utility to the learners. Besides, I have received so many encoura- ging commendations from persons who have been enabled through the medium of my German Method, and the Key to the Exercises, to acquire that language without the aid of a master, that I feel it incumbent upon me to publish also a Key to my French Method. It may perhaps be necessary to remind the learner who studies without the assistance of a teacher, that he should on no account consult the Key till he has well considered and carefully corrected the sentences which are to be com pared with it. H. G. Ollendorff. KEY TO THE EXERCISES. 1. — Premier Thime. Avez-vous le pain? — Oui, Monsieur, j'ai le pain. — Avez- vous votre pain ? — J'ai mon pain. — Avez-vous le balai ? — J'ai le balai. — Avez-vous mon balai ? — J'ai votre balai. — Avez-vous le savon ?- — J'ai le savon. — Avez-vous votre savon ? — J'ai mon savon. — Quel savon avez-vous ? — J'ai votre savon. — Avez-vous votre sucre ? — J'ai mon sucre. — Quel sucre avez-vous ? — J'ai votre sucre. — Quel papier avez-vous ? — J'ai mon papier. — Avez- vous mon papier ? — J'ai votre papier. — Quel pain avez-vous ? — J'ai mon pain. — Quel balai avez-vous ? — J'ai votre balai. 2. — Deuxieme Theme, Avez-vous mon beau cheval? — Oui, Monsieur, je l'ai. — Avez- vous mon vieux Soulier? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Quel chien avez-vous ? — J'ai votre joli chien. — Avez-vous mon mauvais papier? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Avez-vous le bon drap ? — Oui, Monsieur, je l'ai. — Avez-vous mon vilain fusil? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Quel fusil avez-vous ? — J'ai votre beau fusil. — Quel bas avez-vous ? — J'ai le bas de fil — Avez-vous mon bas de fil ? — Je n'ai pas votre bas de fil. — Quel fusil avez-vous ? — J'ai le fusil de bois. — Avez-vous mon fusil de bois ? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Avez-vous le vieux pain? — Je n'ai pas le vieux pain. — Quel Soulier avez- vous ? — J'ai mon beau Soulier de cuir. — Quel savon avez-vous ? — J'ai mon vieux savon. — Quel sucre avez-vous ? — J'ai votre bon sucre. — Quel sei avez-vous? — J'ai le mauvais sel — Que* 1* EXERCISES III, IV. chapeau avez-vous? — J'ai mon mauvais chapeau de papier.—- Avez-vous mon vilain Soulier de bois ? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. 3. — Troisiime Theme. Avez-vous mon bon irin ? — Je l'ai. — t^vez-vous Tor ? — Je ne l'ai pas. — Avez-vous l'argent? — Je l'ai — Avez-vous le ruban d'or ? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Avez-vous votre chan- delier d'argent? — Oui, Monsieur, je l'ai. — Qu'avez-vous ? — J'ai le bon fromage. J'ai mon habit de drap. — Avez-vous mon bouton d'argent? — Je ne l'ai pas. — Quel bouton avez-vous ? — J'ai votre bon bouton d'or. — Quel cordon avez-vous ? — J'ai le cordon d'or. — Avez-vous quelque chose ? — J'ai quelque chose. — Qu'avez-vous ? — J'ai le bon pain. J'ai le bon sucre. — Avez- vous quelque chose de bon? — Je n'ai rien de bon. — Avez-vous quelque chose de beau ? — Je n'ai rien de beau. J'ai quelque chose de vilain. — Qu'avez-vous de vilain ? — J'ai le vilain chien. — Avez-vous quelque chose de joli? — Je n'ai rien de joli. J'ai quelque chose de vieux. — Qu'avez-vous de vieux? — J'ai le vieux fromage. — Avez-vous faim? — J'ai faim. — Avez-vous soif? — Je n'ai pas soif. — Avez-vous sommeil? — Je n'ai pas sommeil. — Qu'avez-vous de beau? — J'ai votre beau chien. — Qu'avez-vous de mauvais ? — Je n'ai rien de mauvais. — Quel papier avez-vous ? — J'ai votre bon papier. — Avez-vous le beau cheval ? — Oui, Monsieur, je l'ai. — Quel Soulier avez-vous ? — J'ai mon vieux Soulier de cuir. — Quel bas avez-vous ? — J'ai votre beau bas de fil. 4. — Quatrieme TMme. Avez-vous ce livre ? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. — Quel livre avez-vous? — J'ai celui — Votre frere a-t-il vos bis- cuits ou les miens ? — II n'a ni les votres ni les miens. — Quels biscuits a-t-il? — II a les siens. — Quels chevaux votre ami a-t-il ? — II a ceux que j'ai. — Votre ami a-t-il mes livres ou les siens ? — II n'a ni les votres ni les siens ; mais il a ceux du capitaine. — Ai-je vos gilets ou ceux des tailleurs ?— Vous n'avez ni ceux-ci ni ceux-la. — Ai-je nos anes ? — Vous n'avez pas les notres, mais ceux de nos voisins. — Avez-vous les oiseaux des matelots ? — Je n'ai pas leurs oiseaux, mais leurs beaux batons. — Quels bijoux votre garcon a-t-il ? — II a les miens. — Ai-je mes souliers ou ceux des cordonniers ? — Vous n'avez pas les votres, mais les leurs. 19# — Dix-neuvieme Thime. Quel papier l'homme a-t-il? — II a le notre. — A-t-il notre cafe ? — II ne Fa pas. — Avez-vous nos habits ou ceux des etran- gers ? — Je n'ai pas les votres, mais les leurs. — Votre charpen- tier a-t-il nos marteaux ou ceux de nos amis ? — II n'a ni les notres ni ceux de nos amis. — Quels clous a-t-il ? — II a ses bons clous de fer. — Quelqu'un a-t-il les vaisseaux des Anglais ? — Personne n'a ceux des Anglais, mais quelqu'un a ceux des Francais. — Qui a les poulets du cuisinier? — Personne n'a ses poulets, mais quelqu'un a son beurre. — Qui a son fromage ? — Son garcon l'a. — Qui a mon vieux fusil? — Le matelot l'a. — Ai-je le sac de ce paysan-la ? — Vous n'avez pas son sac, mais son grain. — Quels fusils 1' Anglais a-t-il ? — II a ceux que vous avez. — Quels parapluies le Francais a-t-il ? — II a ceux que son ami a. — A-t-il nos livres ? — II n'a pas les notres, mais ceux que son voisin a. — Le garcon du marchand a-t-il faim ? — II 16 EXERCISES XX, XXI. n'a pas faim, mais soif. — Yotre ami a-t-il froid ou chaud ? — II n'a ni froid ni chaud. — A-t-il peur? — II n'a pas peur, mais honte. — Le jeune homme a-t-il les balais de nos domestiques? — II n'a pas leurs balais, mais leur savon. — Quels crayons a-t-il? — II a ceux de ses vieux marchands. — Avez-vous quel- que chose de bon ou de mauvais ? — Je n'ai rien de bon ni de mauvais, mais quelque chose de beau. — Qu'avez vous de beau ? — J'ai le beau boeuf de nos cuisiniers. — N'avez-vous pas leur beau mouton? — Non, Monsieur, je ne l'ai pas. 20. — Vingtieme Theme. Avez-vous mes beaux verres ? — Je les ai. — Avez-vous les beaux chevaux des Anglais ? — Je ne les ai pas. — Quels batons avez-vous ? — J'ai ceux des etrangers. — Qui a mes petits pei- gnes ? — Mes garcons les ont. — Quels couteaux avez-vous ? — J'ai ceux de vos amis. — Ai-je vos bons fusils ? — Vous ne les avez pas, mais vos amis les ont. — Avez-vous mes jolis pistolets ou ceux de mes freres ? — Je n'ai ni les votres, ni ceux de vos freres, mais les miens. — Quels vaisseaux les Allemands ont- ils ? — Les Allemands n'ont pas de vaisseaux. — Les matelots ont-ils nos beaux matelas ? — lis ne les ont pas. — Les cuisiniers les ont-ils ? — lis les ont. — Le capitaine a-t-il vos jolis livres ? — II ne les a pas. — Les ai-je? — Vous les avez. Vous ne les avez pas. — L'ltalien les a-t-il ? — II les a. — Les Turcs ont-ils nos beaux fusils ? — lis ne les ont pas. — Les Espagnols les ont- ils ? — lis les ont. — L'Allemand a-t-il les jolis parapluies des Espagnols ? — II les a. — Les a-t-il ? — Oui, Monsieur, il les a. — L'ltalien a-t-il nos jolis gants ? — II ne les a pas. — Qui les a ? — Le Turc les a. — Le tailleur a-t-il nos gilets ou ceux de nos amis ? — II n'a ni ceux-ci ni ceux-la. — Quels habits a-t-il ? — II a ceux qu'ont les Turcs. — Quels chiens avez-vous ? — J'ai ceux qu'ont mes voisins. 21. — Vingt ct unitme Thdmc. Avez-vous du bois ? — J'ai du bois. — Votre frere a-t-il du savon ? — II n'a pas de savon. — Ai-je du mouton ? — Vous n'avez EXERCISE XXII. 17 pas de mouton, mais vous avez du boeuf. — Vos amis ont-ils de l'argent ? — lis ont de l'argent. — Ont-ils du lait ? — lis n'ont pas de lait, mais* ils ont d'excellent beurre. — Ai-je du bois I — Vous n'avez pas de bois, mais vous avez du charbon. — Le marchand a-t-il du drap? — II n'a pas de drap, mais de jolis bas. — Les Anglais ont-ils de Fargent I — Ils n'out pas d'argent, mais ils ont d'excellent fer. — Avez-vous de bon cafe ? — Je n'ai pas de bon cafe, mais d'excellent vin. — Le marchand a-t-il de bons livres ? — II a de bons livres. — Le jeune homme a-t-il du lait? ■ — II n'a pas de lait, mais d'excellent chocolat. — Les Francais ont-ils de bons gants ? — Ils ont d'excellents gants. — Ont-ils des oiseaux ? — Ils n'ont pas d'oiseaux, mais ils ont de jolis bijoux — Qui a les beaux ciseaux des Anglais ? — Leurs amis les ont. — Qui a les bons biscuits des boulangers ? — Les matelots de nos capitaines les ont. — Ont-ils nos porte-feuilles ? — Oui, Mon- sieur, ils les ont. — Les Italiens qu'ont-ils ? — Ils ont de beaux tableaux. — Les Espagnols qu'ont-ils ? — Ils ont de beaux anes. — Les Ailemands qu'ont-ils ? — -lis ont d'excellent grain. 22. — Vingt-deuxieme Theme, Avez-vous des amis ? — J'ai des amis. — Vos amis ont-ils du feu ? — Ils ont du feu. — Les cordonniers ont-ils de bons sou- liers ? — Ils n'ont pas de bons souliers, mais d'excellent cuir. — Les tailleurs ont-ils de bons gilets ? — Ils n'ont pas de bons gilets, mais d'excellent drap. — Le peintre a-t-il des para- pluies ? — II n'a pas de parapluies, mais il a de beaux tableaux. — A-t-il les tableaux des Francais ou ceux des Italiens ? — II n'a ni ceux-ci ni ceux-la. — Lesquels a-t-il ? — II a ceux de ses bons amis. — Les Russes ont-ils quelque chose de bon? — Ils ont quelque chose de bon. — Qu'ont ils de bon ? — Ils ont de bons boeufs. — Quelqu'un a-t-il mes petits peignes ? — Personne ne les a. — Qui a les beaux poulets des paysans ? — Vos cuisi- niers les ont. — Les boulangers qu'ont-ils ? — Ils ont d'excellent pain. — Vos amis ont-ils d^vin vieux? — Ils n'ont pas de vin-^ vieux, mais de bon lait. — Quelqu'un a-t-il vos chandeliers d'or ? —Personne ne les a. 2* 18 EXERCISES XXIII, XXIV. 23. — Vingt-troisidme Tteme. * Avez-vous du sel ? — J'en ai. — Avez-vous du cafe ? — Je n'en ai pas. — Avez-vous de bon vin? — J'en ai de bon. — Avez-vous de bon drap ? — Je n'ai pas de bon drap, mais j'ai de bon papier. — Ai-je de bon sucre ? — Yous n'en avez pas de bon. — L'homme a-t-il de bon miel ? — II en a. — A-t-il de bon fromage ? — II n'en a pas. — L'Americain a-t-il de l'argent? — II en a. — Les Fran- cais ont-ils du fromage ? — lis n'en ont pas. — Les Anglais ont- ils de bon lait ? — lis n'ont pas de bon lait, mais ils ont d'ex- cellent beurre. — Qui a de bon savon? — Le marchand en a. — Qui a de bon pain ? — Le boulanger en a. — L'etranger a-t-il du bois ? — II en a. — A-t-il du charbon ? — II n'en a pas. — Quel riz avez-vous ? — -J'en ai de bon. — Quel foin le cheval a-t-ii ? — II en a de bon. — Quel cuir le cordonnier a-t-il ? — II en a d'excel- lent. — Avez-vous des bijoux? — Je n'en ai pas. — Qui a des bi- joux? — Le marchand en a. — Ai-je des souliers ? — Vouz avez des souliers. — Ai-je des chapeaux? — Vous n'avez pas de cha- peaux. — Votre ami a-t-il de jolis couteaux? — II en a de jolis. — A-t-il de bons boeufs ? — II n'en a pas de bons. — Les Italiens ont-ils de beaux chevaux ? — Ils n'en ont pas de beaux. — Qui a de beaux anes ? — Les Espagnols en ont. 24. — Vingt-quatnime Th&me. Le capitaine a-t-il de bons matelots ? — II en a de bons.— Les matelots ont-ils de bons matelas ?, — Ils n'en ont pas de bons. — Qui a de bons biscuits ? — Le boulanger de notre bon voisin en a. — A-t-il du pain ? — II n'en a pas. — Qui a de beaux rubans ? — Les Francais en ont. — Qui a d'excellents clous de fer ? — Le charpentier en a. — A-t-il des marteaux ? — II en a. — Quels marteaux a-t-il ? — II en a de fer. — Votre frere qu'a-t-il ? — II n'a rien. — A-t-il froid ? — II n'a ni froid ni chaud. — A-t-il peur ? — II n'a pas peur. — A-t-il honte ? — II n'a pas honte. — Qu'a-t-il ? — II a faim. — Qui a de beaux gants ? — J'en ai. — Qui a de beaux tableaux ? — Les Italiens en ont. — Les peintrea ont-ils de beaux jardins ? — Ils en ont de beaux. — Le chapelicr EXERCISE XXV. 19 *-t-il Je bons on de mauvais chapeaux ? — II en a de bons. — Le menuisier a-t-il de bon ou de mauvais bois ? — II en a de bon. — Qui a de jolis porte-feuilles ? — Les garcons de nos mar- chands en ont. — Ont-ils des oiseaux ? — lis n'en ont pas. — Avez-vous du chocolat? — Je n'en ai pas. — Qui en a? — Mon domestique en a. — Yotre domestique a-t-il des balais ? — II n'en a pas. — Qui en a? — Les domestiques de mon voisin en ont 2 5 • — Vingt'Cinquiime Theme . Avez-vous un crayon ? — J'en ai un. — Yotre garcon a-t-il un bon livre ? — II en a un bon. — L'Allemand a-t-il un bon vais- seau ? — II n'en a pas. — Votre tailleur a-t-il un bon habit ? — II en a un bon. II en a deux bons. II en a trois bons. — Qui a de beaux souliers ? — Notre cordonnier en a. — Le capitaine a-t-il un beau chien ? — II en a deux. — Yos amis ont-ils deux beaux chevaux? — lis en ont quatre. — Le jeune homme a-t-il un bon ou un mauvais pistolet ? — II n'en a pas de bon. II en a un mauvais. — Avez-vous un bouchon? — Je n'en ai pas. — Yotre ami a-t-il un bon tire -bouchon ? — II en a deux. — Ai-je un ami? — Yous en avez un bon. Yous avez deux bons amis. Yous en avez trois bons. Yotre frere en a quatre bons. — Le charpentier a-t-il un clou de fer ? — II a six clous de fer. II en a six bons et sept mauvais. — Qui a de bon boeuf ? — Notre cui- sinier en a. — Qui a cinq bons chevaux ? — Notre "*oisin en a six. — Le paysan a-t-il du grain ? — II en a. — A-t-il des fusils ? — II n'en a pas. — Qui a de bons amis ? — Les Turcs en ont. — Ont-ils de l'argent? — lis n'en ont pas. — Qui a leur argent? — Leurs amis l'ont. — Leurs amis ont-ils soif? — lis n'ontpas soif, mais faim. — Le menuisier a-t-il du pain? — II n'en a pas. — Yotre domestique a-t-il un bon balai? — II en a un. — A-t-il ce balai- ci ou celui-la ? — II n'a ni celui-ci ni celui-la. — Quel balai a-t- il ? — II a celui qu'a votre domestique. — Les paysans ont-ils ces sacs-ci ou ceux-la ? — lis n'ont ni ceux-ci ni ceux-la. — Quels sacs ont-ils ? — lis ont les leurs. — Avez-vous un bon domes- tique ? — J'en ai us. bon. — Qui a un bon cofTre ? — Mon frere en a un.— A-t-il un coffre de cuir ou ur. de bois ? — II en a un do bois. 20 EXERCISES XXVI, XXVII 2 6 • — Vingt-sixidme Thdme. Combien d'amis avez-vous ? — J'ai deux bons amis. — Avez- vous huit bons coffres ? — J'en ai neuf. — Votre domestique a-t-il trois balais ? — II n'en a qu'un bon. — Le capitaine a-t-il deux bons vaisseaux? — II n'en a qu'un. — Combien de marteaux le charpentier • a-t-il ? — II n'en a que deux bons. — Combien de souliers le cordonnier a-t-il ? — II en a dix. — Le jeune homme a-t-il neuf bons livres ? — II n'en a que cinq. — Combien de fusils votre frere a-t-il? — II n'en a que quatre. — Avez-vous beaucoup de pain ? — J'en ai beaucoup. — Les Espagnols ont-ils beaucoup d'argent? — lis n'en ont guere. — Votre voisin a-t-il beaucoup de cafe ? — II n'en a qu'un peu. — L'etranger a-t-il beaucoup de grain ? — II en a beaucoup. — L'Americain qu'a-t-il ? — II a beau- coup de sucre. — Le Russe qu'a-t-il ? — II a beaucoup de sel. — Le paysan a-t-il beaucoup de riz ? — II n'en a pas. — A-t-il beau- coup de fromage ? — II n'en a guere. — Qu'avons-nous ? — Nous avons beaucoup de pain, beaucoup de vin et beaucoup de livres. — Avons-nous beaucoup d'argent ? — Nous n'en avons guere, mais assez. — Avez-vous beaucoup de freres 1 — Je n'en ai qu'un. — Les Francais ont-ils beaucoup d'amis ? — lis n'en ont guere. Notre voisin a-t-il beaucoup de foin ? — II en a assez. — L'ltalien a-t-il beaucoup de fromage ? — II en a beaucoup. — Cet homme a-t-il du cceur? — II n'en a pas. — Le garcon du peintre a-t-il des crayons ? — II en a. 27. — Vingt-septi&me Thdme. Avez vous beaucoup de poivre ? — Je n'en ai guere. — Le cui- sinier a-t-il beaucoup de boeuf ? — II n'a guere de boeuf, mais il a beaucoup de mouton. — Combien de bceufs l'AUemand a-t-il ? — II en a huit. — Combien de clievaux a-t-il ? — II n'en a que quatre. — Qui a beaucoup de biscuits? — Nos matelots en ont beaucoup. — Avons-nous beaucoup de billets ? — Nous n'en avons guere. — Combien de billets avons-nous? — Nous n'en avons que trois jolis. — Avez-vous trop de bcurre ? — Je n'en ai pas assez. — Nos garcons ont-ils trop de livres ? — lis en ont EXERCISE XXVIII. 21 trop. — Notre ami a-t-il trop de lait? — II n'en a guere, mais assez. — Qui a beaucoup de miel ? — Les paysans en ont beau- coup. — Ont-ils beaucoup de gants ? — lis n'en ont pas. — Le cuisinier a-t-il assez de beurre ? — II n'en a pas assez. — A-t-il assez de vinaigre ? — II en a assez. — Avez-vous beaucoup de savon ? — Je n'en ai qu'un peu. — Le marchand a-t-il beaucoup de drap ? — II en a beaucoup. — Qui a beaucoup de papier ? — Notre voisin en a beaucoup. — Notre tailleur a-t-il beaucoup de boutons ? — II en a beaucoup. — Le peintre a-t-il beaucoup de jardins ? — II n'en a pas beaucoup. — Combien de jardins a-t-il ? — II n'en a que deux. — Combien de couteaux l'Allemand a-t-il ? — II en a trois. — Le capitaine a-t-il de beaux chevaux ? — II en a de beaux, mais son frere n'en a pas. — Avons-nous des bi- joux? — Nous en avons beaucoup. — Quels bijoux avons-nous? — Nous avons des bijoux d'or. — Quels chandeliers nos amis ont-ils ? — lis ont des chandeliers d'argent. — Ont-ils des rubans d'or ? — lis en ont. 2 8* — Vingt-huiti£me TMme . L'adolescent a-t-il de jolis batons ? — II n'a pas de jolis batons, mais de beaux oiseaux. — Quels poulets notre cuisinier a-t-il ? — II a de jolis poulets. — Combien en a-t-il? — II en a six. — Le chapelier a-t-il des chapeaux? — II en a beaucoup. — Le menui- sier a-t-il beaucoup de bois ? — II n'en a pas beaucoup, mais assez. — Avons-nous les chevaux des Francais ou ceux des Allemairds ? — Nous n'avons ni ceux-ci ni ceux-la. — Quels chevaux avons-nous ? — Nous avons les notres. — Le Turc a-t-il mes petits peignes ? — II ne les a pas. — Qui les a? — Votre garcon les a. — Nos amis ont-ils beaucoup de sucre ? — lis ont peu de sucre, mais beaucoup de miel. — Qui a nos miroirs ? — Les Italiens les ont. — Le Francais a-t-il ce porte-feuille-ci ou celui-la? — II n'a ni celui-ci ni celui-la. — A-t-il les matelas que nous avons ? — II n'a pas ceux que nous avons, mais ceux que ses amis ont. — A-t-il honte ? — II n'a pas honte, mais peur. 22 EXERCISES XXIX, XXX. 29. — Vingt-neuvidme Thime. Avez-vous beaucoup de couteaux? — J'en ai quelques-uns. — Avez-vous beaucoup de crayons 1 — Je n'en ai que quelques- uns. — L'ami du peintre a-t-il beaucoup de miroirs ? — II n'en a que quelques-uns. — Yotre garcon a-t-il quelques sous ? — II en a quelques-uns. — Avez-vous quelques francs 1 — Nous en avons quelques-uns. — Combien de francs avez-vous 1 — J'en ai dix. — Combien de sous l'Espagnol a-t-il 1 — II n'en a guere, il n'en a que cinq. — Qui a les beaux verres des Italiens 1 — Nous les avons. — Les Anglais onv-ils beaucoup de vaisseaux? — lis en ont beaucoup. — Les Italiens ont-ils beaucoup de chevaux? — lis n'ont pas beaucoup de chevaux, mais beaucoup d'anes. — Les Allemands qu'ont-ils ? — lis ont beaucoup d'ecus. — Com- bien d'ecus ont-ils ? — lis en ont onze. — Avons-nous les che- vaux des Anglais ou ceux des Allemands ? — Nous n'avons ni ceux-ci ni ceux-la. — Avons-nous les parapluies des Espagnols? — Nous ne les avons pas, mais les Americains les ont. — Avez- vous beaucoup de beurre ? — Je n'en ai guere, mais assez. — Les matelots ont-ils les matelas que nous avons ? — lis n'ont pas ceux que nous avons, mais ceux que leur capitaine a. — Le Francais a-t-il beaucoup de francs ? — II n'en a que quelques- uns, mais il en a assez. — Yotre dome stique a-t-il beaucoup do sous ? — II n'a pas de sous, mais assez de francs. 30. — Trentidme TMme. Les Russes ont-ils du poivre ? — lis n'ont guere de poivre. mais beaucoup de sel. — Les Turcs ont-ils beaucoup de vin ? — lis n'ont guere de vin, mais beaucoup de cafe. — Qui a beau- coup de lait ? — Les Allemands en ont beaucoup. — N'avez-vous pas d'autre fusil ? — Je n'en ai pas d'autre. — Avons-nous d'autre fromage ? — Nous en avons d'autre. — N'ai-je pas d'autre pisto- let? — Yous en avez un autre. — Notre voisin n'a-t-il pas d'autre cheval ? — II n'en a pas d'autre. — Votre frere n'a-t-il pas d'autres amis? — II en a d'autres. — Les cordonniers n'ont-ils pas d'autres souliers ? — lis n'en ont pas d'autres. — Les taillcurs ont-ils beau- EXERCISE XXXI. 23 coup d'habits ? — lis n'en ont que quelques-uns, ils n'en ont que quatre. — Combien de bas avez-vous ? — Je n'en ai que deux.— Avez-vous d'autres biscuits? — Je n'en ai pas d'autres. — Com- bien de tire-bouchons le marchand a-t-il ? — II en a neuf. — Combien de bras cet homme-ci a-t-il ? — II n'en a qu'un, l'autre est de bois. — Quel coeur votre garcon a-t-il ? — II a un bon coeur. — N'avez-vous pas d'autre domestique ? — J'en ai un autre. — Votre ami n'a-t-il pas d'autres oiseaux ? — II en a d'autres. — Combien d'autres oiseaux a-t-il ? — II en a six autres. — Combien de jardins avez-vous ? — Je n'en ai qu'un, mais mon ami en a deux. 31 • — Trente et uniime Thime. Quel volume avez-vous ? — J'ai le premier. — Avez-vous le second volume de mon ouvrage ? — Je 1'ai. — Avez-vous le troi- sieme ou le quatrieme livre ? — Je n'ai ni ceiui-la ni celui-ci. — Avons-nous le cinquieme ou le sixieme volume ? — Nous avons le cinquieme volume, mais nous n'avons pas le sixieme. — Quels volumes votre ami a-t-il ? — II a le septieme volume. — Quel jour du mois avons-nous ? — Nous avons le huit. — N'av^ns-nous pas le onze ? — Non, Monsieur, nous avons le dix. — Qui a nos ecus ? — Les Russes les ont. — Ont-ils notre or ? — Ils ne l'ont pas. — L'adolescent a-t-il beaucoup d'argent? — II n'a guere d'argent, mais beaucoup de courage. — Avez-vous les clous des charpentiers ou ceux des menuisiers ? — Je n'ai ni ceux des charpentiers, ni ceux des menuisiers, mais ceux de mes mar- chands. — Avez-vous ce gant-ci ou celui-la? — Je n'ai ni celui- ci ni celui-la. — Votre ami a-t-il ces billets-ci ou ceux-la ? — II a ceux-ci, mais non ceux-la. — L'ltalien a-t-il quelques sous ? — II en a quelques-uns. — A-t-il quelques francs ? — II en a cinq. — Avez-vous un autre baton ? — J'en ai un autre. — Quel autre baton avez-vous ? — J'ai un autre baton de fer. — Avez-vous quelques bons chandeliers? — Nous en avons quelques-uns. — Votre garcon a-t-il un autre chapeau? — II en a un autre. — Ces hommes ont-ils du vinaigre ? — Ces hommes n'en ont pas, mais leurs amis en ont. — Les paysans ont-ils d'autres sacs ? — Ils n'en ont pas d'autres. — Ont-ils d'autre pain ? — Ils en ont d'autre 24 EXERCISES XXXII XXXIII. 32. — Trente-deuxieme TMme. Quel volume de son ouvrage avez-vous ? — J'ai le premier. — Combien de tomes cet ouvrage a-t-il ? — II en a deux. — Avez- vous mon ouvrage ou celui de mon frere ? — J'ai Tun et Fautre. — L'etranger a-t-il mon peigne ou mon couteau? — II a Fun et l'autre. — Avez-vous mon pain ou mon fromage ? — Je n'ai ni l'un ni l'autre. — Le Hollandais a-t-il mon verre ou celui de mon ami ? — II n'a ni Fun ni l'autre. — L'Irlandais a-t-il nos chevaux ou nos coffres ? — II a les uns et les autres. — L'Ecossais a-t-il nos souliers ou nos bas ? — II n'a ni les uns ni les autres. — Qu'a-t-il ? — II a ses bons fusils de fer. — Les Hollandais ont ils nos vaisseaux ou ceux des Espagnols ? — lis n'ont ni les uns ni les autres. — Quels vaisseaux ont-ils ? — Ils ont les leurs. — Avons-nous encore du foin ? — Nous en avons encore. — Notre marchand a-t-il encore du poivre ? — II en a encore. — Votre ami a-t-il encore de l'argent? — II n'en a plus. — A-t-il encore des bijoux? — II en a encore. — Avez-vous encore du cafe? — Nous n'avons plus de cafe ; mais nous avons encore du choco- lat. — Ler Hollandais a-t-il encore du sel ? — II n'a plus de sel ; mais il a encore du beurre. — Le peintre a-t-il encore des ta- bleaux ? — II n'a plus de tableaux ; mais il a encore de? crayons. — Les matelots ont-ils encore des biscuits ? — Ils n'en ont plus. — Yos garcons ont-ils encore des livres? — Ils n'en ont plus. — Le jeure homme a-t-il encore des amis ? — II n'en a plus. 33. — Trente-troisitme Theme . Notre cuisinier a-t-il encore beaucoup de boeuf ? — II n'en a plus guere. — A-t-il encore beaucoup de poulets ? — II n'en a plus guere. — Le paysan a-t-il encore beaucoup de lait? — II n'a plus guere de lait ; mais il a encore beaucoup de beurre. — Les Francais ont-ils encore beaucoup de chevaux ? — Ils n'en ont plus guere. — Avez-vous encore beaucoup de papier? — J 'en ai encore beaucoup. — Avons-nous encore beaucoup de miroirs ? — Nous en avons encore beaucoup. — Avez-vous encore un livre ? — J'en ai encore un. — Nos voisins ont-ils encore un jar- EXERCISE XXXIV. 25 dm ? — lis en ont encore un. — Notre ami a-t-il encore un para pluie ? — II n'en a plus. — Les Ecossais ont-ils encore quelques livres ? — lis en ont encore quelques-uns. — Le tailleur a-t-il encore quelques boutons ? — II n'en a plus. — Yotre charpentier a-t-il encore quelques clous ? — II n'a plus de clous ; mais il a encore quelques batons. — Les Espagnols ont-ils encore quel ques sous ? — lis en ont encore quelques-uns. — L'Allemand a-t-il encore quelques bceufs ? — II en a encore quelques-uns. — Avez-vous encore quelques francs ? — Je n'ai plus de francs . mais j'ai encore quelques ecus. — Qu'avez-vous encore ? — Nou? avons encore quelques vaisseaux et quelques bons matelots. — Ai-je encore un peu d'argent ? — Yous en avez encore un peu. — Avez-vous encore du courage ? — Je n'en ai plus. — Avez* vous* encore beaucoup de vinaigre ? — Je n'en ai plus guere; mais mon frere en a encore beaucoup. 34. — Trente-quatriime Thime. A-t-il assez de sucre ? — II n'en a pas assez. — Avons-nous assez de francs ? — Nous n'en avons pas assez. — Le menuisier a-t-il assez de bois ? — II en a assez. — A-t-il assez de mar- teaux? — II en a assez. — Quels marteaux a-t-il? — II a deg marteaux de fer et de bois. — Avez-vous assez de riz ? — Nous ti'avons pas assez de riz, mais nous avons assez de sucre. — Avez-vous encore beaucoup de gants ? — Je n'en ai plus guere. — Le Russe a-t-il un autre vaisseau? — II en a un autre. — A-t-il an autre sac ? — II n'en a pas d'autre. — Quel jour du mois est- ce ? — C'est le six. — Combien d'amis avez-vous ? — Je n'ai qu'un Don ami. — Le paysan a-t-il trop de pain ? — II n'en a pas assez. A-t-il beaucoup d'argent ? — II n'a guere d'argent, mais assez de /oin. — Avons-nous les bas de fil ou les bas de coton des Ameri- <;ains ? — Nous n'avons ni leurs bas de fil ni leurs bas de coton. —Avons-nous les jardins qu'ils ont? — Nous n'avons pas ceux ^u'ils ont, mais ceux que nos voisins ont. — Avez-vous encore iumiel? — Je n'en ai plus. — Avez-vous encore des bceufs?— Je n'en ai plus. 3 26 EXERCISES XXXV, XXXVI. 35. — Trente-cinquidme Theme. Avez-vous un cheval? — J'en ai plusieurs. — A-t-il plusieurs habits ? — II n'en a qu'un. — Qui a plusieurs miroirs ? — Mon frere en a plusieurs. — Quels miroirs a-t-il ? — II en a de beaux. — Qui a mes bons gateaux? — Plusieurs hommes les ont. — Votre ami a-t-il un enfant? — II en a plusieurs. — Avez-vous autant de cafe que de the ? — J'ai autant de Tun que de l'autre — Cet homme-ci a-t-il un tils ? — II en a plusieurs. — Combien de fils a-t-il? — II en a quatre. — Combien d'enfants nos amis ont-ils ? — lis en ont beaucoup ; ils en ont dix. — Avons-nons autant de pain que de beurre ? — Yous avez autant de Tun que de l'autre. — Cet homme-ci a-t-il autant d'amis que d'ennemis ? — II a autant des uns que des autres. — Avons-nous autant de souliers que de bas ? — Nous avons autant des uns que des autres. — -Votre pere a-t-il autant d'or que d'argent? — II a plus de celui-ci que de celui-la. — Le capitaine a-t-il autant de matelots que de vaisseaux ? — II a plus de ceux-ci que de ceux- la. II a plus des uns que des autres. *SG, — Trent e-sixieme Theme. Avez-vous autant de fusils que moi ? — J'en ai tout autant. — L'etranger a-t-il autant de courage que nous ? — II en a tout autant. — Avons-nous autant de bon que de mauvais papier ? — Nous avons autant de l'un que de l'autre. — Nos voisins ont-ils autant de fromage que de lait ? — Ils ont plus de celui-ci que de celui-la. — Vos fils ont-ils autant de gateaux que de livres ? — Ils ont plus de ceux-ci que de ceux-la, plus des uns que des autres. — Combien de nez l'homme a-t-il? — II n'en a qu'un. — Combien de doigts a-t-il ? — II en a plusieurs. — Combien de pistolets avez-vous ? — Je n'en ai qu'un, mais mon pere en a plus que moi ; il en a cinq. — Mes enfans ont-ils autant de courage que les votres ? — Les votres en ont plus que les miens. — Ai-je autant d'argent que vous ? — Vous en avez moins que moi. — Avez-vous autan, de livres que moi ? — J'en ai moins que vous. — Ai-je autant d'ennemis que votre pere ? — Yous en ave? EXERCISES XXXVII, XXXVIII. 27 moins que lui. — Les Russes ont-ils autant d'enfants que nous ? — Nous en avons moins qu'eux. — Les Francais ont-ils autant de vaisseaux que nous ? — lis en ont moins que nous. — Avons- nous autant de bijoux qu'eux ? — Nous en avons moins qu'eux. — Avons-nous moins de couteaux que les enfants de nos amis 1 — Nous en avons moins qu'eux. 37. — Trente-septieme Thime. Qui a moins d'amis que nous 1 — Personne n'en a moins. — Avez-vous autant de votre vin que du mien 1 — J'ai autant du votre que du mien. — Ai-je autant de vos iivres que des miens ? — Vous avez moins des miens que des votres. — Le Turc a-t-il autant de votre argent que du sien ? — II a moins du sien que du notre. — Yotre boulanger a-t-il moins de pain que d'argent ? — II a moins de celui-ci que de celui-la. — Notre marchand a-t-il moins de chiens que de chevaux ? — II a moins de ceux-ci que de ceux-la ; moins des uns que des autres. — Vos domestiques ont-ils plus de batons que de balais 1 — lis ont plus de ceux-ci que de ceux-la. — Notre cuisinier a-t-il autant de beurre que de boeuf? — II a autant de l'un que de l'autre. — A-t-il autant de poulcts que d'oiseaux ? — II a plus de ceux-ci que de ceux-la. 38. — Trente-huitiime Theme. Le charpentier a-t-il autant de batons que de clous ? — II a tout autant de ceux-ci que de ceux-la. — Avez-vous plus de biscuits que de verres ? — J'ai plus de ceux-ci que de ceux-la. — Notre ami a-t-il plus de sucre que de miel ? — II n'a pas autant de celui-ci que de celui-la. — A-t-il plus de gants que de para- pluies ? — II n'a pas autant de ceux-ci que de ceux-la. — Qui a plus de savon que moi ? — Mon fils en a plus. — Qui a plus de crayons que vous ?^-Le peintre en a plus. — A-t-il autant de chevaux que moi ? — II n'a pas autant de chevaux que vous ; mais il a plus de tableaux. — Le marchand a-t-il moins de bceufs que nous ? — II a moins de boeufs que nous, et nous avons moins de grain que lui. — Avez-vous un autre billet ? — J'en ai un autre, -—Votre fils a-t-il encore un porte-feuille ? — II en a encore CH EXERCISES XXXIX, XL ^lusieurs. — Les Hollandais ont-ils autant de jardins que nous ? — Nous en avons moins qu'eux. Nous avons moins de pain et moins de beurre qu'eux. Nous n'avons guere d'argent, mais &ssez de pain, de boeuf, de fromage et de vin. — Avez-vous *utant de courage que le fils de notre voisin ? — J'en ai tout nutant. — L'adolescent a-t-il autant de billets que nous ? — Tl en i *out autant. 39. — Trent e-neuviime TMme. Avez-vous encore envie d'acheter le cheval de mon ami ? — r'ai encore envie de l'acheter ; mais je n'ai plus d'argent.— - Ivez-vous le temps de travailler ? — J'ai le temps, mais je n'ai pas envie de travailler. — Votre frere a-t-il le temps de couper ores batons ? — II a le temps d'en couper. — A-t-il envie de couper du pain ? — II a envie d'en couper, mais il n'a pas de couteau. —Avez-vous le temps de couper du fromage ? — J'ai le temps d'en couper. — A-t-il envie de couper l'arbre ? — II a envie de le couper, mais il n'a pas le temps. — Le tailleur a-t-il le temps de couper le drap ? — II a le temps de le couper. — Ai-je le temps de couper les arbres ? — Yous avez le temps de les couper. — Le peintre a-t-il envie d'acheter un cheval? — II a envie d'en acheter deux. — Votre capitaine a-t-il le temps de parler? — II a le temps, mais il n'a pas envie de parler. — Avez- vous peur de parler ? — Je n'ai pas peur, mais j'ai honte de parler. — Ai-je raison d'acheter un fusil? — Vous avez raison d'en acheter un. — Votre ami a-t-il raison d'acheter un grand boeuf ? — II a tort d'en acheter un. — Ai-je raison d'acheter de petits bceufs ? — Vous avez raison d'en acheter. 40. — Quarantidme Thime. Avez-vous envie de parler? — J'ai envie, mais je n'ai pas lc ;ceur de parler. — Avez-vous le courage de couper votre doigt ? — Je n'ai pas le courage de le couper. — Ai-je raison de parler ? — Vous n'avez pas tort de warier, mais vous avez tort de couper mes arbres. — Le fils de votre ami a-t-il envie d'acheter encore un oiseau ? — U a envie d'en acheter encore un. — Avez-vous EXER.ISES XLI, XLII. 2£ envie d'acheter encore quelques chevaux ? — Nous avons envio d'en acheter encore quelques-uns, mais nous n'avons plus d'ar- gent. — Notre tailleur qu'a-t-il envie de raccommoder? — II a envie de raccommoder nos vieux habits. — Le cordonnier a-t-il le temps de raccommoder nos souliers ? — II a le temps, mais il n'a pas envie de les raccommoder. — Qui a envie de raccom- moder nos chapeaux ? — Le chapelier a envie de les raccom- moder. — Avez-vous peur de chercher mon cheval ? — Je n'ai pas peur, mais je n'ai pas le temps de le chercher. — Qu'avez- vous envie d'acheter? — Nous avons envie d'acheter quelque chose de bon, et nos voisins ont envie d'acheter quelque chose de beau. — Leurs enfants ont-ils peur de ramasser des clous ? — lis n'ont pas peur d'en ramasser. — Avez-vous envie de casser mon bijou ? — J'ai envie de le ramasser, mais non pas de le casser. — Ai-je tort de ramasser vos gants ? — Yous n'avez pas tort de les ramasser, mais vous avez tort de les couper. 41, — Quarante et unihne TMme. Avez-vous le coeur de casser ces verres ? — J'ai le courage, mais je n'ai pas envie de les casser. — Qui a envie de casser notre miroir ? — Notre ennemi a envie de le casser. — Les etran- gers ont-ils envie de casser nos pistolets ? — lis ont envie, mais ils n'ont pas le coeur de les casser.— Avez-vous envie de casser le pistolet du capitaine ? — J'ai envie, mais j'ai peur de le cas- ser. — Qui a envie d'acheter mon beau chien ? — Personne n'a envie de l'acheter. — Avez-vous envie d'acheter mes beaux coffres ou ceux du Francais ? — J'ai envie d'acheter les votres et non ceux du Francais. — Quels livres 1' Anglais a-t-il envie d'acheter? — II a envie d'acheter celui que vous avez, celui qu'a votre fils, et celui qu'a le mien. — Quels gants avez-vous envie de chercher ? — J'ai envie de chercher les votres, les miens et ceux de nos enfants. 4:2 • — Quara?ite-deuxidmc Th&me. Quels miroirs les ennemis ont-ils envie de casser ? — Ils on envie de casser ceux que vous avez, ceux que j'ai, et ceux quo 3* 30 EXERCISES XLIII, XLIV. nos enfants et nos amis ont. — Votre pere a-t-il envie d'acheter ces gateaux-ci ou ceux-la ? — II a envie d'acheter ceux-ci. — Ai-je raison de ramasser vos billets ? — Vous avez raison de les ramasser. — L'ltalien a-t-il raison de chercher votre porte- feuille ? — II a tort de le chercher. — Avez-vous envie d'acheter un autre vaisseau? — J'ai envie d'en acheter un autre. — Notre ennemi a-t-il envie d'acheter encore un vaisseau ? — II a envie d'en acheter encore plusieurs, mais il a peur d'en acheter. — Avez-vous deux chevaux ? — Je n'en ai qu'un, mais j'ai envie d'en acheter encore un. 43. — Quarante-troisieme Tkime. Voulez-vous travailler? — Je veux travailler, mais je suis fatigue. — Youlez-vous casser mes verres ? — Je ne veux pas les casser. — Youlez-vous chercher mon fils? — Je veuxle chercher. — Que voulez-vous ramasser? — Je veux ramasser cet ecu et ce franc— Voulez-vous ramasser ce sou-ci ou celui-la? — Je veux ramasser l'un et l'autre. — Yotre voisin veut-il acheter ces peignes-ci ou ceux-la ? — II veut acheter ceux-ci et ceux-la. — Cet homme veut-il couper votre doigt? — II ne veut pas couper le mien, mais le sien. — Le peintre veut-il bruler du papier ? — II veut en bruler. — Le cordonnier que veut-il raccommoder ? — IL veut raccommoder nos vieux souliers. — Le tailleur veut-ii raccommoder quelque chose? — II veut raccommoder des gilets. — Yotre ennemi veut-il bruler son vaisseau ? — II ne veut pas bruler le sien, mais le notre. — Youlez-vous faire quelque chose? — Je ne veux rien faire. — Que voulez-vous faire ? — Nous vou- lons chauffer notre the et le cafe de notre pere. — Youlez-vous chauffer le bouillon de mon frere ? — Je veux le chauffer. — Votre domestique veut-il faire mon feu ? — II veut le faire, mais il n'a pas le temps. 44. — Quarante-quatriime Thdme. Voulez-vous parler ? — Je veux parler. — Votre fils veut-il tra- vailler? — II ne veut pas travailler. — Que veut-il faire? — II veut boire du vin. — Voulez-vous acheter quelque chose ? — Je EXKRCISE XLV. 31 veux acheter quelque chose. — Que voulez-vous acheter?— Je veux acheter des bijoux. — Voulez-vous raccommoder mon linge ? — Je veux le raccommoder. — Qui veut raccommoder les bas de notre fils ? — Nous voulons les raccommoder. — Le Russe veut-il acheter ce tableau-ci ou celui-la ? — II ne veut acheter ni celui-ci ni celui-la. — Que veut-il acheter ? — II veut acheter des vaisseaux. — Quels miroirs 1' Anglais veut-il acheter? — II veut acheter ceux qu'ont les Francais, et ceux qu'ont les Italiens. — Votre pere veut-il chercher son parapluie ou son baton ? — II veut chercher l'un et l'autre. — Voulez-vous boire du vin? — Je veux en boire, mais je n'en ai pas. — Le matelot veut-J boire du lait ? — II ne veut pas en boire, il n*a pas soif. — Le capitaine que veut-il boire ? — II ne veut rien boire. — Le chapelier que veut-il faire ? — II veut faire des chapeaux. — Le charpentier veut-il faire quelque chose ? — II veut faire un grand vaisseau. — Voulez-vous acheter un oiseau ? — Je veux en ache- ter plusieurs. 4 5 . — Quarante-cinquieme Theme. Le Turc veut-il acheter plus de fusils que de couteaux?- -11 veut acheter plus de ceux-ci que de ceux-la. — Combien de balais votre domestique veut-il acheter ? — II veut en acheter trois. — Voulez-vous acheter beaucoup de bas ? — Nous n'en voulons acheter que quelques-uns, mais nos enfants veulent en acheter beaucoup. — Vos enfants veulent-ils chercher les gants que nous avons 1 — lis ne veulent pas chercher ceux que vous avez, mais ceux qu'a mon pere. — Quelqu'un veut-il dechirer votre habit? — Personne ne veut le dechirer. — Qui veut de- chirer mes livres ? — Vos enfants veulent les dechirer. — Chez qui notre pere est-il ? — II est chez son ami. — Chez qui voulez- vous aller ? — Je veux aller chez vous. — Voulez-vous aller chez /noi ? — Je ne veux pas aller chez vous, mais chez mon frere. — Votre pere veut-il aller chez son ami ? — II ne veut pas aller chez son ami, mais chez son voisin. — Chez qui votre fils e?t- il ? — II est chez nous. — Voulez-vous chercher nos chapeaux ou ceux des Hollandais ? — Je ne veux chercher ni les votre ? ni ceux des Hollandais ; mais je veux chercher les miens e ceux de mes bons amis. 32 EXERCISES XLVI, XLV1I. 4:6. — Quarante-sixitme Thhne. Ai-je raison de chauffer votre bouillon? — Vous avez raison de le chauffer. — Mon domestique a-t-il raison de chauffer votre linge ? — II a tort de le chauffer. — A-t-il peur de dechirer votre habit ? — II n'a pas peur de le dechirer, mais de le bruler. — Vos e^fants veulent-ils aller chez nos amis ? — lis ne veulent pas \\ sr chez vos amis, mais chez les notres. — Vos enfants sont- in a la maison ? — lis ne sont pas chez eux, mais chez leurs voisins. — Le capitaine est-il chez lui? — II n'est pas chez lui, mais chez son frere. — L'etranger est-il chez notre frere ? — II n'est pas chez notre frere, mais chez notre pere. — Chez qui l' Anglais est-il ? — II est chez vous. — L'Americain est-il chez nous ? — Non, Monsieur, il n'est pas chez nous, mais chez son ami. — Chez qui l'ltalien est-il ? — II n'est chez personne ; il est chez lui. — Youlez-vous aller a la maison? — Je ne veux pas aller a la maison ; je veux aller chez le flls de mon voisin. — Votre pere est-il chez lui ? — Non, Monsieur, il n'est pas a la maison. — Chez qui est-il I — I] est chez les bons amis de notre vieux voisin. — Voulez-vous aller chez quelqu'un ? — Je ne veux aller chez personne. 47 . — Quarante-septidme Thdme. Ou est votre fils ? — II est chez lui. — Que veut-il faire a la maison? — II veut boire de bon vin. — Votre frere est-il a la maison ? — II n'est pas a la maison, il est chez l'etranger. — Que voulez-vous boire ? — Je veux boire du lait. — L'Allemand que veut-il faire a la maison ? — II veut travailler et boire de bon vin. — Qu'avez-vous a la maison? — Je n'ai rien a la maison. — Le marchand a-t-il envie d'acheter autant de sucre que de the ? — II a envie d'acheter autant de l'un que de l'autre. — Etes- vous fatigue ? — Je ne suis pas fatigue. — Qui est fatigue ? — Mon frere est fatigue. — L'Espagnol a-t-il envie d'acheter autant de chevaux que d'anes ? — II a envie d'acheter plus de ceux-ci que de ceux-la. — Voulez-vous boire quelque chose ? — Je ne veux rien boire. — Combien de poulets le cuisinier veut-il acheter ? EXERCISES XLVIII, XLIX. 33 — II veut en acheter quatre. — Les Francais veulent-ils acheter quelque chose ? — lis ne veulent rien acheter. — L'Espagnol veut-il acheter quelque chose ? — II veut acheter quelque chose, mais il n'a pas d'argent. — Voulez-vous aller chez nos freres? — Je ne veux pas aller chez eux, mais chez leurs enfants. — L'Ecossais est-il chez quelqu'un ? — II n'est chez personne. — Ou est-il ? — II est chez lui. 48. — Quarante-huitiime Thirne. Youlez-vous aller a la maison ? — Je veux y aller. — Votre ills veut-il aller chez moi ? — II veut y aller. — Votre frere est-il chez lui ? — II y est. — Ou voulez-vous aller ? — Je vt.ux aller chez moi. — Yos enfants veulent-ils aller chez moi ? — lis ne veulent pas y aller. — Chez qui voulez-vous porter ce billet ? — Je veux le porter chez mon voisin. — Yotre domestique veut-il porter mon billet chez votre pere ? — II veut l'y porter. — Yotre frere veut-il porter mes fusils chez le Russe ? — II veut les y porter. — Chez qui nos ennemis veulent-ils porter nos pistolets ? — lis veulent les porter chez les Turcs. — Ou le cordonnier veut-il porter mes souliers? — II veut les porter chez vous. — Yeut-il les porter a la maison ? — II ne veut pas les y porter. — Youlez-vous venir chez moi ? — Je ne veux pas y aller. — Ou voulez-vous aller? — Je veux aller chez les bons Anglais. — Les bons Italiens veulent-ils aller chez nous ? — lis ne veulent pas y aller. — Ou veulent-ils aller ! — lis ne veulent aller nulle pait. 49» — Quarante-neuviime Thime. Youlez-vous mener votre fils chez moi ? — Je ne veux pas le mener chez vous, mais chez le capitaine. — Quand voulez-vous le mener chez le capitaine ? — Je veux l'y mener demain. — Youlez-vous mener mes enfants chez le medecin ? — Je veux les y mener. — Quand voulez-vous les y mener ? — Je veux les y mener aujourd'hui. — A quelle heure voulez-vous les y mener? — A deux heures et demie. — Quand voulez-vous envoyer votre domestique chez le medecin? — Je veux l'y envoyer aujour- d'hui. — A quelle heure ? — A dix heures et quart, — Youlez- 34 EXERCISES L, LI. vous aller quelque part? — Je veux aller quelque part. — Ou voulez-vous aller? — Je veux aller chez l'Ecossais. — L'lrlan- dais veut-il venir chez vous ? — II veut venir chez moi. — Votre fils veut-il aller chez quelqu'un? — II veut aller chez quelqu'un. — Chez qui veut-il aller ? — II veut aller chez ses amis. — Les Espagnols veulent-ils aller quelque part ? — lis ne veulent aller nulle part. — Notre ami veut-il aller chez quelqu'un? — II ne veut aller chez personne. 50. — Cinquantieme Thime. Quand voulez-vous mener votre adolescent chez le peintre ? — Je veux l'y mener aujourd'hui. — Ou veut-il porter ces oiseaux ? — II ne veut les porter nulle part. — Voulez-vous mener le medecin chez cet homme ? — Je veux Fy mener. — Quand le medecin veut-il aller chez votre frere ? — II veut y aller au- jourd'hui. — Voulez-vous envoyer un domestique chez moi ? — Je veux y en envoyer un. — Voulez-vous envoyer un enfant chez le peintre ? — Je ne veux pas y en envoyer un. — Chez qui le capitaine est-il ? — II n'est chez personne. — Votre frere a-t-iJ le temps d'aller chez moi ? — II n'a pas le temps d'y aller. — Le Francais veut-il ecrire encore un billet ? — II veut en ecrire encore un. — Votre ami a-t-il envie d'ecrire autant de billets que moi ? — II a envie d'en ecrire tout autant. — Chez qui veut- il les envoyer ? — II veut les envoyer chez ses amis. — Qui veut ecrire de petits billets? — Le jeune homme veut en ecrire. — Voulez-vous porter beaucoup de livres chez mon pere ? — Je ne veux y en porter que quelques-uns. 51. — Ctnquante ct unieme Theme. Voulez-vous envoyer encore un coffre chez notre ami ? — Je veux y en envoyer encore plusieurs. — Combien de chapeaux le chapelier veut-il encore envoyer ? — II veut en envoyer en- core six. — Le tailleur veut-il envoyer autant de souliers que le cordonnier? — II veut en envoyer moins. — Votre fils a-t-il le courage d'aller chez le capitaine ? — II a le courage d'y aller, maisil n'a pas le temps. — Voulez-vous acheter autant de chiens EXERCISES LI1, LIII 35 que le chev r aux ? — Je veux acheter plus le ceux-ci que dc ceu> la. — A quelle heure voulez-vous envoyer votre domes- tique chez le Hollandais ? — Je veux l'y envoyer a six heures moins un quart, — A quelle heure votre pere est-il chez lui ? — [1 est chez lui a midi. — A quelle heure votre ami veut-il ecrire ses billets? — II veut les ecrire a minuit. — Avez-vous peur d'aller chez le capitaine ? — Je n'ai pas peur, mais j'ai honte d y aller. 5 2 . — Cinquante-deuxiime Theme . Le charpentier a-t-il assez d'argent pour acheter un marteau ? — II en a assez pour en acheter un. — Le capitaine a-t-il assez d'argent pour acheter un vaisseau ? — U n'en a pas assez pour en acheter un. — Le paysan a-t-il envie d'acheter du pain ? — II a envie d'en acheter, mais il n'a pas assez d'argent pour en acheter. — Yotre his a-t-il du papier pour ecrire un billet ? — II n'en a pas pour en ecrire un. — Avez-vous le temps de voir mon frere ? — Je n'ai pas le temps de le voir. — Votre pere veut-il me voir ? — II ne veut pas vous voir. — Votre domestique a-t-il un balai pour balayer le plancher ? — II en a un pour le balayer. — Veut-il le balayer ? — II veut le balayer. — Le matelot a-t-il de l'argent pour acheter du chocolat ? — II n'en a pas pour en acheter. — Votre cuisinier a-t-il de l'argent pour acheter du boeuf ? — II en a pour en acheter. — A-t-il de l'argent pour ache- ter des poulets ? — II en a pour en acheter. — Avez-vous assez de sel pour saler mon boeuf? — J'en ai assez pour le saler. — Votre ami veut-il venir chez moi pour me voir? — II ne veut ni aller chez vous, ni vous voir. — Votre voisin a-t-il envie de tuer son cheval ? — II n'a pas envie de le tuer. — Voulez-vous tuer vos amis ? — Je ne veux tuer que mes ennemis. 5 3 • — Cinquante-troisieme Thane . Pouvez-vous me couper du pain ? — Je peux vous en coupe* — Avez-vous un couteau pour m'en couper? — J'en ai un. — Pouvez-vous raccommoder mes gants ? — Je peux les raccom- moder, mais je n'ai pas envie de le faire — Le tailleur peut-il 36 EXERCISKS LIV, LV. me faire un habit ? — II peut vous en faire un. — Voulez-vous parler au medecin ? — Je veux lui parler. — Votre fils veut-il mc^ voir pour me parler? — II veut vous voir pour vous donner un ecu. — Veut-il me tuer ? — II ne veut pas vous tuer ; il ne veut que vous voir. — Le fils de notre vieil ami veut-il tuer un bceuf ? — II veut en tuer deux. — Qui a envie de tuer notre chat ? — Le garcon de notre voisin a envie de le tuer. — Combien d'argent pouvez-vous m'envoyer? — Je peux vous envoyer vingt francs. — Voulez-vous m'envoyer mon tapis ? — Je veux vous l'envoyer. — Voulez-vous envoyer quelque chose au cordonnier? — Je veux lui envoyer mes souliers. — Voulez-vous lui envoyer vos habits ? — Non, je veux les envoyer au tailleur. — Le tailleur peut-il m'envoyer mon habit ? — II ne peut pas vous l'envoyer. — Vos enfants peuvent-ils m'ecrire ? — lis peuvent vous ecrire. — Voulez-vous me preter votre panier ? — Je veux vous le pre- ter. 54. — Cinquante-quatrieme Theme. Avez-vous un verre pour boire votre vin ? — J'en ai un, mais je n'ai pas de vin, je n'ai que du the. — Voulez-vous me donner de l'argent pour en acheter ? — Je veux vous en donner, mais je n'en ai guere. — Voulez-vous me donner ce que vous avez ? — Je veux vous le donner. — Pouvez-vous boire autant de vin que de lait? — Je peux boire autant de l'un que de l'autre. — Notre voisin a-t-il du bois pour faire du feu ? — II en a pour en faire, mais il n'a pas d'argent pour acheter du pain et du beurre. — Voulez- vous lui en preter ? — Je veux lui en preter. — Voulez-vous par- ler a l'Allemand? — Je veux lui parler. — Ou est-il? — II est chez le fils de l'Americain. — L'Allemand veut-il me parler ? — II veut vous parler. — Veut-il parler a mon frere ou au votre ? — II veut parler a l'un et a l'autre. — Les enfants de notre voisin peuvent-ils travailler ? — lis peuvent travailler, mais ils ne veulent pas. 5 5 • — Cinquantc-cinquiemc Theme. Voulez-vous parler aux enfants du Hollandais ? — Je veux eur parler. — Que voulez-vous lour donner ? — Je veux lew EXERCISES LVI, LVJI. 37 donner de bons gateaux. — Voulez-vous leur preter quelque chose ? — Je veux leur preter quelque chose, mais je ne peux leur rien preter ; je n'ai rien. — Le cuisinier a-t-il encore du sel pour saler le boeuf ? — II en a encore un peu. — A-t-il encore du riz ? — II en a encore beaucoup. — Yeut-il m'ei\ donner ? — II veut vous en donner. — Veut-il en donner a mes petits garcons ? — II veut leur en donner. — Yeut-il tucr ce poulet-ci ou celui- la ? — II ne veut tuer ni celui-ci ni celui-la. — Quel boeuf veut-i] tuer ? — II veut tuer celui du bon paysan. — Yeut-il tuer ce bceuf- ci ou celui-la? — II veut tuer Tun et Pautre. — Qui veut nous envoyer des biscuits ? — Le boulanger veut vous en envoyer. — Avez-vous quelque chose a faire ? — Je n'ai rien a faire. 56* — ■ Cinquante-sixieme Theme. Yotre fils qu'a-t-il a faire ? — II a a ecrire a ses bons amis el aux capitaines. — A qui voulez-vous parler? — Je veux parlei aux Italiens et aux Francais. — Youlez-vous leur donner de l'argent? — Je veux leur en donner. — Youlez-vous donner du pain a cet homme ? — Je veux lui en donner. — Youlez-vous lui donner un habit ? — Je veux lui en donner un. — Yos amis veu- lent-ils me donner du cafe ? — lis veulent vous en donner. — Youlez-vous me preter vos livres ? — Je veux vous les preter. — Youlez-vous preter votre matelas a vos voisins ? — Je ne veux pas le leur preter. — Youlez-vous leur preter votre miroir ? — Je veux le leur preter. — A qui voulez-vous preter vos para- pluies ? — Je veux les preter a mes amis. — A qui votre ami veut-il preter son linge ? — II ne veut le preter a personne. 5 7 • — Cinquante-septieme Theme. Youlez-vous m'ecrire ? — Je veux vous ecrire. — Voulez-vous ecrire a l'ltalien? — Je veux lui ecrire. — Yotre frere veut-i] ecrire aux Anglais ? — II veut leur ecrire, mais ils n'ont pas envie de lui repondre. — Youlez-vous repondre a votre ami ? — Je veux lui repondre. — Mais a qui voulez-vous repondre ? — Je veux repondre a mon bon pere. — Ne voulez-vous pas repondre a vos bons amis? — Je veux leur repondre. — Qui veut vous 4 38 EXERCISES LVIII, LIX. ecrire ? — Le Russe veut ru'eVrire. — Voulez-vous lui repondre* — Je ne veux pas lui repondre. — Qui veut ecrire a nos amis ? — Les enfants de notre voisin veulent leur ecrire. — Veulent-ils leur repondre ? — lis veulent leur repondre. — A qui voulez-vous ecrire ? — Je veux ecrire au Russe. — Veut-il vous repondre ? — II veut me repondre, mais il ne peut pas. — Les Espagnols peuvent-ils nous repondre ? — lis ne peuvent pas nous repondre, mais nous pouvons leur repondre. — A qui Voulez-vous envoyer ce billet ? — Je veux l'envoyer au menuisier. 5 8. — Cinquante-huitiSme TMme. Qu'avez-vous a faire ? — J'ai a ecrire. — Qu'avez-vous a ecrire : — J*ai un billet a ecrire. — A qui? — Au charpentier. — Yotre pere qu'a-t-il a boire ? — II a de bon vin a boire. — Votre do- mestique a-t-il quelque chose a boire ? — II a du the a boire. — Le cordonnier qu'a-t-il a faire ? — II a a raccommoder mes sou* liers. — Qu'avez-vous a raccommoder? — J'ai mes bas de fil a raccommoder. — A qui avez-vous a parler? — J'ai a parler au capitaine. — Quand voulez-vous lui parler? — Aujourd'hui. — Ou voulez-vous lui parler ? — Chez lui. — A qui votre frere a-t-il a parler? — II a a parler a votre fils. — L'Anglais qu'a-t-il a faire ? — II a a repondre a un billet. — A quel billet a-t-il a repondre ? — II a a repondre a celui du bon Allemand. — Ai-je a repondre au billet du Francais ? — Yous avez a y repondre. — A quel billet avez-vous a repondre ? — J'ai a repondre a celui de mon bon ami. — Votre pere a-t-il a repondre a un billet? — II a a re- pondre a un billet. — Qui a a repondre a des billets ? — Nos en- fants ont a repondre a quelques-uns. — Voulez-vous repondre aux billets des marchands ? — Je veux y repondre. — Votre frere veut-il repondre a ce billet-ci ou a celui-la ? — II ne veut re- pondre ni a celui-ci ni a celui-la. — Quelqu'un veut-il repondre a mon billet ? — Personne ne veut y repondre. 50. — Cinquantc-nciividme Tlidme. A quels billets votre pere veut-il repondre ? — II ne veut re- pondre qu'a ceux de ses bons amis. — Veut-il repondre a mor EXERCISES LX, LXl. 39 billet ? — II veut y repondre. — Avez-vous a repondre a quel qu'un? — Je n'ai a repondre a personne. — Qui veut repondre a mes billets 1 — Yos amis veulent y repondre. — Avez-vous envie d'aller au bal ? — J'ai envie d'y aller. — Quand voulez-vous y aller ? — Aujourd'hui. — A quelle heure ? — A dix heures et demie. — Quand voulez-vous mener votre garcon au spectacle ? — Je veux l'y mener demain. — A quelle heure voulez-vous l'y mener ? — A six heures moins un quart. — Ou est votre fils 1 — II est au spectacle. — Yotre ami est-il aubal? — II y est. — Ou es le marchand? — II est a son comptoir. — Ou voulez-vous me mener ? — Je veux vous mener a mon magasin. — Ou votre cui- sinier veut-il aller ? — II veut aller au marche. — Yotre frere est- il au marche 1 — II n'y est pas. — Ou est-il 1 — II est dans son magasin. 60. — Soixanti&me Th&me. Ou est le Hollandais ? — II est dans son grenier. — Youlez- vous venir chez moi pour aller au spectacle ? — Je veux aller chez vous, mais je n'ai pas envie d'aller au spectacle. — Ou est FIrlandais ? — II est au marche. — A quel theatre voulez-vous aller? — Je veux aller a celui des Francais. — Youlez-vous aller a mon jardin ou a celui de FEcossais ? — Je ne veux aller m au votre ni a celui de FEcossais ; ye veux aller a celui de FItalien. — Le medecin a-t-il envie d'aller a nos magasins ou a ceux des Hollandais ? — II ne veut aller ni aux votres ni a ceux des Hollandais, mais a ceux des Francais. — Que voulez-vous acheter au marche ? — Je veux achetcr un panier et des tapis. — Ou voidez-vous les porter ? — Je veux les porter a la maison. 61* — Soixante et unidme Thime. Combien de tapis voulez-vous acheter ? — Je veux en achetei deux. — A qui voulez-vous les donner ? — Je veux les donner a mon domestique. — A-t-il envie de balayer le plancher? — II a envie de le faire, mais il n'a pas le temps. — Les Anglais out- ils beaucoup de magasins ? — lis en ont beaucoup. — Les Fran- cais ont-Ls autant de r.hiens que de chats ? — Ils ont plus de 40 EXERCISES LX II, LXIIl ceux-ci que de ceux-la. — Avez-vous beaucoup de fusils dans vos magasins ? — Nous y en avons beaucoup, mais nous n'avons guere de grain. — Youlez-vous voir nos fusils ? — Je veux aller dans vos magasins pour les voir. — Voulez-vous acheter quel- que chose ? — Je veux acheter quelque chose. — Que voulez- vous acheter? — Je veux acheter un porte-feuille, un miroir et un pistolet. — Ou voulez-vous acheter votre cofTre ? — Je veux l'acheter au marche. — Avez-vous autant de vin que de the dans vos magasins ? — Nous avons autant de Tun que de F autre. — Qui veut dechirer mon linge ? — Personne ne veut le dechirer (}%.—<-Soixante-deuxieme Theme. Les Anglais veulent-ils nous donner du pain ? — lis veulenl vous en donner. — Veulent-ils nous donner autant de beurre CjUe de pain ? — lis veulent vous donner plus de celui-ci que de celui-la. — Youlez-vous donner un franc a cet homme ? — Je veux lui en donner plusieurs. — Combien de francs voulez-vous lui donner 1 — Je veux lui en donner cinq. — Les Francais que veulent-ils nous preter ? — lis veulent nous preter beaucoup de livres. — Avez-vous le temps d'ecrire au marchand ? — Je veux lui ecrire, mais je n'ai pas le temps aujourd'hui. — Quand vou- lez-vous repondre a l'Allemand ? — Je veux lui repondre demain. — A quelle heure ? — A huit heures. — Ou l'Espagnol veut-il aller ? — II ne veut aller nulle part. — Yotre domestique veut-il chauffer mon bouillon? — II veut le chauffer. — Veut-il faire mon feu ? — II veut le faire. — Ou le boulanger veut-il aller? — II veut aller au bois. — Ou est l'adolescent ? — II est au theatre. — Qui est au bal du capitaine ? — Nos enfants et nos amis y sont. 6 3« — Soixante-troisieme Thime. Voulez-vous envoyer chercher du sucre ? — Je veux en en- voyer chercher. — Mon fils, veux-tu aller chercher des gateaux? — Oui, mon pere, je veux en aller chercher. — Ou veux-tu aller? — Je veux aller dans le (au) jardin. — Qui est dans le ardin ? — Les enfants de nos amis y sont. — Youlez-vous en- royer chercher le mcdeciii ' — Je veux Tcnvoycr chercher.— EXERCISES LXIV, LXV. 41 Qui veut aller chercher mon frere ? — Mon domestique veut Taller chercher. — Ou est-il ? — II est a son comptoir. — Voulez- vous me donner mon bouillon ? — Je veux vous le donner. — Oil est-il ? — II est au coin du feu. — Youlez-vous me donner de Pargent pour aller chercher du lait ? — Je veux vous en donner pour en aller chercher. — Ou est-votre argent? — II est dans mon comptoir ; voulez-vous Taller chercher ? — Je veux Taller chercher. — Voulez-vous acheter mon cheval? — Je ne puis Tacheter ; je n'ai pas d'argent. — Ou est votre chat? — II est dans le trou. — Dans quel trou est-il ? — Dans le trou du grenier. — Ou est le chien de cet homme ? — II est dans un coin dv vaisseau. — Ou le paysan a-t-il son ble ? — II Ta dans son sac. — A-t-il un chat ? — II en a un. — Ou est-il ? — II est au fond du sac. — Yotre chat est-il dans ce sac ? — II y est. 64. — Soixante-quatriime Theme. Avez-vous quelque chose a faire ? — J'ai quelque chose a faire. — Qu'avez-vous a faire ? — J'ai a raccommoder raes bas et « aller au bout du chemin. — Qui est au bout du chemin ? — Mon pere y est. — Votre cuisinier a-t-il quelque chose a boire ? — II a a boire du vin et de bon bouillon. — Pouvez-vous me donner autant de beurre que de pain ? — Je puis vous donner plus de celui-ci que de celui-la. — Notre ami peut-il boire autant de vin que de cafe ? — II ne peut boire autant de celui-ci que de celui- la. — Avez-vous a parler a quelqu'un ? — J'ai a parler a plusieurs hommes. — A combien d'hommes avez-vous a parler? — J'ai a parler a quatre. — Quand avez-vous a leur parler? — Ce soir. — A quelle heure ? — A neuf heures moins un quart. — Quand pouvez-vous aller au marche ? — Je puis y aller le matin. — A quelle heure ? — A sept heures et demie. — Quand voulez-vous aller chez le Francais ? — Je veux y aller ce soir. — Voulez- vous aller chez le medecin le matin ou le soir ? — Je veux y aller le matin. — A quelle heure ? — A dix heures et quart. 65. — Soixante-cinquieme Thime. Avez-vous a ecrire autant de billets que TAnglais ? — J'en ai i ecrire moins que lui. — Voulez-vous parler a TAllemand ? — Je 42 EXERCISE LXVI. veux lui parler. — Quand voulez-vous lui parler 1 — A present.— Ou est-il ? — II est a l'autre bout du bois. — Voulez-vous aller au marche? — Je veux y aller pour acheter du linge.— -Vos voisins ne veulent-ils pas aller au marche ? — lis ne peuvent pas y aller; ils sont fatigues. — As-tu le courage d'aller au bois le soir ? — J'ai le courage d'y aller, mais pas le soir. — Vos enfants peuvent-ils repondre a mes billets ? — Ils peuvent y repondre. — Que voulez-vous dire au domestique ? — Je veux lui dire de faire le feu et de balayer le magasin. — Voulez-vous dire a votre frere de me vendre son cheval ? — Je veux lui dire de vous le vendre. — Que voulez-vous me dire ? — Je reux vous dire un mot. — Qui voulez-vous voir? — Je veux voir l'Ecossais. — Avez-vous quelque chose a lui dire ? — J'ai quelques mots a lui dire. — Quels livres mon frere veut-il vendre ? — II veut ven- dre les tiens et les siens. 66» — Soixante-sixieme Thime. Voulez-vous me faire un plaisir ? — Oui, Monsieur, lequel ? — Voulez-vous dire a mon domestique de faire le feu ? — Je veux lui dire de le faire. — Voulez-vous lui dire de balayer les magasins ? — Je veux lui dire de les balayer. — Que voulez- vous dire a votre pere ? — Je veux lui dire de vous vendre son cheval. — Voulez-vous dire a. votre fils d'aller chez mon pere ? — Je veux lui dire d'y aller. — Avez-vous quelque chose a me dire ? — Je n'ai rien a vous dire. — Avez-vous quelque chose a dire a mon pere ? — J'ai un mot a lui dire. — Ces hommes veu- lent-ils vendre leurs tapis ? — Ils ne veulent pas les vendre. — Jean, es-tu la? — Oui, Monsieur, j'y suis. — Que vas-tu faire ? — Je vais chez votre chapelier, pour lui dire de raccommoder votre chapeau. — Veux-tu aller chez le tailleur pour lui dire de raccommoder mes habits ? — Je veux y aller. — Voulez-vous aller au marche ? — Je veux y aller. — Votre marchand qu'a-t-il a vendre ? — II a a vendre de beaux gants de peau, des peignes, de bon drap et de beaux paniers de bois. — A-t-il a vendre dea fusils de fer? — II en a a vendre. — Veut-il me vendre ses che- vaux? — II veut vous les vendre. —Avez-vous quelque chose a vendre ? — Je n'ai rien a vendre. EXERCISES LXVII, LXVIII, 43 67. — Soixante-septidme Thdme. Est-il tard ? — II n'est pas tard. — Quelle heure est-il ? — II est midi et un quart. — A quelle heure le capitaine veut-il sortir ? — II veut sortir a huit heures moms un quart. — Qu'allez-vous faire ? — Je vais lire. — Qu'avez-vous a lire 1 — J'ai a lire un bon livre. — Youlez-vous me le preter? — Je veux vous le preter. — Quand voulez-vous me le preter ? — Je veux vous le preter de- main. — Avez-vous envie de sortir ? — Je n'ai pas envie de sortir. — Voulez-vous rester ici, mon cher ami ? — Je ne puis rester ici. — Ou avez-vous a aller ? — J'ai a aller au comptoir. — Quand voulez-vous aller au bal ? — Ce soir. — A quelle heure ? — A minuit. — Allez-vous chez l'Ecossais le soir ou le matin ? — J'y vais le soir et le matin. — Ou allez-vous maintenant ? — Je vais au theatre. — Ou votre fils va-t-il ? — II ne va nulle part ; il va rester a la maison pour ecrire ses billets. — Ou est votre frere ? — II est a son magasin. — Ne veut-il pas sortir ? — Non, Monsieur, il ne veut pas sortir. — Que va-t-il y faire ? — II va ecrire a ses amis. — Youlez-vous rester ici ou la? — Je veux rester la. — Ou votre pere veut-il rester ? — II veut rester la. — Notre ami a-t-il envie de rester dans le jardin ? — II a envie d'y rester. 68» — Soixante-huiti£me Th£me. A quelle heure le Hollandais est-il chez lui ? — II est chez lui tous les soirs a neuf heures et un quart. — Quand votre cui- sinier va-t-il au marche ? — II y va tous les matins a cinq heures et demie. — Quand notre voisin va-t-il chez les Irlandais ? — II y va tous les jours. — A quelle heure ? — A huit heures du matin. — Que voulez-vous acheter ? — Je ne veux rien acheter, mais mon pere veut acheter un boeuf. — Yeut-il acheter ce boeuf-ci ou celui-la ? — II ne veut acheter ni celui-ci ni celui-la. — Lequel veut-il acheter ? — II veut acheter celui de votre ami. — Le mar- chand a-t-il encore un habit a vendre ? — II en a encore un, mais il ne veut pas le vendre. — Cet homme a-t-il encore un couteau a vendre ? — II n'a plus de couteau a vendre ; mais il 44 EXERCISE LXIX. a encore quelques fusils a vendre. — Quand veut-il les vendre ? — II veut les vendre aujourd'hui. — Ou ? — A son magasin. — Voulez-vous voir mon ami ? — Je veux le voir pour le connartre. — Youlez-vous connaitre mes enfants 1 — Je veux les connaitre — Combien d'enfants avez-vous ? — Je n'en ai que deux ; mais mon frere en a plus que moi : il en a six. — Cet homme veut-il boire trop de vin ? — II veut en boire trop. — Avez-vous assez de vin h boire ? — Je n'en ai guere, mais j'en ai assez. — Votre frere veut-il acheter trop de gateaux? — II veut en acheter beaucoup, mais pas trop. 69. — Soixante-neuvidme TMme. Pouvez-vous me preter un couteau ? — Je peux vous en preie* un. — Votre pere peut-il me preter un livre 1 — II peut vous en preter plusieurs. — De quoi avez-vous besoin ? — J'ai besoin d'un bon fusil. — Avez-vous besoin de ce tableau ? — J'en ai besoin. — Votre frere a-t-il besoin d'argent? — II n'en a pas besoin. — A-t-il besoin de souliers ? — II n'en a pas besoin. — De quoi a-t-il be- soin ? — II n'a besoin de rien. — Avez-vous besoin de ces batons? — J'en ai besoin. — Qui a besoin de sucre ? — Personne n'en a besoin. — Quelqu'un a-t-il besoin de poivre ? — Personne n'en a besoin. — De quoi ai-je besoin ? — Vous n'avez besoin de rien. — Votre pere a-t-il besoin de ces tableaux-ci ou de ceux-la ? — II n'a besoin ni de ceux-ci ni de ceux-la. — Avez-vous besoin de moi ? — J'ai besoin de vous. — Quand avez-vous besoin de moi? — A present. — Qu'avez-vous a me dire? — J'ai un mot a vous dire. — Votre flls a-t-il besoin de nous ? — Jl a besoin de vous et de vos freres. — Avez-vous besoin de mes domestiques ? — J'en ai besoin. — Quelqu'un a-t-il besoin de mon frere ? — Personne n'a besoin de lui. — Votre pere a-t-il besoin de quel que chose ? — II n'a besoin de rien. — De quoi l'Anglais a-t-il besoin ? — II a besoin de linge. — N'a-t-il pas besoin de bijoux ? — II n'en a pas besoin. — De quoi le matelot a-t-il besoin ? — II a besoin de biscuits, de lait, de fromage et de beurre. — Allez- vous me dormer quelquc chose ? — Je vais vous donner du pain et du vin. EXERCISES LXX, LXXV^ -, x ^45 70. — Soixante-dixieme Theme. Aimez-vous votre frere? — Je Taime. — Votre frere vous aime- t-il? — II ne m'aime pas. — M'aimes-tu, mon bon enfant? — Je t'aime. — Aimes-tu ee vilain homme ? — Je ne Faime pas. — Qui aimez-vous ? — J'aime mes enfants. — Qui aimons-nous ? — Nous aimons nos amis. — Aimons-nous quelqu'un? — Nous n'aimons personne. — Quelqu'un nous aime-t-il ? — Les Americains nous aiment. — Avez-vous besoin de quelque chose ? — Je n'ai besoin de rien. — De qui votre pere a-t-il besoin ? — II a besoin de son domestique. — De quoi avez-vous besoin? — J'ai besoin du billet. — A\ ez-vous besoin de ce billet-ci ou de celui-la? — J'ai besoin de celui-ci. — Que voulez-vous en faire ? — Je veux l'ouvrir pour le lire. — Votre flls lit-il nos billets ? — II les lit. — Quand les lit-il ? — II les lit quand il les recoit. — Recoit-il autant de billets que moi? — II en recoit plus que vous.— Que me donnez-vous ? — Je ne te donne rien. — Donnez-vous ce livre a mon frere ? — Je le lui donne. — Lui donnez-vous un oiseau? — Je lui en donne un. — A qui pretez-vous vos livres ? — Je les prete a mes amis. — Votre ami me prete-t-il un habit ? — II vous en prete un. — A qui pretez-vous vos habits ? — Je ne les prete a personne. 71. — Soixante et onzieme Theme, Arrange ons-nous quelque chose ? — Nous n'arrangeons rien. — Votre frere que range-t-il? — II range ses livres. — Vendez- vous votre vaisseau? — Je ne le vends pas. — Le capitaine vend-il le sien ? — II le vend. — L'Americain que vend-il ? — II vend ses bcBufs. — L'Anglais finit-il son billet ? — II le finit. — Quels billets finissez-vous ? — Je finis ceux que j'ecris a mes amis. — Vois-tu quelque chose ? — Je ne vois rien. — Voyez-vous mon grand jardin? — Je le vois. — Votre pere voit-il nos vaisseaux? — II ne les voit pas, mais nous les voyons. — Combien de soldats voyez- vous ? — Nous en voyons beaucoup, nous en voyons plus de trente. — Buvez-vous quelque chose ? — Je bois du vin. — Le matelot que boit-il ? — II boit du cidre. — Buvons-nous du vin ou du cidre ? — Nous buvons du vin et du cidre — Les Italiens que 46 EXERCISES LXXII, LXXIII. boivent-ils ? — lis boivent du chocolat. — Buvons-nous du vin ? — Nous en buvons. — Qu'ecris-tu ? — J'ecris un billet. — A qui ? — A mon voisin. — Votre ami ecrit-il 1 — II ecrit. — A qui ecrit- il 1 — II ecrit a son tailleur. 72. — Soixante-douziime Theme. Ecrivez-vous vos billets le soir 1 — Nous les ecrivons le ma- un. — Que dis-tu 1 — Je ne dis rien. — Yotre frere dit-il quelque chose ? — II dit quelque cbose. — Que dit-il 1 — Je ne sais. — Que dites-vous a mon domestique ? — Je lui dis de balayer le plancher et d'aller chercher du pain, du fromage et du vin. — Disons- nous quelque chose ? — Nous ne disons rien. — Yotre ami que dit-il au cordonnier ? — II lui dit de raccommoder ses souliers. — Que dites-vous aux tailleurs ? — Je leur dis de faire mes habits. — Sors-tu? — Je ne sors pas. — Qui sort? — Mon frere sort. — Ou va-t-il ? — II va au jardin. — Chez qui allez-vous 1 — Nous aliens chez les bons Anglais. — Que lis-tu? — Je lis un billet de mon ami. — Votre pere que lit-il ? — II lit un livre. — Que faites-vous 1 — Nous lisons. — Vos enfants lisent-ils 1 — lis ne lisent pas, ils n'ont pas le temps de lire. — Lisez-vous les livres que je lis ? — Je ne lis pas ceux que vous lisez, mais ceux que votre pere lit. — Connaissez-vous cet homme ? — Je ne le connais pas. — Votre ami le connait-il ? — II le connait. 7 3« — Soixante-treizieme Theme. Connaissez-vous mes enfants ? — Nous les connaissons. — Vous connaissent-ils ? — Ils ne nous connaissent pas. — Qui connaissez-vous ? — Je ne connais personne. — Quelqu'un vous connait-il ? — Quelqu'un me connait. — Qui vous connait ? — Le bon capitaine me connait. — Que manges-tu ? — Je mange du pain. — Votre fils ne mange-t-il pas du fromage ? — II n'en mange pas. — Coupez-vous quelque chose 1 — Nous coupons du bois. — Les marchands que coupent-ils ? — Ils coupent du drap. — M'envoyez-vous quelque chose ? — Je vous envoie un bon fusil. — Votre pere vous envoie-t-il de l'argent? — II m'en envoie. — Vous envoie-t-il plus que moi ? — II m'envoie plus que vous EXERCISES LXXIV, LXXV. 47 — Combien vous envoie-t-il ? — II m'envoie plus de cinquante ecus. — Quand recevez-vous vos billets ? — Je les recois tous les matins. — A quelle heure ? — A dix heures et demie. — Votre fils vient-il ? — II vient. — Chez qui vient-il ? — II vient chez moi. — Venez-vous chez moi? — Je ne vais pas chez vous,mais chez vos enfants. — Ou notre ami va-t-il? — II ne va nulle part; il reste chez lui. — Allez-vous a la maison I — Nous n'allons pas a la maison, mais chez nos amis. — Ou sont vos amis ? — lis sont dans leur jardin. — Les Ecossais sont-ils dans leurs jardins ? — Us y sont. 7 4:. — Soixante-quatorzieme Theme Qu'achetez-vous ? — J'achete des couteaux. — Achetez-vous plus de couteaux que de verres ? — J'achete plus de ceux-ci que de ceux-la. — Combien de chevaux PAllemand achete-t-il ? — II en achete beaucoup ; il en achete plus de vingt. — Votre do- mestique que porte-t-il? — II porte un grand coffre. — Ou le porte-t-il ? — II le porte a la maison. — A qui parlez-vous ? — Je parle a l'Irlandais. — Lui parlez-vous tous les jours? — Je lui parle tous les matins et tous les soirs. — Yient-il chez vous ? — II ne vient pas chez moi, mais je vais chez lui. — Yotre domes- tique qu'a-t-il a faire ? — II a a balayer mon plancher et a ranger mes livres. — Mon pere repond-il a vos billets ? — II y repond. — Votre garcon que casse-t-il ? — II ne casse rien, mais vos gar- $ons cassent mes verres. — Dechirent-ils quelque chose ? — lis ne dechirent rien. — Qui brule mon chapeau ? — Personne ne le brule. — Cherchez-vous quelqu'un ? — Je ne cherche personne. — Mon fils que cherche-t-il ? — II cherche son porte-feuille. — Votre cuisinier que tue-t-il ? — II tue un poulet. 75. — Soixante-quinzieme Theme. Tuez-vous un oiseau? — J ? en tue un. — Combien de pouleta votre cuisinier tue-t-il? — II en tue trois. — Chez qui menez- vous mon garcon? — Je le mene chez le peintre. — Quand le peintre est-il chez lui ? — II est chez lui tous les soirs a sept heures. — Quelle heure est-il a present ? — II n'est pas encore 48 EXERCISE LXXVI. six heures. — Sortez-vous le soir? — Je sors le matin. — Avez- vous peur de sortir le soir ? — Je n'ai pas peur, mais je n'ai pas le temps de sortir le soir. — Travaillez-vous autant que votre fils ? — Je ne travaille pas autant que lui. — Mange-t-il plus que vous ? — II mange moins que moi. — Vos enfants peuvent-ils ecrire autant de billets que mes enfants ? — lis peuvent en ecrire tout autant. — Le Russe peut-il boire autant de vin que de cidre ? — II peut boire plus de celui-ci que de celui-la. — Quand nos voisins sortent-ils ? — lis sortent tous les matins a six heures moins un quart. — Quel billet envoyez-vous a votre pere ? — Je lui envoie le mien. — N'envoyez-vous pas le mien ? — Je l'en- voie aussL 76. — Soixante-seizieme Thdme. Allez-vous au spectacle ce soir ? — Je ne vais pas au specta- cle. — Qu'avez-vous a faire ? — J'ai a etudier. — A quelle heure sortez-vous ? — Je ne sors pas le soir. — Votre pere sort-il ? — II ne sort pas. — Que fait-il ? — II ecrit. — Ecrit-il un livre ? — II en ecrit un. — Quand l'ecrit-il ? — II l'ecrit le matin et le soir. — Est- il chez lui a present ? — II y est. — Ne sort-il pas ? — II ne peut pas sortir ; il a mal au pied. — Le cordonnier apporte-t-il nos souliers ? — II ne les apporte pas. — Ne peut-il pas travailler ? — II ne peut pas travailler ; il a mal au genou. — Quelqu'un a-t-il mal au coude ?— Mon tailleur a mal au coude. — Qui a mal au bras? — J'ai mal au bras. — Me coupez-vous du pain? — Je ne puis vous en couper ; j'ai mal aux doigts. — Lisez-vous votre livre ? — Je ne peux pas le lire ; j'ai mal a l'oeil. — Qui a mal aux yeux ? — Les Francais ont mal aux yeux. — Lisent-ils trop ? — lis ne lisent pas assez. — Quel jour du mois est-ce aujour- d'hui? — C'est le trois. — Quel jour du mois est-ce demain? — Demain, c'est le quatre. — Cherchez-vous quelqu'un? — Je ne cherche personne. — Lepeintre que cherche-t-il ? — Ilnecherche rien. — Qui cherchez-vous? — Je cherche votre fils. — Avez-vous quelque chose a lui dire ? — J'ai quelque chose a lui dire. EXERCISES LXXVII, LXXVIII. 49 77. — Soixante-dix-septieme Thime. Qui ms cherche ? — Yotre pere vous cherche. — Quelqu'uu eherche-t-il mon frere ? — Personne ne le cherche. — Trouves tu ce que tu cherches ? — Je trouve ce que je cherche. — Le capitaine trouve-t-il ce qu'il cherche 1 — II trouve ce qu'il cherche, mais ses enfants ne trouvent pas ce qu'ils cherchent. — Que cherchent-ils ? — lis cherchent leurs livres. — Ou me menes-tu? — Je vous mene au theatre. — Ne me menez-vous pas au marche? — Je ne vous y mene pas. — Les Espagnols troib yent-ils les parapluies qu'ils cherchent ? — lis ne les trouvent pas. — Le tailleur trouve-t-il son de 1 — II ne le trouve pas. — Les marchands trouvent-ils le drap qu'ils cherchent ? — lis le irouvent. — Les bouchers que trouvent-ils ? — lis trouvent les boeufs et les moutons qu'ils cnerchent. — Yotre cuisinier que srouve-t-il 1 — II trouve les poulets qu'il cherche.— Le medecin que fait-il ? — II fait ce que vous faites. — Que fait-il dans sa chambre ? — II lit. — Que lit-il 1 — II lit le livre de votre pere. — L'Anglais qui cherche-t-il 1 — II cherche son ami, pour le mener iu jardin. — Que fait l'Allemand dans sa chambre ? — II apprend a lire. — N'apprend-il pas a ecrire ? — II ne l'apprend pas. — Votre fils apprend-il a ecrire ? — II apprend a ecrire et a lire- 7 8. — Soixan te-dix-huiti£rne Tlihne . Le Hollandais parle-t-il au lieu d'ecouter ? — II parle au lieu l'ecouter. — Sortez-vous au lieu de rester chez vous ? — Je reste ;hez moi au lieu de sortir. — Yotre fils joue-t-il au lieu d'etu- lier ? — II etudie au lieu de jouer. — Quand etudie-t-il ? — 11 itudie tous les jours. — Le matin ou le soir ? — Le matin ei le *oir. — Achetez-vous un parapluie au lieu d'acheter un livre ? - le n'achete ni Fun ni l'autre. — Notre voisin casse-t-il ses ba- tons au lieu de casser ses verres ? — II ne casse ni les um* ni les autres. — Que casse-t-il ? — II casse ses fusils. — Les enfantg ie notre voisin lisent-ils ? — lis lisent au lieu d'ecrire. — Que fait notre cuisinier ? — II fait du feu au lieu d'aller au marche. •^-Le capitaine vous donne-t-il quelque chose ? — II me donno 50 EXERCISES LXXIX, LXXX. quelque chose. — Que vous donne-l-il? — II me donne beaucoup d'argent. — Vous donne-t-il de l'argent au lieu de vous donner du pain ? — II me donne de l'argent et du pain. — Yous donne-t- il plus de fromage que de pain ? — II me donne moins de celui- ci que de celui-la. 7 O. — Soixante-dix-neuvi&me The* me. Donnez-vous a mon ami moins de couteaux que de gants ? — Je lui donne plus de ceux-ci que de ceux-'Ji. — Que vous donne- t-il ? — II me donne beaucoup de livres au lieu de me donner de l'argent. — Yotre domestique fait-il votre lit? — II ne le fait pas. — Que fait-il au lieu de faire votre lit ? — II balaie la chambre au lieu de faire mon lit. — Boit-il au lieu de travailler ? — II tra- vaille au lieu de boire. — Les medecins sortent-ils ? — lis restent chez eux au lieu de sortir. — Yotre domestique fait-il du cafe ? — II fait du the au lieu de faire du cafe. — Quelqu'un vous prete-t-il un fusil? — Personne ne m'en prete un. — Yotre ami que me prete-t-il ? — II vous prete beaucoup de livres et beau- coup de bijoux. — Lisez-vous le livre que je lis? — Je ne lis pas celui que vous lisez, mais celui que lit le grand capitaine. — Avez-vous honte de lire les livres que je lis? — Je n'ai pas honte, mais je n'ai pas envie de les lire. 80. — Quatre-vingtibne Theme. Allez-vous chercher quelque chose ? — Je vais chercher quel que chose. — Qu'allez-vous chercher? — Je vais chercher du cidre. — Yotre pere envoie-t-il chercher quelque chose ? — II envoie chercher du vin. — Yotre domestique va-t-il chercher du pain ? — II va en chercher. — Qui votre voisin envoie-t-il cher- cher ? — II envoie chercher le medecin. — Yotre domestique 6te-t-il son habit pour faire le feu? — II Tote pour le faire. — Otez-vous vos gants pour me donner de l'argent ? — Je les ote pour vous en donner. — Apprenez-vous le Francais? — Je I'ap- prends. — Yotre frere apprend-il l'allemand? — II l'apprend. — Qui apprend l'anglais ? — Le Francais l'apprend. — Apprenons- nous l'italien ? — Yous l'apprenez. — Les Anglais qu'apprennent- EXERCISE LXXXI. 51 Is ? — lis arprernent le francais et Fallemand. — Parlez-vous espagnol? — Norr- IkforiexiT, je parle italien. — Qui parle ps<- lonais ? — Mon v £0 Wrle polonais. — Nos voisins parlent-ils russe ? — lis no .^..ent pas russe, mais arabe. — Parlez-vous arabe ? — Non, je parle grec et latin. — Quel couteau avez-vous ? — J'ai un couteau anglais. — Quel argent avez-vous la ? Est- ce de l'argent itelien ou espagnol ? — C'est de l'argent russe. — Avez-vous un chapeau italien ? — Non, j'ai un chapeau espa- gnol. — Etes-vous Francais? — Non, je suis Anglais. — Es-tu Grec ? — Non, je suis Espagnol. 81. — Quatre-vingt-unieme Thime. Ces hommes sont-ils Allemands 1 — Non, ils sont Russes. — Les Russes parlent-ils polonais ? — Ils ne parlent pas polonais, mais latin, grec et arabe. — Votre frere est-il marchand ? — Non, il est menuisier. — Ces hommes-ci sont-ils marchands ? — Non, ils sont charpentiers. — Etes-vous cuisinier? — Non, je suis bou- langer. — Sommes-nous tailleurs ? — Non, nous sommes cordon- niers. — Es-tu fou ? — Je ne suis pas fou. — Cet homme-la qu'est- il ? — II est medecin. — Me souhaitez-vous quelque chose ? — Je vous souhaite le bonjour. — Le jeune homrae que me souhaite- t-il ? — II vous souhaite le bonsoir. — Vos enfants viennent-ils chez moi pour me souhaiter le bonsoir 1 — Ils viennent chez vous pour vous souhaiter le bonjour. — L'Allemand a-t-il les yeux noirs ? — Non, il a les yeux bleus. — Cet homme-la a-t-il les pieds grands ? — II a les pieds petits, le front large, et le nez grand. — Avez-vous le temps de lire mon livre ? — Je n'ai pas le temps de le lire, mais j'ai beaucoup de courage pour etudier le francais. — Que fais-tu au lieu de jouer ? — J'etudie au lieu de jouer. — Apprends-tu au lieu d'ecrire 1 — J'ecris au lieu d'apprendre. — Le fils de notre ami que fait-il ? — II va dans le jardin au lieu de faire son theme. — Les enfants de nos voisins lisent-ils ? — Ils ecrivent au lieu de lire. — Notre cuisinier que fait-il? — II fait du feu au lieu d'aller au marche. — Votre pere vend-il son boeuf ? — II vend son cheval au lieu de vendre son boeuf. 52 EXERCISES LXXXII, LXXXIII. 82. — Quatre-vingt-deuxieme Theme. Le fils du peintre etudie-t-il l'anglais ? — II etudie le grec au lieu d'etudier l'anglais. — Le boucher tue-t-il des boeufs ? — 11 tue des moutons au lieu de tuer des boeufs. — M'ecoutez-vous ? — Je vous ecoute. — Votre frere m'ecoute-t-il ? — II parle au lieu de vous ecouter. — Ecoutez-vous ce que je vous dis ? — J'ecoute ce que vous me dites. — Ecoutes-tu ce que ton frere te dit ? — J e l'ecoute. — Les enfants du medecin ecoutent-ils ce que nous leur disons ? — Us ne l'ecoutent pas. — Allez-vous au theatre ? — Je vais au magasin au lieu d'aller au theatre. — Youlez-vous lire mon livre ? — Je veux le lire, mais je ne puis ; j'ai mal aux yeux. — Votre pere corrige-t-il mes themes ou ceux de mon frere? — II ne corrige ni les votres ni ceux de votre frere. — Quels themes corrige-t-il ? — II corrige les miens. — Otez-vous votre chapeau pour parler a mon pere ? — Je l'ote pour lui par- ler. — Otez-vous vos souliers ? — Je ne les ote pas. — Qui ote son chapeau ? — Mon ami Tote. — Ote-t-il ses gants ? — II ne lei 1 ote pas. — Ces garcons qu'otent-ils ? — lis otent leurs souliers et leurs bas. — Qui ote les verres ? — Votre domestique les ote. — Me donnez-vous du papier anglais ou allemand? — Je ne vous donne ni du papier anglais, ni du papier allemand ; je vous donne du papier francais. — Lisez-vous Tespagnol ? — Je ne lis pas Tespagnol, mais l'allemand. — Quel livre votre frere lit-il ? — II lit un li TT re francais. — Prenez-vous le the ou le cafe le matin ? — Je prends le the. — Prenez-vous le the tous les matins? — Je le prends tous les matins. — Que prenez-vous ? — Je prends du cafo. — Votre frere que prend-il ? — II prend du chocolat. — Le prend-il tous les jours ? — II le prend tous les matins. — Vos enfants prennent-ils du the ? — lis prennent du cafe au lieu de prendre du the. — Que prenons-nous ? — Nous prenons du the ou du cafe. 8 3 • — Quatrc-vingt-troisitmc Th&me De quoi votre pere a-t-il besoin ? — II a besoin de tabac. — Voulez-vous en aller chercher ? — Je veux en aller chercher EXERCISE LXXXIV 53 — De quel tatac a-t-il besoin? — II a besoin de tabac a priser. — Avez-vous besoin de tabac a fumer 1 — Je n'en ai pas besoin ; je ne fume pas.— Me montrez-vous quelque chose 1 — Je vous montre des rubans d'or. — Votre pere montre-t-il son fusil a mon frere ? — II le lui montre. — Lui montre-t-il ses beaux oiseaux? — II les lui montre. — Le Francais fume-t-il? — II ne fume pas.- — Allez-vous au bal ? — Je vais au theatre au lieu d'aller au bal. — Le jardinier va-t-il dans le jardin ? — II va au marche au lieu d'aller dans le jardin. — Envoyez-vous votre valet chez le tailleur ? — Je l'envoie chez le cordonnier au lieu de l'envoyer chez le tailleur. — Yotre frere compte-t-il aller au bal ce soir ? — II ne compte pas aller au bal, mais au concert. — Quand comptez-vous aller au concert ? — Je compte y aller ce soir.- — A quelle heure ? — A dix heures et un quart. — Allez- vous chercher mon fils 1 — Je vais le chercher. — Ou est-il ? — II est au comptoir. — Trouvez-vous l'homme que vous cherchez ? — Je le trouve. — Yos fils trouvent-ils les amis qu'ils cherchent? — lis ne les trouvent pas. 84. — Quatre-vingt-quatri&me Theme. Vos amis comptent-ils aller au theatre ? — lis comptent y aller. — Quand comptent-ils y aller ? — lis comptent y aller de- main. — A quelle heure ? — A sept heures et demie. — Le mar- chand que veut-il vous vendre 1 — II veut me vendre des porte- feuilles.— Comptez-vous en acheter? — Je ne veux pas en acheter. — Sais-tu quelque chose ? — Je ne sais rien. — Votre petit frere que sait-il? — II sait lire et ecrire. — Sait-il le fran- cais ? — II ne le sait pas. — Savez-vous l'allemand? — Je le sais. — Vos freres savent-ils le grec ? — lis ne le savent pas, mais ils comptent l'etudier. — Savez-vous l'anglais ? — Je ne n e sais pas, mais je compte Tapprendre. — Mes enfants savent-ils lire Fita- lien ? — Ils savent le lire, mais non le parler. — Savez-vous nager ? — Je ne sais pas nager, mais je sais jouer. — Votre fils sait-il faire des habits ? — II ne sait pas en faire ; il n'est pas tailleur. — Est-il marchand ? — II ne Test pas. — Qu'est-il? — II est medecin. — Comptez-vous etudier l'arabe ? — Je compte etu- dier Parabe et le syriaque. — Le Francais sait-il le russe ? — II A* 54 EXERCISES LXXXV, LXXXVI. ne le sait pas, mais il compte l'apprendre. — Ou allez-vous ? — Je vais au jardin pour parler a mon jardinier. — Vous ecoute-t- il ? — II m'ecoute. 8 5 • — Quatre-vingt'cinquiime Thime. Voulez-vous boire du cidre ? — Je veux boire du vin ; en avez-vous ? — Je n'en ai pas, mais je vais en envcyer chercher. — Quand voulez-vous en envoyer chercher? — A present. — Savez-vous faire du the ? — Je sais en faire. — Ou votre pere va- t-il? — II ne va nulle part ; il reste chez lui. — Savez-vous ecrire un billet? — Je sais en ecrire un. — Pouvez-vous ecrire des themes ? — Je peux en ecrire. — Conduis-tu quelqu'un ? — Je ne conduis personne. — Qui conduisez-vous.? — Je conduis mon fils. — Ou le conduisez-vous ? — Je le conduis chez mes amis, pour leur souhaiter le bonjour. — Votre domestique conduit-il votre enfant ? — II le conduit. — Ou le conduit-il ? — II le conduit au jardin. — Conduisons-nous quelqu'un? — Nous conduisons nos enfants. — Ou nos amis conduisent-ils leurs fils ? — lis les con- duisent a la maison. 86 • — Quatre-vingt-sixidme Thdme . Eteignez-vous le feu? — Je ne l'eteins pas. — Votre domes- tique allume-t-il le feu? — II l'allume. — Ou l'allume-t-il ? — II l'allume dans votre magasin. — Allez-vous souvent chez l'Es pagnol ? — J'y vais souvent. — Y allez-vous plus souvent qui moi? — J'y vais plus souvent que vous. — Les Espagnols vien- nent-ils souvent chez vous ?ij— lis viennent souvent chez moi. — Vos enfants vont-ils plus souvent au bal que nous ? — lis y vont plus souvent que vous. — Sortons-nous aussi souvent que nos voisins ? — Nous sortons plus souvent qu'eux. — Votre domes- tique va-t-il au marche aussi souvent que mon cuisinier? — II y va aussi souvent que lui. — Voyez-vous mon pere aussi souvent que moi ? — Je ne le vois pas aussi souvent que vous. — Quand le voyez-vous ? — Je le vois tous les matins a cinq heures moins m quart. EXERCISES LXXXVII, LXXXVIII. 55 8 7 • — Quatre-vingt-septiime Thime. Est-ce que je lis bien? — Vous lisez bien. — Est-ce que je parle bien ? — Vous ne parlez pas bien. — Mon frere parle-t-il bien francais ? — II le parle bien. — Parle-t-il bien allemand? — II le parle mal. — Parlons-nous bien ? — Vous parlez mal. — Est- ce que je bois trop ? — Vous ne buvez pas assez. — Est-ce que je peux faire des chapeaux? — Vous ne pouvez pas en faire; vous n'etes pas chapelier. — Est-ce que je puis ecrire un billet ? — Vous pouvez en ecrire un. — Est-ce que je fais bien nrni theme ? — Vous le faites bien. — Que fais-je ? — Vous faites des themes. — Que fait mon frere ?— II ne fait rien. — Qu'est-ce que je dis ? — Vous ne dites rien. — Est-ce que je commence a par- ler? — Vous commencez a parler. — Est-ce que je commence a bien parler? — Vous ne commencez pas a bien parler, mais a bien lire.-^— Ou est-ce que je vais ? — Vous allez chez votre ami. — Est-il chez lui ? — Est-ce que je sais ? — Puis-je parler aussi souvent que le fils de notre voisin? — II peut parler plus souvent que vous.— Puis-je travailler autant que lui ? — Vous ne pouvez pas travailler autant que lui. — Est-ce que je lis aussi souvent que vous ? — Vous ne lisez pas aussi souvent que moi, mais vous parlez plus souvent que moi. — Est-ce que je parle aussi bien que vous ? — Vous ne parlez pas aussi bien que moi. — Est-ce que je vais chez vous, ou est-ce que vous venez chez moi ? — Vous venez chez moi, et je vais chez vous. — Quand venez-vous chez moi ? — Tous les matins a six heures et demie. 88. — Quatre-vingt-huiti&me Thime. Connaissez-vous le Russe que je connais ? — Je ne connais pas celui que vous connaissez, mais j'en connais un autre. — Buvez-vous autant de cidre que devin? — Je bois moins r"e celui-ci que de celui-la. — Le Polonais boit-il autant que le Russe ? — II boit tout autant. — Les Allemands boivent-ils autaut que les Polonais? — Ceux-ci boivent plus que ceux-la. — Recois • tu quelque chose ? — Je recois quelque chose. — Que recois-tu ! 56 EXERCISES LXXXIX, XC. — Je recois de l'argent. — Votre ami recoit-il des livres ? — II en recoit. — Que recevons-nous ? — Nous recevons du cidre. — Les Polonais recoivent-ils du tabac ? — lis en recoivent. — De qui les Espagnols recoivent-ils de l'argent ? — lis en recoivent des Anglais et des Francais. — R % ecevez-vous autant d'amis que d'ennemis ? — Je recois moins de ceux-ci que de ceux-la. — De qui vos enfants recoivent-ils des livres ? — lis en recoivent de moi et de leurs amis. — Est-ce que je recois autant de fromage que de pain ?• — Vous recevez plus de celui-ci que de celui-la. — Nos domestiques recoivent-ils autant de balais que d'habits ? Us regoivent moins de ceux-ci que de ceux-la. — Recevez-vous encore un fusil ? — J'en recois encore un. — Combien de livre? notre voisin recoit-il encore ? — II en recoit encore trois. 89. — Quatre-vingUneuvitme TMme. Quand l'etranger compte-t-il partir? — II compte partir au- jourd'hui. — A quelle heure 1 — A une heure et demie. — Comp- tez-vous partir ce soir ? — Je compte partir demain. — Le Fran cais part-il aujourd'hui ? — II part a present. — Ou va-t-il ? — II va chez ses amis. — Va-t-il chez les Anglais ? — II y va. — Pars-tu demain ? — Je pars ce soir. — Quand comptez-vous ecrire a vos amis ? — Je compte leur ecrire aujourd'hui.— Vos amis vous repondent-ils ? — lis me repondent. — Votre . pere repond-il a votre billet ? — II y repond. — Repondez-vous aux billets de mes freres ? — J'y reponds. — Votre frere commence-t-il a apprendre Titalien ? — II commence a l'apprendre. — Pouvez-vous parler francais ? — Je peux le parler un peu. — Nos amis commencent- ils a parler allemand ? — lis commencent a le parler. — Peuvent- ils l'ecrire ? — lis peuvent l'ecrire. — Le marchand commence- t-il a vendre ? — II commence. — Parlez-vous avant d'ecouter 1 — J'ecoute avant de parler. — Votre frere vous ecoute-t-il avant de parlei ? — II parle avant de m'ecouter. — Vos enfants lisent- ils avant decrire ? — lis ecrivent avant de lire. 90. — Quatre-vingt-dixihne Th£me. Votre domestique balaie-t-il le magasin avant d'aller au EXERCISES XCI, XC11. 57 marche ? — II va au marche avant de balayer le magasin.— Bois-tu avant de sortir? — Je sors avant de boire. — Comptez- vous sortir avant de dejeuner ? — Je compte dejeuner avant de sortir. — Votre fils 6te-t-il ses souliers avant d'oter son habit ? — II n'ote ni ses souliers ni son habit. — Est-ce que j'ote mes gants avant d'oter mon chapeau ? — Vous otez votre chapeau avant d'oter vos gants. — Est-ce que je peux oter mes souliers avant d'oter mes gants ? — Yous ne pouvez oter vos souliers avant d'oter vos gants. — A quelle heure dejeunez-vous ? — Je dejeune a huit heures et demie. — A quelle heure l'Americain dejeune-t-il ? — II dejeune tous les jours a neuf heures. — A quelle heure vos enfants dejeunent-ils ? — lis dejeunent a sept heures. — Allez-vous chez mon pere avant de dejeuner? — Je vais chez lui avant de dejeuner. 91 . — Quatre-vingt-onzieme Thime. A qui est ce livre ? — C'est le mien. — A qui est ce chapeau ? — C'est le chapeau de mon pere. — Etes-vous plus grand que moi ? — Je suis plus grand que vous. — Votre frere est-il aussi grand que vous ? — II est aussi grand que moi. — Ton chapeau est-il aussi mauvais que celui de mon pere ? — II est meilleur, mais pas aussi noir que le sien. — Les habits des Italiens sont- ils aussi beaux que ceux des Irlandais ? — lis sont plus beaux, mais pas si bons. — Qui a les gants les plus beaux? — Les Francais les ont. — Qui a les chevaux les plus beaux ? — Les miens sont beaux, les votres sont plus beaux que les miens ; mais ceux de nos amis sont les plus beaux de tous. — Yotre cheval est-il bon ? — II est bon, mais le votre est meilleur, et celui de l'Anglais est le meilleur de tous les chevaux que nous connaissons. — Avez-vous de jolis souliers ? — J'en ai de fort jolis, mais mon frere en a de plus jolis que moi. — De qui les recoit-il ? — II les recoit de son meilleur ami. 92. — Quatre-vingt-douziime Theme. Votre vin est-il aussi bon que le mien? — II est meilleur. — Votre marchand vend-il de bons couteaux ? — II vend les meil- 58 exercise xem. (eurs couteaux que je connaisse. — Lisons-nous plus de lhres que les Francais ? — Nous en lisons plus qu'eux ; mais les An- glais en lisent plus que nous, et les Allemands en lisent le plus. — As-tu un jardin plus beau que celui de notre medecin ? — J'en ai un plus beau que lui. — L'Americain a-t-il un plus beau baton que toi ? — II en aun plus beau. — Avons-nous d'aussi beaux enfants que nos voisins 1 — Nous en avons de plus beaux — Votre habit est-il aussi joli que le mien ? — II n'est pas aussi joli, mais meilleur que le votre. — Partez-vous aujour- d'hui ? — Je ne pars pas aujourd'hui. — Quand votre pere part-il? — II part ce soir a neuf heures moins un quart. — Lequel de ces deux enfants est le plus sage ? — Celui qui etudie est plus sage que celui qui joue. — Yotre domestique balaie-t-il aussi bien que le mien? — II balaie mieux que le votre. — L' Anglais lit-il autant de mauvais livres que de bons ? — II en lit plus de bons que de mauvais. 93. — Quatre-vingt-treizieme Theme. Les marchands vendent-ils plus de sucre que de cafe \ — lis vendent plus de celui-ci que de celui-la. — Votre cordonnier fait-il autant de souliers que le mien ? — II en fait plus que le votre. — Savez-vous nager aussi bien que mon fils ? — Je sais nager mieux que lui, mais il sait parler francais mieux que moi. — Lit-il aussi bien que vous ? — II lit mieux que moi.— ^-Le fils de votre voisin va-t-il au marche ? — Non, il reste a la maison ; il a mal aux pieds. — Apprenez-vous aussi bien que le fils de notre jardinier ? — J'apprends mieux que lui, mais il travaille mieux que moi. — Qui a le fusil le plus beau ? — Le votre est tres-beau, mais celui du capitaine est encore plus beau, et le notre est le plus beau de tous. — Quelqu'un a-t-il de plus beaux enfants que vous ? — Personne n'en a de plus beaux. — Yotre fils lit-il aussi souvent que moi? — II lit plus souvent que vous. — Mon frere parle-t-il francais aussi souvent que vous ! — II le parle et le lit aussi souvent que moi. — Est-ce que j'ecris au- tant que vous ? — Vous ecrivez plus que moi. — Les enfants de nos voisins lisent-ils Tallemand aussi souvent que nous ? — Nous le lisons moins souvent qu'eux. — Ecrivons-nous aussi EXERCISES XCIV, XCV. 59 souvent qu'eux ? — lis ecrivent plus souvent que nous. — A qui 6crivent-ils ? — lis ecrivent a leurs amis. — Lisez-vous des livres anglais ? — Nous lisons des livres francais au lieu de lire des livres anglais. 94 • — Quatre-vingt-quatorziime Thime. Mettez-vous un autre habit pour aller au spectacle ? — J'en mets un autre. — Mettez-vous vos gants avant de mettre vos souliers ? — Je mets mes souliers avant de mettre mes gants. — Votre frere met-il son chapeau au lieu de mettre son habit ? — II met son habit avant de mettre son chapeau. — Nos enfants mettent-ils leurs souliers pour aller chez nos amis ? — Us les mettent pour y aller. — Nos fils que mettent-ils ? — lis mettent leurs habits et leurs gants.-— Parlez-vous deja francais ? — Je ne le parle pas encore, mais je commence aapprendre. — Votre pere sort-il deja ? — II ne sort pas encore. — A quelle heure sort-il ? — II sort a dix heures. — Dejeune-t-il avant de sortir ? — II dejeune et il ecrit ses billets avant de sortir. — Sort-il de meilleure heure que vcus? — Je sors de meilleure heure que lui. — Allez-vous au spectacle aussi souvent que moi ? — J'y vais aussi souvent que vous\ — Commencez-vous a connaitre cet homme ? — Je commence a le connaitre. — Dejeunez-vous de bonne heure ? — Nous ne dejeunons pas tard. — L' Anglais va-t-il au concert plus tot que vous ? — II y va plus tard que moi. — A quelle heure y va-t-il ? — II y va a onze heures et demie. V) 5. — Quatrc-vingt-quinziime Thdme. N'allez-vous pas trop tot au concert ? — J'y vais trop tard. — Est-ce que j'ecris trop ? — Vous n'ecrivez pas trop, mais vous parlez trop. — Est-ce que je parle plus que vous ? — Vous par- lez plus que moi et que mon frere. — Mon chapeau est-il trop grand ? — II n'est ni trop grand ni trop petit. — Parlez-vous plus souvent francais qu'anglais ? — Je parle plus souvent anglais que francais. — Vos amis achetent-ils beaucoup de grain ? — lis n'en achetent guere. — Avez-vous assez de pain ? — Je n'en ai guere, mais assez. — Est-il tard? — 11 n'est pas tard. — Quelle 60 EXERCISES XCVI, XCVII. heure est-il ? — II est une heure. — Est-il trop tard pour aJIer chez votre pere ? — II n'est pas trop tard pour y aller. — Me conduisez-vous chez lui? — Je vous y conduis. — Ou est-il? — II est dans son comptoir. — L'Espagnol achete-t-il un cheval ? — II ne peut en acheter un. — Est-il pauvre ? — II n'est pas pauvre ; il est plus riehe que vous. — Yotre frere est-il aussi savant que vous ? — II est plus savant que moi, mais vous etes plus savant que lui et moi. 9 6 • — Quatre-vingt-seizidme Thime . Connaissez-vous cet homme ? — Je le connais. — Est- J savant — C'est le plus savant de tous les hommes que je connais.— Votre cheval est-il pire que le mien ? — II n'est pas aussi mau vais que le votre. — Le mien est-il pire que celui de l'Espa gnol ? — II est pire ; c'est le pire cheval que je connaisse. — Donnez-vous a ces hommes moins de pain que de fromage ? — Je leur donne moins de celui-ci que de celui-la. — Recevez- vous autant d'argent que vos voisins ? — J'en recois beaucoup plus qu'eux. — Qui recoit le plus d'argent? — Les Anglais en recoivent le plus. — Yotre fils sait-il deja ecrire un billet? — II ne sait pas encore en ecrire un, mais il commence a lire un peu. — Lisez-vous autant que les Russes ? — Nous lisons plus qu'eux, mais les Francais lisent le plus. — Les Americains ecrivent-ils plus que nous ? — lis ecrivent moins que nous, mais les Italiens ecrivent le moins. — Sont-ils aussi riches que les Americains ? — lis sont moins riches qu'eux. — Yos oiseaux sont-ils aussi beaux que ceux des Irlandais ? — lis sont moins beaux que les leurs, mais ceux des Espagnols sont les moins beaux. — Yendez-vous votre oiseau? — Je ne le vends pas; je l'aime trop pour le vendre. 97 • — Quatre-vingt-dix'Septiimc Th&mc. Ou avez-vous ete ? — J'ai ete au marche. — Avez-vous ete an bal ? — J'y ai ete. — Ai-je ete au spectacle ? — Vous y avez ete. — Y as-tu ete ? — Je n'y ai pas ete. — Votre fils a-t-il jamais ete au theatre? — II n'y a jamais ete. — As-tu deja ete dans mon EXERCISE XCVI1I 61 magasin ? — Je n'y ai jamais ete. — Comptez-vous y aller ? — Je compte y aller. — Quand voulez-vous y aller ? — Je veux y aller demain. — A quelle heure? — Amidi. — Yotre frere a-t-il deja ete dans mon grand jardin ? — II n'y a pas encore ete. — Compte-t-il le voir ? — II compte le voir. — Quand veut-il y aller ? — II veut y aller aujourd'hui. — Compte-t-il aller au bal ce soir ? — II compte y aller. — Avez-vous deja ete au bal ? — Je n'y ai pas encore ete. — Quand comptez-vous y aller? — Je compte y aller* demain. — Avez-vous deja ete dans le jardin du Francais ? — Je n'y ai pas encore ete. — Avez-vous ete dans mes magashs? — J'y ai ete. — Quand y avez-vous ete ? — J'y ai ete ce matin. — Ai-je ete dans votre comptoir, ou dans celui de votre ami ? — Vous n'avez ete ni dans le mien, ni dans celui de mon ami, mais dans celui de l'Anglais. 9 8 • — Quatre-vingt-dix'huiti&me Thime . L'ltalien a-t-il ete dans nos magasins ou dans ceux des Hol- landais ? — II n'a ete ni dans les notres ni dans ceux des Hol- landais, mais dans ceux des Allemands. — As-tu deja ete au marche ? — Je n'y ai pas encore ete, mais je compte y aller. — Le fils de notre voisin y a-t-il ete ? — II y a ete. — -Quand y a-t- il ete ? — II y a ete aujourd'hui. — Le fils de notre jardinier compte-t-il aller au marche ? — II compte y aller. — Que veut-il y acheter ? — II veut y acheter des poulets, des boeufs, du grain, du vin, du fromage et du cidre.- — Avez-vous deja ete chez mon frere ? — J'y ai deja ete. — Yotre aAi y a-t-il deja ete ? — II n'y a pas encore ete. — Avons-nous deja ete chez nos amis ? — Nous n'y avons pas encore ete. — Nos amis ont-ils jamais ete chez nous? — I Is n'y ont jamais ete. — Avez-vous jamais ete au theatre? — Je n'y ai jamais ete. — Avez-vous envie d'ecrire un theme ? — J'ai envie d'en ecrire un. — A qui voulez-vous ecrire un bil- let? — Je veux en ecrire un a mon fils. — Vctre pere a-t-il deja ete au concert ? — II n'y a pas encore ete, mais il compte y aller. — Compte-t-il y aller aujourd'hui ? — II compte y aller demain. — A quelle heure veut-il partir ? — II veut partir a six heures et demie. — Compte-t-il partir avant de dejeuner?— II compte dejeuner avant de partir. 6 62 EXERCISES XCIX, C. 99. — 'Quatre-vingt-dix'Tieuvi^me Thdme. Avez-vous ete au spectacle d'aussi bonne beure que moi ?—* J'y ai ete de meilleure heure que vous. — Avez-vous ete souvent au concert ?— J'y ai ete souvent. — Notre voisin a-t-il ete au theatre aussi souvent que nous ?— -II y a ete plus souvent que nous. — Nos amis vont-ils trop tot a leur comptoir ? — lis y vont trop tard. — Y vont-ils aussi tard que nous ? — lis y vont plus tard que nous. — Les Anglais vont-ils trop tot a leurs maga- sins ?— lis y vont trop tot. — Votre ami est-il aussi souvent au comptoir que vous ? — II y est plus souvent que moi. — Qu'y fait-il ? — II ecrit. — Ecrit-il autant que volls ? — II ecrit plus que moi. — Ou votre ami reste-t-il ? — II reste a son comptoir. — Ne sort-il pas ? — II ne sort pas. — Restez-vous dans le jardin ? — J'y reste. — Allez-vous chez votre ami tous les jours ? — J'y vais tous les jours. — Quand vient-il chez vous ? — II vient chez moi tous les soirs. — Aliez-vous quelque part le soir? — Je ne vais nulle part ; je reste chez moi. — Envoy ez-vous chercher quel- qu'un ? — J'envoie chercher mon medecin. — Yotre domestique va-t-il chercher quelque chose? — II va chercher du vin. — «- Avez-vous ete quelque part ce matin ? — Je n'ai ete nulle part. — Ou votre pere a-t-il ete ? — II n'a ete nulle part. — Quand prenez-vous le the ? — Je le prends tous les matins. — Votre fils prend-il du cafe ? — II prend du chocolate — Avez-vous ete pren dre le cafe ? — J'ai ete le prendre. 100. — Centieme Thbne. Avez-vous eu mon porte-feuille ? — Je Fai eu* — Avez-vous eu mon gant ? — Je ne Fai pas eu. — As-tu eu mon parapluie ? — Je ne Fai pas eu. — Ai-je eu votre couteau ? — Vous Favez eu. — Quand Fai-je eu? — Vous Favez eu hier. — Ai-je eu vos gants ? — Vous les avez eus. — Votre frere a-t-il eu mon marteau de bois ? — II Fa eu. — A-t-il eu mon ruban d'or ? — II ne Fa pas eu — Les Anglais ont-ils eu mon beau vaisseau ? — lis Font eu. — Qui a eu mes bas de fll ? — Vos domestiques les ont eus. — Avons-nous eu ]e coftre de fer de notre bon voisin ? — Nous EXERCISE CI. 63 1'avons eu. — Avons-nous eu son beau pistolet ? — Nous ne 1'avons pas eu. — Avons-nous eu les matelas des etrangers ? — Nous ne les avons pas eus. — L'Americain a-t-il eu mon bon ouvrage ?— II l'a eu. — A-t-il eu mon couteau d'argent 1 — II ne Fa pas eu. — Le jeune homme a-t-il eu le premier volume de mon ouvrage 1 — II n'a pas eu le premier, mais il a eu le second. — L'a-t-il eu 1 — Oui, Monsieur, il Fa eu. — Quand l'a-t-il eu ?— II * a eu ce matin. — Avez-vous eu du sucre 1 — J'en ai eu. — Ai-je eu de bon papier ? — Vous n'en avez pas eu. — Le cuisinier du capi- taine russe a-t-il eu des poulets ? — II en a eu. II n'en a pas eu. 101 •— Cent-uniime Theme. Le Francais a-t-il eu de bon vin ? — II en a eu, et il en a en- core. — As-tu eu de grands gateaux? — J'en ai eu. — Ton frere en a-t-il eu 1 — II n'en a pas eu. — Le fils de notre jardinier a-t- il eu du beurre ? — II en a eu. — Les Polonais ont-ils eu de bon tabac ? — lis en ont eu. — Quel tabac ont-ils eu 1 — lis ont eu du tabac a fumer et du tabac a priser. — Les Anglais ont-ils eu autant de sucre que de the ? — lis ont eu autant de l'un que de l'autre. — Le medecin a-t-il eu raison ? — II a eu tort. — Le Hol- landais a-t-il eu raison ou tort ? — II n'a jamais eu ni raison ni tort. — Ai-je eu tort d'acheter du miel ? — Yous avez eu tort d'en acheter. — Le peintre qu'a-t-il eu 1 — II a eu de beaux tableaux. — A-t-il eu de beaux jardins 1 — II n'en a pas eu. — Yotre do- mestique a-t-il eu mes souliers? — II ne les a pas eus. — L'Espa- gnol qu'a-t-il eu ? — II n'a rien eu. — Qui a eu du courage ? — Les matelots anglais en ont eu. — Les Allemands ont-ils eu beaucoup d'amis ? — lis en ont eu beaucoup. — Avons-nous eu plus d'amis que d'ennemis ? — Nous avons eu plus de ceux-ci que de ceux-la. — Votre fils a-t-il eu plus de vin que de cidre ? — II a eu plus de celui-ci que de celui-la. — Le Turc a-t-il eu plus de poivre que de grain ? — II a eu moins de celui-ci que de celui-la. — Le peintre italien a-t-il eu quelque chose ? — II n'a rien eu. 64 EXERCISES en. cm. 102. — Cent-deuxieme Theme. Ai-je eu raison d'ecrire a mon frere ? — Vous n'avez p&u eu tort de lui ecrire. — Avez-vous eu mal au doigt? — J'ai eu mal a I'ceil. — Avez-vous eu quelque chose de bon ? — Je n'ai rien eu de mauvais. — Le bal a-t-il eu lieu hier? — II n'a pas eu lieu. — A-t-il lieu aujourd'hui ? — II a lieu aujourd'hui. — Quand le ba) a-t-il lieu? — II a lieu ce soir. — A-t-il eu lieu A^ant-hier ? — II a eu lieu. — A quelle heure a-t-il eu lieu ? — II a eu lieu a onze heures. — Avez-vous ete chez mon frere ? — J'y ai ete.-^-Com bien de fois avez-vous ete chez mon ami? — J'y ai ete deux fois — Allez-vous quelquefois au theatre ? — J'y vais quelquefois.— Combien de fois avez-vous ete au theatre ? — Je n'y ai ete qu'une fois. — Avez-vous ete quelquefois au bal? — J'y ai ete souvent — Votre frere a-t-il jamais ete au bal ? — II n'y a jamais ete.— Votre pere a-t-il ete quelquefois au bal ? — II y a ete autrefois. — Y a-t-il ete aussi souvent que vous ? — II y a ete plus souvent que moi. — Vas-tu quelquefois au jardin ? — J'y vais quelquefois. — Y as-tu ete souvent ? — J'y ai ete souvent. — Votre vieux cui- sinier va-t-il souvent au marche ? — II y va souvent. — Y va-t-il aussi souvent que mon jardinier? — II y va plus souvent que lui. — Cela a-t-il eu lieu ? — Cela a eu lieu. — Quand cela a-t-il eu lieu? 103» — Cent-troisieme Theme. » Avez-vous ete au bal autrefois ?- — J'y ai ete quelquefois. — Quand as-tu ete au concert ? — J'y ai ete avant-hier. — Y as-tu trouve quelqu'un ? — Je n'y ai trouve personne. — As-tu ete au bal plus souvent que tes freres ? — Je n'y ai pas ete aussi sou- vent qu'eux. — Votre ami a-t-il ete souvent au spectacle ? — II y a ete plusieurs fois. — Avez-vous eu faim quelquefois ? — J'ai eu faim souvent. — Votre valet a-t-il souvent eu soif ? — II n'a jamais eu ni faim ni soif. — Avez-vous ete au spectacle de bonne heure ? — J'y ai ete tard. — Ai-je ete au bal d'aussi bonne heure que vous ? — Vous y avez ete de meilleure heure que moi. — Votre fi&re^y a-t-il ete trop tard ? — II y a ete trop tot. — Vos freres EXERCISE CIV. 65 ont-ils eii quelque chose ? — lis n'ont rien eu. — Qui a eu mes batons et mes gants ? — Yotre domestique a eu les uns et les autres. — A-t-il eu mon chapeau et mon fusil ? — II a eu Tun et l'autre. — As-tu eu mon cheval ou celui de mon frere ? — Je n'ai eu ni le votre ni celui de votre frere. — Ai-je eu votre billet ou celui du medecin? — Vous n'avez eu ni Tun ni Fautre. — Le medecin qu'a-t-il eu ?— II n'a rien eu. — Quelqu'un a-t-il eu mon chandelier d'or? — Personne ne l'a eu. — Quelqu'un a-t-il eu mes couteaux d'argent? — Personne ne les a eus. 1 04. — Cent-quatriime Theme. Avez-vous quelque chose a faire ? — Je n'ai rien a faire. — Qu'as-tu fait ? — Je n'ai rien fait. — Ai-je fait quelque chose ? — Vous avez fait quelque chose. — Qu'ai-je fait ? — Yous avez de- chire mes livres. — Vos enfants qu'ont-ils fait ? — lis ont de- chire leurs habits. — Qu'avons-nous fait? — Vous n'avez rien fait ; mais vos freres ont brule mes beaux crayons. — Le tailleur a-t-il deja fait votre habit? — II ne l'a pas encore fait. — Votre cordonnier a-t-il deja fait vos souliers ? — II les a deja faits. — Avez-vous quelquefois fait un chapeau ?— Je n'en ai jamais fait. — Nos voisins ont-ils jamais fait des livres ? — lis en ont fait autrefois. — Combien d'habits votre tailleur a-t-il faits ? — II en a fait vingt ou trente. — A-t-il fait de bons ou de mauvais habits ? — II en a fait de bons et de mauvais. — Votre pere a-t-il mis son habit ? — II ne l'a pas encore mis, mais il va le mettre. — Votre frere a-t-il mis ses souliers ? — II les a mis. — Nos voi- sins ont-ils mis leurs souliers et leurs bas ? — lis n'ont mis ni ceux-ci ni ceux-la. — Le medecin qu'a-t-il ote? — II n'a rien ote. Qu'avez-vous ote ? — J'ai ote mon grand chapeau. — Vos enfants ont-ils ote leurs gants ? — lis les ont otes. — Quand le bal a-t-il eu lieu ? — II a eu lieu avant-hier. — Qui vous a dit cela ? — Mon domestique me l'a dit. — Votre frere que vous a-t-il dit ? — II ne m'a rien dit. — Vous ai-je dit cela? — Vous ne me l'avez pas dit. — Vous l'a-t-il dit? — II me l'a dit. — Qui l'a dit a votre voi- sin ? — Les Anglais le lui ont dit. — L'ont-ils dit aux Francais 1 — lis le leur ont dit. — Qui vous l'a dit ? — Voire fils m« l'a dit. 6* 6 EXERCISES CV, CVI. — Vous Fa-t-il dit ? — II me Pa dit. — Youlez-vous dire cela a vos amis ? — Je veux le leur dire. 105 • — Cent-cinquiime Thdme. Etes-vous le frere de ce jeune homme ? — Je le suis. — Ce jeune homme est-il votre fils ? — II Pest. — Vos amis sont-ils aussi riches qu'ils le disent ? — lis le sont. — Ces hommes-ci sont-ils aussi savants qu'ils le disent? — lis ne le sont pas. — Balayez-vous souvent le magasin ? — Je le balaie aussi souvent que je le puis. — Notre voisin a-t-il assez d'argent pouracheter du charbon ? — Je ne le sais pas. — Votre frere a-t-il ete au bal hier ? — Je ne le sais pas. — Votre cuisinier est-il alle au mar- che ? — II n'y est pas alle. — Est-il malade ? — II Pest. — Suis-je malade ? — Vous ne Petes pas. — Etes-vous aussi grand que moi ? — Je le suis. — Etes-vous aussi fatigue que votre frere ? — Je le suis plus que lui. — Avez-vous ecrit un billet ? — Je n'ai pas ecrit un billet, mais j'ai ecrit un theme. — Vos freres qu'ont- ils ecrit? — lis ont ecrit leurs themes. — Quand les ont-ils ecrits ? — lis les ont ecrits hier. — Avez-vous ecrit vos themes ? — Je les ai ecrits. — Votre ami a-t-il ecrit les siens ? — II ne les a pas encore ecrits. — Quels themes votre petit frere a-t-il ecrits ? — II a ecrit les siens. — Avez-vous parle a mon pere ? — Je lui ai parle. — Quand lui avez-vous parle ? — Je lui ai parle avant-hier. — Combien de fois avez-vous parle au capitaine ? — Je lui ai parle plusieurs fois. — Avez-vous parle souvent a son fds ? — Je lui ai parle souvent. — A quels hommes votre ami a-t-il parle ? — II a parle a ceux-ci et a ceux-la. 1 06, — Cent-sixidme Theme. Avez-vous parle aux Russes ? — Je leur ai parle. — Les An- glais vous ont-ils jamais parle ? — lis m'ont parle souvent. — L'Allemand que vous a-t-il dit? — II m'a dit les mots. — Quels mots vous a-l-il dits ? — II m'a dit ces mots-ci. — Qu'avez-vous a me dire ? — J'ai quelqucs mots a vous dire. — Quels themes votre ami a-t-il ecrits ? — II a ecrit ceux-la. — Quels hommes avez-vous vus au marche ? — J'ai vu ceux-ci. — Quels livr^s vos EXERCISE CVII. 67 enfants ont-ils lus ? — lis ont lu ceux que vous leur avez pretes. — Avez-vous vu ces hommes-ci ou ceux-la ? — Je n'ai vu ni ceux-ci ni ceux-la. — Quels hommes avez-vous vus ? — J'ai vu ceux a qui vous avez parle. — Avez-vous connu ces hommes ? — Je les ai connus. — Quels garcons votre frere a-t-il connus ? — II a connu ceux de notre marchand. — Ai-je connu ces Fran- cais ? — Yous ne les avez pas connus. — Quel vin votre domes- tique a-t-il bu ? — II a bu le mien. — Avez-vous vu mes freres ? — Je les ai vus. — Ou les avez-vous vus ? — Je les sj. vus chez eux. — Avez-vous jamais vu des Grecs ? — Je n'en ai jamais vu. — Votre pere en a-t-il vu? — II en a vu quelquefois. — M'appe- lez-vous ? — Je vous appelle. — Qui appelle votre frere ? — Mon pere Pappelle. — Appelles-tu quelqu'un ? — Je n'appellepersonne. — Avez-vous jete votre chapeau ? — Je ne l'ai pas jete. — Yotre pere jette-t-il quelque chose ? — II jette les billets qu'il recoit. — Avez-vous jete vos crayons ? — Je ne les ai pas jetes. — Jettes-tu ton livre ? — Je ne le jette pas ; j'en ai besoin pour etudier le francais. 107. — Cent-septi&me TMme. Ou vos freres sont-ils alles ? — lis sont alles au theatre. — Vos amis sont-ils partis ? — lis ne sont pas encore partis. — Quand partent-ils 1 — Ce soir. — A quelle heure 1 — A neuf heures et demie. — Quand les garcons francais sont-ils venus chez votre frere 1 — lis y sont venus hier. — Leurs amis sont-ils venus aussi ? — lis sont venus aussi. — Quelqu'un est-il venu chez nous ? — Les bons Allemands sont venus chez nous. — Qui est venu chez les Anglais ? — Les Francais y sont venus. — Quand avez-vous bu du vin ? — J'en ai bu hier et aujourd'hui. — Le domestique a-t-il porte mon billet? — II l'a porte. — Ou l'a- t-il porte ? — II l'a porte a votre ami. — Quels billets avez-vous portes ? — J'ai porte ceux que vous m'avez donnes a porter. — A qui les avez-vous portes ? — Je les ai portes a votre pere. — Quels livres votre domestique a-t-il pris ? — II a pris ceux que vous ne lisez pas. — Vos marchands ont-ils ouvert leurs maga- sins ? — lis les ont ouverts. — Quels magasins ont-ils ouverts ? — lis ont ouvert ceux que vous avez vus. — Quand les ont-ils 68 EXEI7CISES CVIII, CIX. ouverts? — lis les ont ouverts aujourd'hui. — Avez-vous conduit les etrangers au magasin ? — Je les y ai conduits. — Quels feux les hommes ont-ils eteints ? — lis ont eteint ceux que vous avez apercus. — Avez-vous recu des billets ? — Nous en avons recu. — Conibien de billety avez-vous recus ? — Je n'en ai recu qu'un •, mais mon frere en a recu plus que moi ; il en a recu six. 108. — Cent-hmti&me TMme. Ou est mon habit? — II est sur le banc. — Mes souiiers sont- lls sur le banc ? — lis sont dessous. — Le charbon est-il sous le banc ?— II est dans le poele. — Avez-vous mis du bois dan? le poele ? — J'y en ai mis. — Avez-vous froid ? — Je n'ai pas froid. — Le bois que j'ai vu est-il dans le poele ? — II y est. — Mes papiers sont-ils sur le poele ? — lis sont dedans. — N'avez-vous pas eu peur de bruler mes papiers 1 — Je n'ai pas eu peur de les bruler. — Avez-vous envoye votre petit garcon au marche ? — Je l'y ai envoye. — Quand Py avez-vous envoye ? — Ce matin. — Avez-vous ecrit a votre pere ? — Je lui ai ecrit. — Vous a-t-il repondu ? — II ne m'a pas encore repondu. — Faites-vous balayer votre plancher ? — Je le fais balayer. — Avez-vous fait balayer votre comptoir? — Je ne l'ai pas encore fait balayer, mais je compte le faire balayer aujourd'hui. — Avez-vous essuye vos pieds ? — Je les ai essuyes. — Ou avez-vous essuye vos pieds 1 — Je les ai essuyes au tapis. — Avez-vous fait essuyer vos bancs ? — Je les ai fait essuyer. — Votre domestique qu'essuie- t-il ? — II essuie les couteaux. — Avez-vous jamais ecrit au me- decin ? — Je ne lui ai jamais ecrit. — Vous a-t-il ecrit quelque- fois ? — II m'a souvent ecrit. — Que vous a-t-il ecrit ? — II m'a ecrit quelque chose. — Combien de fois vos amis vous ont-ils ecrit? — lis m'ont ecrit plus de vingt fois. — Avez-vous vu mes fils ? — Je ne les ai jamais vus. 1 09 # — Ccnt-neuvi&me TMme. Avez-vous jamais vu des Grecs ? — Je n'en ai jamais vu, — Avez-vous deja vu un Syrien ? — J'en ai deja vu un. — Ou en avez-vous vu un ? — Au theatre. — Avez-vous donne le livie a LXERCISE CX. 69 mon frere ? — Je le hii ai donne. — Avez-vous donne de l'argent au marchand ? — Je lui en ai donne. — Combien lui avez-vous donne ? — Je lui ai donne quatorze ecus. — Avez-vous donne des rubans d'or aux enfants de nos voisins? — Je leur en ai donne.— Veux-tu me donner du vin ? — Je vous en ai deja donne. — Quand m'en as-tu donne ? — Je vous en ai donne autrefois. — Veux-tu m'en donner a present ? — Je ne puis vous en donner ; je n'en ai pas. — L'Americain vous a-t-il prete de l'argent ?— II m'en a prete. — Vous en a-t-il prete souvent ? — II m'en a prete quelque- fois. — L'ltalien vous a-t-il jamais prete de l'argent? — II ne m'en a jamais prete. — Est-il pauvre ? — II n'est pas pauvre ; il est plus riche que vous. — Voulez-vous me preter un ecu? — Je veux vous en preter^deux. — Votre garcon est-il venu chez le mien? — II y est venu. — Quand? — Ce matin. — A quelle heure? — De bonne heure. — Est-il venu de meilleure heure que moi? — A quelle heure etes-vous venu ? — Je suis venu a cinq heures et demie. — II est venu de meilleure heure que vous. 110. — Cent-dixieme Theme. Le concert a-t-il eu lieu? — II a eu lieu. — A-t-il eulieutard? — II a eu lieu de bonne heure. — A quelle heure ? — A midi. — A quelle heure le bal a-t-il eu lieu ? — II a eu lieu a minuit. — Votre frere apprend-il a ecrire ? — II l'apprend. — Sait-il lire? — II ne le sait pas encore. — Connaissez-vous le Francais que je connais ? — Je ne connais pas celui que vous connaissez, mais j'en connais un autre. — Votre ami connait-il les memes mar- chands que je connais ? — II ne connait pas les memes, mais il en connait d'autres. — Avez-vous jamais fait raccommoder votre habit? — Je l'ai fait raccommoder quelquefois. — As-tu deja fait raccommoder tes souliers ? — Je ne les ai pas encore fait rac- commoder. — "Votre frere a-t-il fait raccommoder ses bas quel- quefois ? — II les a fait raccommoder plusieurs fois. — As-tu fait raccommoder ton chapeau ou ton Soulier ? — Je n'ai fait raccom- moder ni Tun ni l'autre. — Avez-vous fait laver vos bas ou vos gants ? — Je n'ai fait laver ni les uns ni les autres. — Votre pere a-t-il fait faire quelque chose ? — II n'a rien fait faire. — « Avez-vous cherc'he mes gants? — Je les ai cherches. — Ou les 70 EXERCISES CXI, CXU avez-vous cherches ? — Je les ai cherches sur le lit, et je les i trouves dessous. — Avez-vous trouve mes billets dans le poelo? — Je les y ai trouves. — Avez-vous trouve mes bas sous le lit? — -Je les ai trouves dessus. Ill, — Cent-onzieme Tkime. Me promettez-vous de venir au bal ? — Je vous le promets. — Vous ai-je promis quelque chose ? — Vous ne m'avez rien promis. — Mon pere que vous a-t-il promis ? — II m r a promis un beau livre. — L'avez-vous recu? — Pas encore. — Me donnez- vous ce que vous m'avez promis ?— -Je vous le donne. — Votre ami a-t-il recu beaucoup d'argent? — Il.n'en a guere recu. — Combien a-t-il recu? — II n'a recu qu'un ecu. — Combien d'ar- gent avez-vous donne a mon flls ? — Je lui ai donne trente francs. — Ne lui avez-vous pas promis davantage? — Je lui ai donne ce que je lui ai promis. — Avez-vous de l'argent francais ?— J'en ai. — Quel argent avez-vous ? — J'ai des francs, des sous et des centimes. — Combien de sous y a-t-il dans un franc ? — II y a vingt sous dans un franc. — Avez-vous des centimes? — J'en ai quelques-uns. — Combien de centimes y a-t-il dans un sou ? — II y en a cinq. — Et combien y en a-t-il dans un franc ? — Cent. — Voulez-vous me preter votre habit ? — Je veux vous le preter, mais il est use. — Vos souliers sont-ils uses ? — lis ne sont pas uses. — Voulez-vous les preter a mon frere ? — Je veux les lui preter. — A qui avez-vous prete votre chape au ? — Je ne l'ai pas prete ; je l'ai donne a quelqu'un. — A qui l'avez-vous donne ? — Je l'ai donne a un pauvre. 11 2* — Cent-douziime Theme. Votre petit frere sait-il deja epeler ? — II le sait. — Epelle-t-il bien? — II epelle bien. — Comment votre petit garcon a-t-il epele ? — II a epele comme cela. — Comment vos enfants ont-ils ccrit leurs themes ? — lis les ont mal ecrits. — Mon voisin vous a-t-il prete ses gants ? — II a refuse de me les preter. — Savez-vous l'espagnol ? — Je le sais. — Votre fils parle-t-il italien? — II le parle bien. — Comment vos amis parlent-ils ? — lis ne parlent EXERCISE CXIII. 71 pas mal. — Ecoutent-ils ce que vous leur dites ? — lis l'ecoutent — Comment as-tu appris l'anglais ? — Je l'ai appris de cette maniere. — M'avez-vous appele? — Je ne vous ai pas appele, mais j'ai appele votre frere. — Est-il venu ? — Pas encore. — Ou avez-vous mouille vos habits ? — Je les ai mouilles dans le jar- din. — Voulez-vous les mettre a secher ? — Je les ai deja mis a secher. — Le gentilhomme veut-il me donner quelque chose a faire ? — II veut vous donner quelque chose mestique a-t-il brosse mes beaux tapis ? — II ne les a pas encore brosses. — Avez-vous achete un nouveau cheval ? — J'ai achete deux nouveaux che- vaux. — Combien de beaux arbres avez-vous vus ? — Je n'ai vu qu'un bel arbre. — Avez-vous vu un bel homme ? — J'ai vu plu- sieurs beaux homines. — Avez-vous un nouvel ami ? — J'en a plusieurs. — Aimez-vous vos nouveaux amis ? — Je les aime. 120. — Cent-vingtieme Theme. Jusqu'ou avez-vous voyage ? — J'ai voyage jusqu'en Alle- magne. — Est-il alle jusqu'en Italie ? — II est alle jusqu'en Ame- rique. — Jusqu'ou les Espagnols sont-ils alles ? — lis sont alles jusqu'a Londres. — Jusqu'ou ce pauvre homme est-il venu ? — II est venu jusqu'ici. — Est-il venu jusque chez vous 1 — II est venu jusque chez mon pere. — Yous a-t-on vole quelque chose ? — On m'a vole tout le bon vin. — A-t-on vole quelque chose a votre pere 1 — On lui a vole tous ses bons livres. — Voles-tu quelque chose ? — Je ne vole rien. — As-tu jamais vole quelque chose ? — Je n'ai jamais rien vole. — Vous a-t-on vole vos bons habits ? — On me les a voles. — Que m'a-t-on vole ? — On vous a vole tous les bons livres. — Quand vous a-t-on vole l'argent? — On me Fa vole avant-hier. — Nous a-i-on jamais vole quelque chose ? — On ne nous a jamais rien vole. — Jusqu'ou avez-vous voulu aller? — J'ai voulu aller jusqu'au bois. — Avez-vous ete jusque-la ? — Je n'ai pas ete jusque-la. — Jusqu'ou votre frere veut-il aller ? — II veut aller jusqu'au bout de ce chemin-la. — Jusqu'ou le vin va-t-il ? — II va jusqu'au fond du tonneau. — Ou vas-tu ? — Je vais au marche. — Jusqu'ou allons-nous ? — Nous allons jusqu'au theatre. — Allez-vous jusqu'au puits ? — Je vais EXERCISES CXXI, CXXII. 77 jusqu'au chateau. — L3 charpentier a-t-il bu tout le vin ? — II Pa bu. — Yotre petit garcon a-t-il dechire tous ses livres ? — II les a tous dechires. — Pourquoi les a-t-il dec-hires ? — Parce qu'il ne veut pas etudier. 121. — Cent-vingt et unidme TMme. Combien avez-vous perdu? — J'ai perdu tout mon argent. — Savez-vous ou est mon pere ? — Je ne le sais pas. — N'avez-vous pas yu mon livre ? — Je ne Pai pas vu. — Savez-vous commen* on ecrit ce mot ? — On Pecrit ainsi. — Teignez-vous quelque chose ? — Je teins mon chapeau. — Comment le teignez-vous ? — Je le teins en noir. — Comment teignez-vous vos habits ? — Je les teins en jaune. — Faites-vous teindre votre coffre ? — Je le fais teindre. — Comment le faites-vous teindre ? — Je le fais teindre en vert. — Comment fais-tu teindre tes bas de fil ? — Je les fais teindre en rouge. — Votre fils fait-il teindre son ruban ? — II le fait teindre. — Le fait-il teindre en rouge ? — II le fait teindre en gris. — Comment vos amis ont-ils fait teindre leurs habits ? — lis les ont fait teindre en vert. — Comment les Italiens ont-ils fait teindre leurs chapeaux ? — lis les ont fait teindre en brun. — Avez-vous un chapeau blanc ? — J'en ai un noir. — Quel chapeau le gentilhomme a-t-il ? — II a deux chapeaux ; un blanc et unnoir. — Quel chapeau PAmericain a-t-il 1 — II a un chapeau rond. — Ai-je un chapeau blanc ? — Yous avez plusieurs cha- peaux blancs et noirs. — Votre teinturier a-t-il deja teint votre drap ? — II Pa teint. — Comment Pa-t-il teint ? — II Pa teint en vert. — Voyagez-vous quelquefois ? — Je voyage souvent. — Ou comptez-vous aller cet ete ? — Je compte aller a Paris. — N'allez- vous pas en Italie 1 — J'y vais. — As-tu voyage quelquefois ? — Je n'ai jamais voyage. — Vos amis ont-ils envie d'aller en Hol- lande 1 — lis ont. envie d'y aller. — Quand comptent-ils partir ? — Us comptent partir apres demain. 1 22. — Cent-vingt-deuxitme Theme. Votre frere est-il deja alle er. Espagne ? — II n'y est pas en- core alle. — Avbz-vous voyage en Espagne ? — J'y ai voyage. — ■ 7 * 78 EXERCISE CXXIII. Quand partez-vous ? — Je pars demain. — A quelle heure ?— A cinq heures du matin. — Avez-vous use tous vos souliers ? — Je les ai tous uses. — Les Espagnols qu'ont-ils fait? — lis ontbrule tous nos bons vaisseaux. — Avez-vous fini tous vos themes ? — Te les ai tous finis. — Jusqu'ou le Francais est-il veiu ? — II est venu jusqu'au milieu du chemin. — Ou votre ami demeure-t-il ? ' — II demeure au deca du chemin. — Oil est votre magasin ? — II est au dela du chemin. — Ou est le comptoir de notre ami ? — II est au dela du theatre. — Le jardin de votre ami est-il en deca ou au dela du bois ? — II est au dela. — Notre magasin n'est-il pas en deca du chemin ? — II est en deca. — Ou avez-vous ete ce matin ? — J'ai ete au chateau. — Combien de temps etes-vous reste au chateau? — J'y suis reste une heure. — Votre frere est- il en bas ou en haut ? — II est en haut. — Jusqu'ou votre domes- tique a-t-il porte mon cofTre ? — II l'a porte jusqu'a mon maga- sin. — Est-il venu jusque chez moi ? — II est venu jusque-la. — Jusqu'ou le tapis vert va-t-il ? — II va jusqu'au coin du comptoir — Avez-vous ete en France ? — J'y ai ete plusieurs fois. — Vos enfants ont-ils deja ete en Allemagne ? — lis n'y ont pas encore ete, mais je compte les y envoyer au printemps. — Voulez-vous aller en deca ou au dela du chemin ? — Je ne veux aller ni en deca ni au dela ; je veux aller au milieu du chemin. — Jusqu'ou ce chemin conduit-il ? — II conduit jusqu'a Londres. 1 23. — Cent-vingt-troisiime Theme. Faut-il aller au marche ? — II ne faut pas y aller. — Que vous faut-il acheter ? — II me faut acheter du boeuf. — Me faut-il aller chercher du vin ? — II vous faut en aller chercher. — Dois-je aller au bal? — II vous faut y aller. — Quand me faut-il y aller ? — II vous faut y aller ce soir. — Me faut-il aller chercher le charpcntier? — II vous faut Taller chercher. — Que faut-il faire pour apprendre le russe ? — II faut etudier beaucoup. — Faut-il etudier beaucoup pour apprendre l'allemand ? — II faut ■ etudier beaucoup. — Que me faut-il faire ? — II vous faut acheter un bon livre. — Que doit-il faire ? — II lui faut rester tranquille. — Quo devons-nous faire ! — II vous faut travailler. — Vous faut- il travailler beaucoup pour apprendre 1'arabe ? — II me faut tra- EXERCISE CXXIV. 79 vailler beaucoup pour l'apprendre. — Pourquoi me faut-il aller au marche ? — II vous faut y aller pour acheter du bceuf et du .vin. — Me faut-il aller quelque part ? — II te faut aller dans le jardin. — Me faut-il envoy er chercher quelque chose ? — II te faut envoyer chercher du vin. — Que me faut-il faire ? — II vous faut ecrire un theme. — A qui me faut-il ecrire un billet ? — II rous faut en ecrire un a votre ami. — Que vous faut-il, Mon- sieur ? — II me fa^it du drap. — Combien ce chapeau ^ aut-il ? — II vaut quatre ecus. — Yous faut-il des bas ? — II m'en faut. — Combien ces bas-la valent-ils ? — lis valent deux francs. — Ne vous faut-il que cela? — II ne me faut que cela. — Ne vous faut- il pas de souliers ? — II ne m'en faut pas. — Te faut-il beaucoup d'argent ? — II m'en faut beaucoup. — Combien te faut-il ? — II me faut cinq ecus. — Combien faut-il a votre frere ? — II ne lui faut que six sous. — Ne lui faut-il pas davantage ? — II ne lui faut pas davantage. — Faut-il davantage a votre ami? — II ne lui faut pas autant qu'a moi. — Que vous faut-il ? — II me faut de l'argent et des habits. — Avez-vous a present ce qu'il vous faut ? — J'ai ce qu'il me faut. — Yotre pere a-t-il ce qu'il lui fiut? — II a ce qu'il lui faut. 1 24. — Cent-vingt-quatrieme Theme. Les garcons du voisin vous ont-ils rendu vos livres ? — lis me les ont rendus. — Quand vous les ont-ils rendus? — lis me les ont rendus hier. — Yotre petit garcon a-t-il recu un present ? — II en a recu plusieurs. — De qui en a-t-il recu? — II en a recu de mon pere et du votre. — Avez-vous recu des presents? — J'en ai recu. — Quels presents avez-vous recus? — J'ai recu de beaux presents. — Yenez-vous du jardin? — Je ne viens pas du jardin, mais du magasin. — Ou allez-vous ? — Je vais au jardin. — D'ou l'lrlandais vient-il ? — II vient du jardin. — Yient-il du jardin duquel vous venez ? — II ne vient pas du meme. — De quel jar- din vient-il ? — II vient de celui de notre vieil ami. — D'ou vot~e garcon vient-il ? — II vient du spectacle. — Combien ce cheval peut-il valoir ? — II peut valoir cinq cents ecus. — Ce livre- ci vaut-il autant que celui-la? — II vaut davantage. — Cumbiei mon fusil vaut-il ? — II vaut autant que celui de votre ami 80 EXERCISES CXXV, CXXV1. — Vos chevaux valent-ils autant que ceux des Anglais? — lis ne valent pas autant. — Combien ce couteau vaut-il ? — Tl n« vaut rien. 1 25. — Cent-vingt-cinqui£me Theme. Votre domestique vaut-il autant que le mien? — II vaut mieux que le votre. — Yalez-vous autant que votre frere ? — II vaut mieux que moi. — Vaux-tu autant que ton ami . — Je vaux autant que lui. — Valons-nous autant que nos voisins ? — Nous valons mieux qu'eux. — Yotre parapluie vaut-il autant que le mien ? — II ne vaut pas autant. — Pourquoi ne vaut-il pas autant que le mien? — Parce qu'il n'est pas aussi beau que le votre. — Com- bien ce fusil vaut-il ? — II ne vaut pas beaucoup. — Youlez-vous vendre votre cheval ? — Je veux le vendre. — Combien vaut-il? — II vaut deux cents ecus, — Youlez-vous Facheter ? — J'en ai deja achete un. — Yotre pere compte-t-il acheter un cheval ? — II compte en acheter un, mais non pas le votre. — Yos freres ont-ils commence leurs themes ? — lis les ont commences. — Avez-vous recu vos billets ? — Nous ne les avons pas encore recus. — Avons-nous ce qu'il nous faut? — Nous n'avons pas ce qu'il nous faut. — Que nous faut-il ? — II nous faut de beaux che- vaux, plusieurs domestiques et beaucoup d'argent. — Ne nous faut-il que cela ? — II ne nous faut que cela. — Que dois-je faire ? — II vous faut ecrire. — A qui me faut-il ecrire ? — II vous faut ecrire a votre ami. — Ou est-il ? — II est en Amerique. — Ou dois-je allcr? — Yous pouvez aller en France. — Jusqu'ou me faut-il aller ? — Yous pouvez aller jusqu'a Paris. — A quels billets votre pere a-t-il repondu ? — II a repondu a ceux de ses amis. — Quels chiens votre domestique a-t-il battus ? — II a battu ceux qui ont fait beaucoup de bruit. 1 20. — Ccnt-vingt-sixic'mc Theme. Avcz-vous pavr le fusil? — Je i'ai paye. — Yotre oncle a-t-il paye les livres ?— II les a paves. — Ai-je paye les habits au taillcur? — Yous les lui avez paye* s. — As-tu paye le cheval au marchand? — Je ne le lui ai pas encore paye. — Avons-nous EXERCISE CXXVII. 81 paye nos gants ? — Nous les avons payes. — Votre cousin a-t-il deja pave ses souliers ? — II ne les a pas encore payes. — Hon frere vous paie-t-il ce qu'il vous doit ? — II me le paie. — Payez- vous ce que vous devez ? — Je paie ce que je dois. — Avez-vous paye le boulanger ? — Je l'ai paye. — Votre oncle a-t-il paye le boeuf au boucher? — II le lui a paye. — Qui a casse mon cou- teau ? — Je l'ai casse apres avoir coupe le pain. — Yotre fils a-t- il casse mes crayons ? — II les a casses apres avoir ecrit ses billets. — Avez-vous paye le vin au marchand apres Pavoir bu? — Je l'ai paye apres Pavoir bu. — Qu'avez-vous fait apres avoir fini vos themes ? — J'ai ete chez mon cousin, pour le conduire au spectacle. — Comment est-ce que je parle ? — Vous parlez comme il faut. — Comment mon cousin a-t-il ecrit ses themes ? — II les a ecrits comme il faut. — Comment mes enfants ont-ils fait leur devoir ? — lis Pont bien fait. — Cet homme fait-il son devoir? — II le fait toujours. — Ces hommes font-ils leur devoir? — lis le font toujours. — Faites-vous votre devoir ?— Je fais ce que je puis. — Que demandez-vous a cet homme ? — Je lui de- mande de Pargent. — Ce garcon que me demande-t-il ? — II vous demande de Pargent. — Me demandez-vous quelque chose ? — Je vous demande un ecu. — Me demandez-vous le pain? — Je vous le demande. — A quel homme demandez-vous de Pargent? — J'en demande a celui a qui vous en demandez. — A quel mar- chand demandez-vous des gants ? — J'en demande a ceux qui demeurent dans la rue Guillaume. — Que demandez-vous au boulanger ? — Je lui demande du pain. 127 • — Cent-vingt~septi&me Theme. Demandez-vous du boeuf aux bouchers ? — Je leur en de- mande. — Me demandes-tu le baton? — Je te le demande. — Te demande-t-il le livre ? — II me le demande. — Qu'avez-vous de- mande a PAnglais ? — Je lui ai demande mon coffre de cuir. — Vous Pa-t-il donne ? — II me Pa donne. — A qui avez-vous de- mande du sucre? — J'en ai demande au marchand. — A qui votre frere paie-t-il ses souliers ? — II les paie aux cordonniers. — A qui avons-nous paye le pain? — Nous Pavons paye a nos bou- langers. — Quel age as-tu ? — Je n'ai pas tout-a-fait dix ans. — 82 EXERCISE CXXVIII. Apprends-tu deja le francais ? — Je l'apprends deja. — Ton frere sait-il l'allemand? — II ne le sait pas. — Pourquoi ne le sait-il pas ? — Parce qu'il n'a pas eu le temps. — Yotre pere est-il chez lui ? — Non, il est parti, mais mon frere est a la maison. — Ou votre pere est-il alle ? — II est alle en Angleterre. — Y avez-vous ete quelquefois ? — Je n'y ai jamais ete. — Comptez-vous aller en France cet ete ? — Je compte y aller. — Comptez-vous y rester long-temps ? — Je compte y rester pendant l'ete. — Jusqu'a quand votre frere reste-t-il a la maison ? — Jusqu'a midi. — Avez-vous fait teindre vos gants ? — Je les ai fait teindre. — Comment les avez-vous fait teindre ? — Je les ai fait teind e en jaune. — Avez-vous deja dine ? — Pas encore. — A quelle heure dinez-vous ? — Je dine a six heures. — Chez qui dinez-vous ? — Je dine chez un de mes amis. — Avec qui avez-vous dine hier ? — J'ai dine avec un de mes parents. — Qu'avez-vous mange ? — Nous avons mange de bon pain, du boeuf et des gateaux. — Qu'avez-vous bu ? — Nous avons bu de bon vin et d'excellent cidre. — Ou votre oncle dine-t-il aujourd'hui ? — II dine chez nous. — A quelle heure votre pere soupe-t-il ? — II soupe a neuf heures. — Soupez-vous de meilleure heure que lui? — Je soup* plus tard que lui. 128 • — Cent-vingt-huiti£me Thtme. Ou allez-vous ? — Je vais chez un de mes parents, pour de jeuner avec lui. — Yeux-tu tenir mes gants ? — Je veux les tenii — Qui tient mon chapeau ? — Yotre fils le tient. — Tiens-tu mon baton ? — Je le tiens. — Tenez-vous quelque chose ? — Je tiens votre fusil. — Qui a tenu mon livre ? — Yotre domestique l'a tenu. — Youlez-vous essayer de parler? — Je veux essayer. — Votre petit frere a-t-il jamais essaye de faire des themes ? — II a essaye. — Avez-vous jamais essaye de faire un chapeau? — Je n'ai jamais essaye d'en faire un. — Qui cherchez-vous ? — Je chdrche LTiomme qui m'a vendu un cheval. — Yotre parent cherche-t-il quelqu'un? — 11 cherche un de ses amis. — Cher- chons-nous quelqifun ? — Nous cherchons un de nos voisins. — Qui cherches-tu? — Je cherche un de nos amis. — Cherchez- vous un de mes domestiques ? — Non, je cherche un des miens. EXERCISE CXXIX. 83 — Avez-vous essaye de parler a votre oncle ? — J'ai essaye de lui parler. — Avez-vous essaye de voir mon pere ? — J'ai essaye de le voir. — Vous a-t-il recu ? — II ne m'a pas recu. — A-t-il recu vos freres 1 — II les a recus. — Avez-vous pu voir votre pa- rent ? — Je n'ai pas pu le voir. — Qu'avez-vous fait apres avoir ecrit vos themes ? — J'ai ecrit mon billet apres les avoir ecrits. — Qui demandez-vous 1 — Je demande le tailleur. — Cet homme demande-t-il quelqu'un 1 — II vous demande.— Yous demande- t-on? — On me demande.— Me demande-t-on 1 — On ne vous demande pas, mais on demande un de vos amis. — Demandez- vous le medecin ? — Je le demande. — Yotre petit frere que de- mande-t-il ? — II demande un petit morceau de pain. — N'a-t-il pas encore dejeune? — II a dejeune, mais il a encore faim. — Votre oncle que demande-t-il ? — II demande un verre de vin. —N'a-t-il pas deja bu? — II a deja bu, mais il a encore soif. 1 29. — Cent-vingt-neuvieme Theme. Apercevez-vous l'homme qui vient? — Je ne l'apercois pas. — Apercevez-vous les enfants du soldat? — Je les apercois. — Apercevez-vous les hommes qui vont dans le jardin ? — Je n'apercois pas ceux qui vont dans le jardin, mais ceux qui vont au marche. — Yotre frere apercoit-il Fhomme qui lui a prete de l'argent ? — II n'apercoit pas celui qui lui en a prete, mais celui a qui il en a prete. — Yois-tu les enfants qui etudient ? — Je ne vois pas ceux qui etudient, mais ceux qui jouent. — Apercois-tu quelque chose ? — Je n'apercois rien. — Avez-vous apercu les magasins de mes parents ? — Je les ai apercus. — Ou les avez- vous apercus ? — Je les ai apercus au dela du chemin. — Aimez- vous un grand chapeau ? — Je n'aime pas un grand chapeau, mais un grand parapluie. — Qu'aimez-vous a faire ? — J'aime a ecrire. — Aimez-vous a voir ces petits garcons ? — J'aime a les voir. — Aimez-vous le vin ? — Je l'aime. — Yotre frere aime-t-il ie cidre ? — II l'aime. — Les soldats qu'aiment-ils ? — lis aiment le vin. — Aimes-tu le the ou le cafe ? — J'aime Fun et 1'autre. — Ces enfants aiment-ils a etudier ? — lis aiment a etudier et a jouer. — Aimez-vous a lire et a ecrire ? — J'aime a lire et a ecrire. — Combien de fois par jour mangez-rous ? — Quatre fois, 84 EXERCISE CXXX — Combien de fois par jour vos enfants boivent-ils ? — Ila boivent plusieurs fois par jour. — Buvez-vous aussi souvent qu'eux? — Je bois plus souvent. — Allez-vous souvent au the- atre 1 — J'y vais quelquefois. — Combien de fois par mois y allez-vous? — Je n'y vais qu'une fois par mois. — Combien de fois par an votre cousin va-t-il au bal 1 — II y va deux fois par an. — Y allez-vous aussi souvent que lui ? — Je n'y vais jamais. — Votre cuisinier va-t-il souvent au marche ? — II y va tous les matins. 1 30. — Cent-trenticme Th&me. Allez-vous souvent chez mon oncle ? — J'y vais six fois pa) an. — Aimez-vous le poulet? — J'aime le poulet, mais je n'aime pas le poisson. — Qu'aimez-vous 1 — J'aime un morceau de pain et un verre de vin. — Apprenez-vous par coeur 1 — Je n'aime pas a apprendre par coeur. — Vos eleves aiment-ils a apprendre par coeur? — lis aiment a etudier, mais ils n'aiment pas a apprendre par coeur. — Combien de themes font-ils par jour ? — Ils n'en font que deux, mais ils les font comme il faut. — Avez-vous pu lire le billet que je vous ai ecrit? — J'ai pu le lire. — L'avez- vous compris ? — Je l'ai compris. — Comprenez-vous l'homine qui vous parle ? — Je ne le comprends pas. — Pourquoi ne le comprenez-vous pas ? — Parce qu'il parle trop mal. — Cet homme sait-il le francais ? — II le sait, mais je ne le sais pas. — Pour- quoi ne l'apprenez-vous pas ? — Je n'ai pas le temps de l'ap- prendre. — Comptez-vous aller au theatre ce soir ? — Je compte y aller, si vous y allez. — Votre pere compte-t-il acheter ce cheval ? — II compte l'acheter, s'il recoit son argent. — Votre ami compte-t-il aller en Angleterre ? — II compte y aller, si on lui paye ce qu'on lui doit. — Comptez-vous aller au concert? — Je compte y aller, si mon ami y va. — Votre frere compte-t-il 6tudiei Le francais? — II compte l'etudier, s'il trouve un bon niaitre. EXERCISES CXXXI, CXXXI1. 85 131» — Cent-trente et unieme Thime. Quel temps fait-il aujourd'hui ? — II fait tres-beau temps. — A-t-il fait beau temps hier ? — II a fait mauvais temps hier. — Quel temps a-t-il fait ce matin ? — II a fait mauvais temps, mais a present il fait beau temps. — Fait-il chaud ? — II fait tres- chaud. — Ne fait-il pas froid ? — II ne fait pas froid. — Fait-il chaud ou froid ? — II ne fait ni chaud ni froid. — Avez-vous ete au jardin avant-hier ? — Je n'y ai pas ete. — Pourquoi n'y avez- vous pas ete ? — Je n'y ai pas ete, parce qu'il a fait mauvais temps. — Comptez-vous y aller demain ? — Je compte v aller, s'il fait beau temps. — Fait-il clair dans votre comptoir ? — II ny fait pas clair. — Voulez-vous travailler dans le mien ? — Je veux y travailler. — Y fait-il clair 1 — II y fait tres-clair. — Pour- quoi votre frere ne peut-il pas travailler dans son magasin ? — II ne peut pas y travailler, parce qu'il y fait trop obscur. — Ou fait-il trop obscur 1 — Dans son magasm. — Fait-il clair dans ce trou ? — II y fait obscur. — Fait-il sec ? — II fait tres-sec. — Fait-il humide ? — II ne fait pas humide. II fait trop sec. — Fait-il clair de lune ? — II ne fait pas clair de lune, il fait tres-humide. — De quoi votre oncle parle-t-il? — II parle du beau temps. — De quoi ces hommes parlent-ils ? — Us parlent du beau et du mauvais temps. — Ne parlent-ils pas du vent? — lis en parlent aussi. — Parles-tu de mon oncle ? — Je n'en parle pas. — De qui parles-tu? — Je parle de toi et de tes parents. — Demandez-vous quelqu'un? — Je demande votre cousin ; est-il chez lui ? — Non, il est cbez son meilleur ami. 1 32. — Cent-trente-deuxieme Theme. Avez-vous goute ce vin ? — Je Pai goute. — Comment le trou- vez-vous ? — Je le trouve bon. — Comment votre cousin trouve- t-il ce cidre ? — II ne le trouve pas bon. — Quel vin voulez-vous gouter ? — Je veux gouter celui que vous avez goute. — Voulez- vous gouter ce tabac 1 — Je l'ai deja goute. — Comment le trou- vez-vous ? — Je le trouve bon. — Pourquoi ne goutez-vous pas ce cidre ? — Parce que je r 'ai pas soif. — Pourquoi votre ami ne 8 86 EXERCISE CXXX1II. goute-t-il pas ce boeuf ? — Parce qu'il n'a pas faim. — De qu a-t-on parle ? — On a parle de votre ami. — N'a-t-on pas park' des medecins ? — On n'en a pas parle. — Ne parle-t-on pas dc l'homme dont nous avons parle ? — «On en parle. — A-t-on par 16 des gentilshommes ? — On en a parle.— A-t-on parle de ceux dont nous parlons ? — On n'a pas parle de ceux dont nous par- Ions, mais on a parle d'autres. — A-t-on parle de nos enfants ou de ceux de nos voisins ? — On n'a parle ni des notres, ni de ceux de nos voisins. — De quels enfants a-t-.n parle? — On a parle de ceux de notre maitre. — Parle-t-on de mon livre ? — On en parle. — Etes-vous content de vos eleves ? — J'en suis con- tent. — Comment mon frere etudie-t-il ? — II etudie bien. — Com- bien de themes avez-vous etudies ?— J'en ai deja etudie qua- rante et un. — Votre maitre est-il content de son ecolier ? — II en est content. — Votre maitre est-il content des presents qu'il a recus ? — II en est content. — Avez-vous recu un billet ? — J'en ai recu un. — Voulez-vous y repondre ?— Je vais y repondre. — Quand l'avez-vous recu ? — Je l'ai recu ce matin de bonne heure. — En etes-vous content? — Je n'en suis pas content. — Votre ami vous demande-t-il de l'argent ? — II m'en demande. 1 33. — Cent-trente-troisidme Thbne. Etes-vous aime ? — Je suis aime. — De qui etes-vous aime ? — Je suis aime de mon oncle. — De qui suis-je aime? — Tu es aime de tes parents. — De qui sommes-nous aimes ? — Vous etes aimes de vos amis. — De qui ces garcons sont-ils aimes ? — lis sont aimes de leurs amis. — Par qui cet homme est-il conduit? — 11 est conduit par moi. — Ou le conduisez-vous ? — Je le conduis a la rnaison. — Par qui sommes-nous blames ? — Nous Bommes blames par nos ennemis. — Pourquoi en sommes-nous bhmirs ? — Parce qu'ils ne nous aiment pas. — Etes-vous puni par votre maitre ! — Je n'en suis pas puni, parce que je suis sage et Btudieux. — Sommes-nous entendus ? — Nous le sommes. — De qui BOmmes-nous entendus? — Nous sommes entendus par nos voisins. — Ton maitre est-il entendu par ses eleves ? — II en est entendu. — Qurls nifants sont lours ? — Ceux qui sont sages. — Lesqueh sont punis? — Ceux qui sont paresseux et EXERCISE CXXXIV. 87 mediants. — Soinmes-nous loues ou blames ? — Nous ne sommes ni loues ni blames. — Notre ami est-il aime de ses maitres ? — II en est aime et loue, parce qu'il est studieux et sage ; mais son frere est meprise des siens, parce qu'il est mechant et pares- seux. — Est-il puni quelquefois ? — II Test tous les matins et tous les soirs. — Etes-vous pu^i quelquefois? — Je ne le suis jamais ; je suis aime et recompense par mes bons maitres. — Ces enfants ne sont-ils jamais punis ? — lis ne le sont jamais, parce qu'ils sont studieux et sages ; mais ceux-la le sont tres- souvent, parce qu'ils sont paresseux et mechants. — Qui est loue et recompense ? — Les enfants habiles sont loues, estimes et recompenses ; mais les ignorants sont blames, meprises et punis. — Qui est aime et qui est hai? — Celui qui est studieux et sage est aime, et celui qui est paresseux et mechant est hai*. — Faut-il etre sage pour etre aime? — II faut l'etre. — Que faut- il faire pour etre aime ? — II faut etre sage et assidu. — Que faut-il faire pour etre recompense ? — II faut etre habile et etu- dier beaucoup. 134 • — Cent-trente-quatri&me Thime . Pourquoi ces enfants sont-ils aimes ? — lis sont aimes, parce qu'ils sont sages. — Sont-ils plus sages que nous ? — lis ne sont pas plus sages, mais plus studieux que vous. — Votre frere est- il aussi assidu que le mien ? — II est aussi assidu que lui, mais votre frere est plus sage que le mien. — Aimez-vous a aller en voiture ? — J'aime a aller a cheval. — Votre frere est-il jamais alle a cheval? — II n'est jamais alle a cheval. — Votre frere va- t-il a cheval aussi souvent que vous ? — II va a cheval plus souvent que moi. — Avez-vous ete a cheval avant-hier ? — J'ai «jte a cheval aujourdhui. — Aimez-vous a voyager? — J'aime a voyager. — Aimez-vous a voyager dans l'hiver ? — Je n'aime pas a voyager dans l'hiver ; j'aime a voyager au printemps et dans I'automne. — Fait-il bon voyager au printemps? — II fait bon voyager au printemps et dans I'automne ; mais il fait mauvais voyager dans l'ete et dans l'hiver. — Avez-vous voyage quelque- fois dans l'hiver? — J'ai souvent voyage dans l'hiver et dans l'ete. — Votre frere voyage-t-il souvent ? — II ne voyage plus ; il 88 EXERCISE CXXXV. a voyage beaucoup autrefois. — Quand aimez-vous a aller a clieval ? — J'aime a aller a cheval le matin. — Avez-vous ete a Londres ? — J'y ai ete. — Y fait-il bon vivre ? — II y fait bon vivre, mais cher. — Fait-il cher vivre a Paris ? — II y fait bon vivre, et pas cher. — Aimez-vous a voyager en France ? — J'aime a y voyager, parce qu'on y trouve de bonnes gens. — Votre ami aime-t-il a voyager en Hollande ? — II n'aime pas a y voyager, parce qu'il y fait mauvais vivre. — Aimez-vous a voyager en Italie ? — J'aime a y voyager, parce qu'il y fait bon vivre, et qu'on y trouve de bonnes gens ; mais les chemins n'y sont pas tres-bons. — Les Anglais aiment-ils a voyager en Espagne ? — lis aiment a y voyager ; mais ils y trouvent les chemins trop mauvais. — Quel temps fait-il? — II fait tres-mauvais temps. — Fait-il du vent ? — II fait beaucoup de vent. — A-t-il fait de l'orage hier? — II a fait beaucoup d'orage. 135* — Cent-trente-cinquieme Theme. Allez-vous au marche ce matin ? — J'y vais, s'il ne fait pas d'orage. — Comptez-vous aller en France cette annee ? — Je compte y aller, s'il ne fait pas trop mauvais temps. — Aimez- vous a aller a pied ? — Je n'aime pas a aller a pied, mais j'aime a aller en voiture, quand je voyage. — Youlez-vous aller a pied? — Je ne puis aller a pied, parce que je suis fatigue. — Quel temps fait-il? — II fait du tonnerre. — Fait-il du soleil ? — II ne fait pas de soleil ; il fait du brouillard. — Entendez-vous le ton- nerre ? — Je l'entends. — Fait-il beau ? — II fait beaucoup de vent ' et beaucoup de tonnerre. — De qui avez-vous parle ? — Nous avons parle de vous. — M'avez-vous loue ? — Nous ne vous avons pas loue ; nous vous avons blame. — Pourquoi m'avez-vous blame? — Parce que vous n'etudiez pas bien. — De quoi votre frfcre a-t-il parle? — II a parle de ses livres, de ses chevaux et de ses chiens. — Que faites-vous le soir ? — Je travaille aussi- tni que j'ai soupr. — Et que faites-vous ensuite? — Ensuite je dors. — Quand buvez-vous? — Jebois aussitot que j'ai mange. — Quand dormez-vous ? — Je dors aussitot que j'ai soupe\ — Avez- vous parl6 au marchand \ — .le lui ai parle. — Qu'a-t-il dit? — II est parti sans rim dire. — Pouvez-vous travailler sans parler ? EXERCISE CXXXVI. 89 — Je peux travailler, mais non pas etudier le francais sans parler. — Veux-tu aller chercher du vin ? — Je ne peux pas aller chercher de vin sans argent. — Avez-vous achete des chevaux ? — Je n'achete pas sans argent. — Yotre pere est-il enfin arrive ? — II est arrive. — Quand est-il arrive ? — Ce matin a quatre heures. — Yotre cousin est-il enfin parti ? — II n'est pas encore parti. — Avez-vous enfin trouve un bon maitre ?— J'en ai enfin trouve un. — Apprenez-vous enfin 1'allemand ? — Je l'apprends enfin. — Pourquoi ne l'avez-vous pas deja appris ? — Parce que je n'ai pas pu trouver un bon maitre. 1 36. — Cent-trente~sixi£me TMme. Vous vcyez-vous dans ce petit miroir? — Je m'y vois. — Vos amis peuvent-ils se voir dans ce grand miroir? — lis peuvent s'y voir. — Pourquoi votre frere n'allume-t-il pas le feu ? — II ne I'allume pas, parce qu'il a peur de se bruler. — Pourquoi ne coupez-vous pas votre pain ? — Je ne le coupe pas, parce que j'ai peur de me couper le doigt. — Avez-vous mal au doigt ? — J'ai mal au doigt et au pied. — Youlez-vous vous chauffer ? — Je veux me chauffer, parce que j'ai grand froid. — Pourquoi cet homme ne se chauffe-t-il pas ? — Parce qu'il n'a pas froid. — Yos voisins se chauffent-ils ? — lis se chauffent, parce qu'ils ont froid. — Yous coupez-vous les cheveux? — Je me coupe les che- veux. — Yotre ami se coupe-t-il les ongles 1 — II se coupe les ongles et les cheveux. — Que fait cet homme ? — II s'arrache les cheveux. — A quoi vous amusez-vous ? — Je m'amuse de mon mieux. — A quoi vos enfants s'amusent-ils ? — lis s'amusent a etudier, a ecrire et a jouer. — A quoi votre cousin s'amuse-t-il ? — II s'amuse a lire de bons livres et a ecrire a ses amis. — A quoi vous amusez-vous, quand vous n'avez rien a faire a la maison? — Je vais au spectacle et au concert. Je dis souvent: " Chacun s'amuse comme il veut." — Chacun a son gout ; quel est le votre? — Le mien est d'etudier, de lire un bon livre, d'aller au theatre, au concert, au bal, et de monter a cheval. 8* 90 EXERCISE CXXXVIT 1 37. — Cent-trente-septieme TMme. Pourquoi votre cousin ne brosse-t-il pas son habit ? — II ne le brosse pas, parce qu'il a peur de se salir les doigts. — Mon voisin que vous dit-il ? — II me dit que vous voulez acheter son cheval ; mais je sais qu'il se trompe, parce que vous n'avez pas d'argent pour l'acheter. — Que dit-on au marche ? — On dit que l'ennemi est battu. — Croyez-vous cela ? — Je le crois, parce que tout le monde le dit. — Pourquoi avez-vous achete ce livre? — Je l'ai achete parce que j'en ai besoin pom apprendre le francais, et parce que tout le monde en parle. — Yos amis s'en vont-ils ? — lis s'en vont. — Quand s'en vont-ils 1 — lis s'en vont demain. — Quand vous en allez-vous 1 — Nous nous en allons aujourd'hui. — Est-ce que je m'en vais 1 — Vous vous en allez, si vous voulez. — Nos voisins que disent-ils ? — lis s'en vont sans rien dire. — Comment trouvez-vous ce vin? — Je ne le trouve pas bon. — Qu'avez-vous ? — J'ai envie de dormir. — Votre ami a-t-il envie de dormir ? — II n'a pas envie de dormir, mais il a froid. — Pourquoi ne se chauffe-t-il pas ? — II n'a pas de bois pour faire du feu. — Pourquoi n'achete-t-il pas de bois ? — II n'a pas d'argent pour en acheter. — Voulez-vous lui en pre- ter? — S'il n'en a pas, je veux lui en preter. — Avez-vous soif? — Je n'ai pas soif, mais j'ai grand' faim. — Votre domestique a-t-il sommeil ? — II a sommeil. — A-t-il faim ? — II a faim. — Pourquoi ne mange-t-il pas ? — Parce qu'il n'a rien a manger. — Vos enfants ont-ils faim ? — lis ont faim, mais ils n'ont rien a manger. — Ont-ils quelque chose a boire ? — Ils n'ont rien a boire. — Pourquoi ne mangez-vous pas ? — Je ne mange pas, quand je n'ai pas faim. — Pourquoi le Russe ne boit-il pas ? — II ne boit pas, quand il n'a pas soif. — Votre frere a-t-il mange quelque chose hier au soir ? — II a mange un morceau de boeuf, un petit morceau de poulet, et un morceau de pain. — N'a-t-il pas bu ? — II i bu missi. — Qu'a~t-il bu? — II a bu un verre de vin. EXERCISES CXXXVIII, CXXXIX. 91 1 38. — Cent-trcnte-huitieme Thime. Pourquoi a-t-on loue cet enfant ? — On Fa loue parce qu'il a oien etudie. — T'a-t-on jamais loue ?— On m'a loue sou\ent. — Pourvjuoi a-t-on puni cet autre enfant ? — On l'a puni parce qu'il a ete mediant et paresseux. — A-t-on recompense cet en- fant ? — On Fa recompense, parce qu'il a bien trava;lle. — Que doit-on faire pour ne pas etre meprise ? — On doit etre studieux et sage. — Qu'est devenu votre ami ? — II s'est fait avocat. — Qu'est devenu votre cousin I — II s'est enrole. — Yotre voisin s'est-il enrole ? — II ne s'est pas enrole. — Qu'est-il devenu ? — II' s'est fait marchand. — Ses enfants que sont-ils devenus 1 — Ses enfants sont devenus hommes. — Votre fils qu'est-il devenu ? — II est devenu grand homme. — Est-il devenu savant 1 — II est devenu savant. — Mon livre qu'est-il devenu 1 — Je ne sais pas ce qu'il est devenu. — L'avez-vous dechire ? — Je ne Fai pas dechire. — Qu'est devenu le fils de notre ami ? — Je ne sais pas ce qu'il est devenu. — Qu'avez-vous fait de votre argent ? — J'en ai achete un livre. — Le menuisier qu'a-t-il fait de son bois ? — II en a fait un banc. — Le tailleur qu'a-t-il fait du drap que vous lui avez donne ? — II en a fait des habits pour vos enfants et les miens. — Cet homme vous a-t-il fait mal? — Non, Mon- sieur, il ne m'a pas fait mal. — Que faut-il faire pour etre aime? — II faut faire du bien a ceux qui nous ont fait du mal. — Vous avons-nous jamais fait du mal ? — Non ; vous nous avez au contraire fait du bien. — Faites-vous du mal a quelqu'un 1 — Je ne fais de mal a personne. — Pourquoi avez-vous fait du mal a ces enfants ? — Je ne leur ai pas fait de mal. — Vous ai-je fait mal ? — Vous ne m'avez pas fait de mal, mais vos garcons m'en >nt fait. — Que vous ont-ils fait ? — lis m'ont battu. — Est-ce 'otre frere qui a fait mal a mon fils ? — Non, Monsieur, ce n'est >as mon frere, car il n'a jamais fait de mal a personne. 1 39. — Cent-trente-neuvieme Theme. Avrz-vous bu ce vin ? — Je Fai bu. — Comment l'avez-vous trou' - ? — Je Fai trouve tres-bon. — Vous a-t-il fait du bien ? — II 92 EXERCISE CXL. m'a fait du bien. — Vous etes-vous fait mal ? — Je ne me suis pas fait mal. — Qui s'est fait mal ? — Mon frere s'est fait mal, car il s'est coupe le doigt. — Est-il encore malade ? — II est mieux. — Je me rejouis d'apprendre qu'il n'est plus malade, car je l'aime. — Pourquoi votre cousin s'arrache-t-il les cheveux ? — Parce qu'il ne peut pas payer ce qu'il doit. — Vous etes-vous coape les cheveux? — Je ne me les suis pas coupes, mais je me les suis fait couper. — Cet enfant qu'a-t-il fait ? — II s'est coupe le pied. — Pourquoi lui a-t-on donne un couteau ? — On lui a donne un couteau pour se couper les ongles, et il s'est 20upe le doigt et le pied. — -Vous couchez-vous de bonne heure ? — Je me couche tard, car je ne peux pas dormir quand je me couche de bonne heure. — A quelle heure vous etes-vous cou- che hier ? — Hier j'ai ete me coucher a onze heures et un quart. — A quelle heure vos enfants vont-ils se coucher ? — lis se couchent au coucher du soleil. — Se levent-ils de bonne heure ? — lis se levent au lever du soleil. — A quelle heure vous etes- vous leve aujourd'hui? — Aujourd'hui je me suis leve tard, parce que je me suis couche tard hier au soir. — Votre fils se leve-t-il tard ? — II se leve de bonne heure, car il ne se couche jamais tard. — Que fait-il quand il se leve ? — II etudie, puis il dejeune. — Ne sort-il pas avant de dejeuner? — Non, it etudie et dejeune avant de sortir. — Que fait-il apres avoir dejeune ? — Aussitot qu'il a dejeune il vient chez moi, et nous allons nous promener a cheval. — T'es-tu leve ce matin d'aussi bonne heure que moi ? — Je me suis leve de meilleure heure que vous, car je me suis leve avant le lever du soleil. 1 40. — Ccnt-quaranticme Tlicme. Allez-vous souvent vous promener ? — Je vais me promener, quand je n'ai rien a faire a la maison. — Voulez-vous vous pro- mener? — Jc ne puis me promener, car j'ai trop a faire. — Voire frSre B'est-il promene" a cheval ? — II s'est promene en carosse. — Vos enfants vont-ils souvent se promener? — lis vont se promener tous les matins apres le dejeuner. — Allez-vous vous promener apivs lr diner } — Apivs 1<* diner je prends le the, puis je me promene. — Promenez-vous souvent vos enfants? — EXERCISE CXL1. 93 Je les promene tous les matins et tous les soils. — Pouvez-vous aller avec moi ? — Je ne peux pas aller avec vous, car je dois promener mon petit frere. — Ou vous promenez-vous 1 — Nous rious promenons dans le jardin de notre oncle. — Votre pere s'est- il rejoui de vous voir ? — II s'est rejoui de me voir. — De quoi vous etes-vous rejoui ? — Je me suis rejoui de voir mes bons amis. — De quoi votre oncle s'est-il rejoui ? — II s'est rejoui du cheval que vous lui avez envoye. — De quoi vos enfants se sont-ils rejouis ? — lis se sont rejouis des beaux habits tnie je ieur ai fait faire. — Pourquoi cet homrae se rejouit-L r tant ? — Parce qu'il se flatte d'avoir de bons amis. — N'a-t-il pas raison de se rejouir ? — II a tort, car il n'a que des ennemis. — N'est-il pas aime 1 — On le flatte, mais on ne Paime pas. — Vous flattez- vous de savoir le francais ? — Je me flatte de le savoir ; car je sais le parler, le lire et Pecrire. — Le medecin a-t-il fait mal a votre enfant 1 — II lui a coupe le doigt, mais il ne lui a pas fait de mal, et vous vous trompez, si vous croyez qu'il lui a fait mal. — Pourquoi ecoutez-vous cet homme ? — Je Pecoute, mais je ne le crois pas ; car je sais que c'est un menteur. — Com- ment savez-vous que c'est un menteur ? — II ne croit pas en Dieu ; et tous ceux qui ne croient pas en Dieu sont des men- leurs. 141. — Cent-quarante et uniime Theme. Avez-vous enfin appris le francais ? — J'ai ete malade, de sorte que je n'ai pas pu Papprendre. — Votre frere Pa-t-il ap- pris ? — II ne Pa pas appris, parce qu'il n'a pas encore pu trou- ver un bon maitre. — Allez-vous au bal ce soir ? — J'ai mal aux pieds, de sorte que je ne puis y aller. — Avez-vous compris cet Allemand ? — Je ne sais pas Pallemand, de sorte que je n'ai pas pu le comprendre. — Avez-vous achete le cheval dont vous m'avez parle ? — Je n'ai pas d'argent, de sorte que je n'ai pas pu Pacheter. — Avez-vous vu Phomme dont j'ai recu un present ?. — Je ne Pai pas vu. — Avez-vous vu le beau fusil dont je vous ai parle 1 — Je Pai vu. — Votre oncle a-t-il vu les livres dont vous lui avez parle ? — II les a vus. — As-tu vu Phomme dont les enfants ont ete punis ? — Je ne Pai pas vu. — A qui avez-vous 94 EXERCISE CXL1I parle au theatre ? — J'ai parle a Fhomme dont le frere a tue mon beau chien. — Avez-vous vu le petit garcon dont le pere s'est fait avocat ? — Je l'ai vu. — Qui avez-vous vu au bal ? — J*y ai vu les hommes dont vous avez achete les chevaux, et ceux dont vous avez achete le carosse. — Qui voyez-vous a present? — Je vois l'homme dont le domestique a casse mon miroir. — Avez-vous entendu l'homme dont l'ami m'a prete de l'argent ? — Je ne l'ai pas entendu. — Qui avez-vous entendu ? — J'ai en- tendu le capitaine francais dont le fils est mon ami. — As-tu brosse l'habit dont je t'ai parle ? — Je ne l'ai pas encore brosse. — Avez-vous recu l'argent dont vous avez eu besoin ? — Je l'ai recu. — Ai-je le papier dont j'ai besoin ? — Vous l'avez. — Yotre frere a-t-il les livres dont il a besoin ? — II les a. — Avez-vous parle aux marchands, dont nous avons pris le magasin ? — Nous leur avons parle. — Avez-vous parle au medecin dont le fils a etudie l'allemand ? — Je lui ai parle. — As-tu vu les pauvres hommes dont les magasins ont ete brules ? — Je les ai vus. — Avez-vous lu les livres que nous vous avons pretes ? — Nous les avons lus. — Qu'en dites-vous ? — Nous disons qu'ils sonx tres-beaux. — Yos enfants ont-ils ce dont ils ont besoin ? — lis ont ce dont ils ont besoin. 1 42. — Cent-quarante-deuxi£me Thi?ne. De quel homme parlez-vous ? — Je parle de celui dont lc frere s'est enrole. — De quels enfants avez-vous parle ? — J'ai parle de ceux dont les parents sont savants. — Quel livre avez- vous lu ? — J'ai lu celui dont je vous ai parle hier. — Quel papier votre cousin a-t-il ? — II a celui dont il a besoin. — Quels pois- sons a-t-il manges ? — II a mange ceux que vous n'aimez pas. — De quels livres avez-vous besoin ? — J'ai besoin de ceux dont vous m'avez parle. — N'avez-vous pas besoin de ceux que je Us ? — Je n'en ai pas besoin. — Voyez-vous les enfants a qui J'ai dotal! des gateaux? — Je ne vois pas ceux a qui vous avez donn£ des gateaux, mate ceux que vous avez punis. — A qui avez-vous donne* de L'argent \ — J'en ai donne a ceux qui ont ete habiles. — A quels enfants doit-on donner des livres? — On doit en donner ;\ ceux qui sont sages et obeissants. — A qui EXERCISE CXLIII. 95 donnez-vous a manger et a boire ? — A ceux qui ont faim et soif. — Donnez-vous quelque chose aux enfants qui sont pares- seux ? — j e ne leur donne rien. — A-t-il neige hier ? — II a neige, grele et fait des eclairs. — A-t-il plu ? — II a plu. — Etes-vous sor ti ? — Je ne sors jamais, quand il fait mauvais temps. — Les capitaines ont-ils enfin ecoute cet homrae ?— lis ont refuse de Tec-outer ; tous ceux a qui il s'est adresse ont refuse de 1'en- tendre. — Qui avez-vous rencontre ce matin ? — J'ai rencontre I'homme dont je suis estime. — Avez-vous donne des gateaux a vos eleves ? — lis n'ont pas bien etudie, de sorte que je ne leur ai rien donne. 1 43. — Cent-quarante-troisieme Theme, Aurez-vous des livres ? — J'en aurai. — Qui vous en donnera? — Mon oncle m'en donnera. — Quand votre cousin aura-t-il de Targent? — II en aura le mois prochain. — Combien d'argent aurez-vous? — J'aurai trente-cinq francs. — Qui aura de bons amis ? — Les Anglais en auront. — Votre pere sera-t-il chez lm ce soir ? — II y sera. — Y serez-vous ? — J'y serai aussi. — Votre oncle sortira-t-il aujourd'hui ? — II sortira, s'il fait beau temps. — Sortirez-vous ? — Je sortirai, s'il ne pleut pas. — Aimerez-vous mon fils ? — Je l'aimerai, s'il est sage. — Paierez-vous votre cor- donnier ? — Je le paierai, si je recois mon argent. — Aimerez- vous mes enfants ? — S'ils sont sages et assidus je les aimerai; mais s'ils sont paresseux et mechants je les mepriserai et je les punirai. — Ai-je raison de parler ainsi ? — Vous n'avez pas tort. — Votre ami ecrit-il encore ? — II ecrit encore. — N'avez- vous pas fini de parler ? — J'aurai bientot fini. — Nos amis ont- ils fini de lire 1 — lis auront bientot fini. — Le tailleur a-t-il fait mon habit 1 — II ne l'a pas encore fait, mais il le fera bientot. — Quand le fera-t-il ? — Quand il aura le temps. — Quand ferez- vous vos themes? — Je les ferai quand j'aurai le temps. — Quand votre frere fera-t-il les siens ? — II les fera samedi prochain. — Viendras-tu chez moi ? — Je viendrai. — Quand viendras-tu ? — Je viendrai vendredi prochain. — Quand avez-vous vu mon oncle 1 — Je l'ai vu dimanche dernier. — Vos cousins iront-ils au bal mardi prochain? — lis iront. — Viendrez-vous a mon con- cert? — J'y viendrai, si je ne suis pas malade. 96 EXERCISES CXLIV, CXLV. # 144 • — Cent-quarante-quatrieme Theme. Quand m'enverrez-vous l'argent que vous me devez ? — Je vous l'enverrai bientot. — Vos freres m'enverront-ils les livres que je leur ai pretes ? — lis vous les enverront. — Quand me les enverront-ils ? — lis vous les enverront le mois prochain. — Pourrez-vous me payer ce que vous me devez ? — Je ne pourrai pas vous le payer, car j'ai perdu tout mon argent. — L'Ameri- cain pourra-t-il payer ses souliers ? — II a perdu son porte- feuille, de sorte qu'il ne pourra pas les payer. — Faudra-t-il en- voyer chercher le medecin ? — Personne n'est malade, de sorte qu'il ne faudra pas l'envoyer chercher. — Faudra-t-il aller au marche demain ? — II faudra y aller, car il nous faut du bceuf, du pain et du vin. — Verrez-vous votre pere aujourd'hui ? — Je le verrai. — Ou sera-t-il ? — II sera a son comptoir. — Irez-vous au bal ce soir? — Je n'irai pas, car je suis trop malade pour y aller. — Votre ami ira-t-il ? — II ira, si vous y allez. — Ou nos voisins iront-ils ? — lis n'iront nulle part ; ils resteront chez eux, car ils ont beaucoup a faire, 145. — Cent-quarante-cinquieme Theme. A qui ce cheval appartient-il ? — II appartient au capitaine anglais dont le fils vous a ecrit un billet. — Cet argent vous ap- partient-il ? — II m'appartient. — De qui l'avez-vous recu ? — Je l'ai recu des homines dont vous avez vu les enfants. — A qui sont ces chevaux ? — Ce sont les notres. — Avez-vous dit a votre frerc que je l'attends ici ? — J'ai oublie de le lui dire. — Est-ce votre pere ou le mien qui est alle a Berlin? — C'est le mien. — Est-ce votre boulanger ou celui de notre ami qui vous a vendu du pain a credit ? — C'est le notre. — Est-ce la votre ills ? — Ce n'est pas le mien, c'est celui de mon ami. — Ou est lr votre ' — II est ;\ Paris. — M'avez-vous apporte le livre que vous m'avez promis? — Je l'ai oublie. — Votre oncle vous a-t-il apporte les portr-feuilles qu'il vous a promis? — II a oublie de me les apporter. — Avez-vous drj;\ 6crit a votre ami? — Je n'ai pas encore eu le temps de lui 6crire. — Avez-vous oublie d'e- EXERCISE CXLVI. 97 crire a votre parent? — Je n'ai pas oublie de in: ecnre. — Ce drap vous convient-il ? — II ne me convient pas ; n'en avez-vous pas d'autre ? — J'en ai d'autre ; mais il est plus cher que celui- ci. — Voulez-vous me le montrer 1 — Je veux vous le montrer. — Ces souliers convierment-ils a votre oncle 1 — lis ne lui con- vierment pas, parce qu'ils sont trop chers. — Sont-ce les souliers dont vous nous avez parle ? — Ce sont les memes. — A qui sont ces souliers ? — lis appartiennent au gentilhomme que vous avez vu ce matin dans mon magasin. — Vous convient-il de venir avec nous ? — II ne me convient pas. — Vous convient-il d'aller au marche ? — II ne me convient pas d'y aller. — Etes- vous alle a pied en Allemagne ? — II ne me convient pas d'aller a pied, de sorte que j'y suis alle en voiture. 1 46, — Cent-quarante-sixieme Theme Qjie vous plait-il, Monsieur ? — Je demande votre pore. Est- il chez lui 1 — Non, Monsieur, il est sorti. — Que dites-vous ?— je vous dis qu'il est sorti. — Voulez-vous attendre jusqiva son ietour? — Je h'ai pas le temps d'attendre. — Ce marchand vend-il a credit ? — II ne vend pas a credit. — Vous convient-il d'acheter eomptant 1 — II ne me convient pas. — Ou avez-vous achete ces jolis couteaux ? — Je les ai achetes chez le marchand dont vous avez vu hier le magasin. — Vous les a-t-il vendus a credit ? — II me les a vendus eomptant. — Achetez-vous souvent eomptant 1 — Moins souvent que vous. — Avez-vous oublie quelque chose ici ? — Je n'ai rien oublie. — Vous convient-il d'apprendre ceci pai coeurT — Je n'ai pas beaucoup de temps pour etudier, de sorte qu'il ne me convient pas de l'apprendre par cceur. — Cet homme a-t-il essaye de parler a votre pere ?— II a essaye de iui parler, mais il n'y est pas parvenu. — Etes-vous parvenu a ecrire un theme ? — J'y suis parvenu. — Ces marchands ont-ils r6ussi a vendre leurs chevaux ? — lis n'y ont pas re\issi. — Avez-vous essaye de nettoyer mon encrier ? — J'ai essaye, mais je n'y suis pas parvenu. — Vos enfants reussissent-ils a appren- dre l'anglais ? — lis y reussissent. — Y a-t-il du vin dans ce tonneau ? — II y en a. — Y a-t-il du vinaigre dans ce verre 1 — II n'y en a pas. — Y a-t-il du vin ou du cidre dedans ? — II n'y a ni vin ni cidre. — Qu'y a-t-il dedans 1 — II y a du vinaigre. 9 98 EXERCISES CXLVII, CXLVIII. 1 47. — Cent-quar antes epti£me TMme. Y a-t-il des hommes dans votre magasin ? — II y en a. — Y a-t-il quelqu'un dans le magasin ? — II n'y a personne. — Y a-t-il eu beaucoup de monde au theatre ? — II y en a eu beaucoup. — Y aura-t-il beaucoup de monde a votre bal ? — II y en aura beaucoup. — Est-ce qu'il y a beaucoup d'enfants qui ne veulent pas jouer? — II y en a beaucoup qui ne veulent pas etudier, mais tous veulent jouer. — As-tu nettoye mon coffre? — J'ai essaye de le faire, mais je n'ai pas reussi. — Comptez-vous acheter un parapluie ? — Je compte en acheter un, si le mar- cband me le vend a credit. — Comptez-vous garder le mien ? — Je compte vous le rendre, si j'en achete un. — Avez-vous rendu les livres a mon frere 1 — Je ne les lui ai pas encore rendus. — Jusqu'a quand comptez-vous les garder ? — Je compte les gar- der jusqu'a samedi prochain. — Jusqu'a quand comptez-vous garder mon cheval ? — Je compte le garder jusqu'au retour de mon pere. — Avez-vous nettoye mon couteau? — Je n'ai pas en- core eu le temps, mais je vais le faire a l'instant. — Avez-vous fait du feu ? — Pas encore, mais je vais en faire tout a Pheure. — Pourquoi n'avez-vous pas travaille ? — Je n'ai pas encore pu. — Qu'avez-vous eu a faire ? — J'ai cu a nettoyer votre tapis, el a raccommoder vos bas de fil. — Comptez-vous vendre votre habit ? — Je compte le garder, car j'en ai besoin. — Au lieu de le garder, vous ferez mieux de le vendre. — Yendez-vous vos chevaux ? — Je ne les vends pas. — Au lieu de les garder, vous ferez mieux de les vendre. — Notre ami garde-t-il son parasol ? — II le garde, mais au lieu de le garder, il fera mieux de le vendre ; car il est use. — Yotre fils dechire-t-il son livre ? — II le (1 rehire ; mais il a tort de le faire, car au lieu de le dechirer, il fera mieux de le lire. 1 48. — Ccnt-quarantc-liuitumc Theme. Vous en allez-vous dejii ? — Je ne m'en vais pas encore. — Quand cct homme B'en ira-t-il ? — II s'en ira tout a l'heure. — Vous en irez-vous bicntot? — Je m'en irai jeudi prochain.— EXERCISE CXLIX. 99 Quand vos amis s'en iront-ils 1 — lis s'en iront le mois prochain. — Quand t'en iras-tu? — Je m'en irai sur le champ. — Pourquoi votre pere s'en est-il alle si tot 1 — II a promis a son ami d'etre chez lui a neuf heures moins un quart, de sorte qu'il s'en est alle de bonne heure pour tenir ce qu'il a promis. — Quand nous en irons-nous 1 — Nous nous en irons demain. — Partirons-nous de bonne heure 1 — Nous partirons a cinq heures du matin. — Quand vous en irez-vous 1 — Je m'en irai aussitot que j'aurai fini d'ecrire. — Quand vos enfants s'en iront-ils ? — lis s'en iront aussitot qu'ils auront fait leurs themes. — Yous en irez-vous lorsque je m'en irai ? — Je m'en irai quand vous vous en irez. — Nos voisins s'en iront-ils bientot 1 — lis s'en iront quand ils auront fini de parler. — Que deviendra votre fils, s'il n'etudie pas 1 — S'il n'etudie pas il n'apprendra rien. — Que deviendrez- vous si vous perdez votre argent? — Je ne sais pas ce que je deviendrai. — Yotre ami que deviendra-t-il, s'il perd son porte- feuille? — Je ne sais pas ce qu'il deviendra, s'il le perd. — Yotre fils qu'est-il devenu ? — Je ne sais pas ce qu'il est devenu. — S'est-il enrole ? — II ne s'est pas enrole. — Que deviendrons- nous si nos amis s'en vont ? — Je ne sais pas ce que nous de- viendrons s'ils s'en vont. — Que sont devenus vos parents ? — Ils s'en sont alles. 1 49. — Cent-quarante-neuvieme Theme. Comptez-vous acheter un cheval? — Je ne peux pas en acheter un, car je n'ai pas encore recu mon argent. — Me faut- il aller au theatre ? — II ne faut pas y aller, car il fait tres-mau- vais temps. — Pourquoi n'allez-vous pas chez mon frere ? — II ne me convient pas d'y aller ; car je ne peux pas encore lui payer ce que je lui dois. — Pourquoi votre domestique donne-t-il un coup de couteau a cet homme ? — II lui donne un coup de couteau, parce que l'homme lui a donne un coup de poing. — Lequel de ces deux eleves commence a parler ? — Celui qui est studieux commence a parler. — Que fait l'autre, qui ne Test pas ? — II commence aussi a parler, mais il ne sait ni ecrire ni lire. — N'ecoute-t-il pas ce que vous lui dites ? — II ne l'ecoute pas, si je ne lui donne pas de coups. — Pourquoi ces enfants (00 EXERCISE CL. ne travaillent-ils pas ? — Leur maitre leur a donne des coups de poing, de sorte qu'ils ne veulent pas travailler. — Pourquoi leur a-t-il donne des coups de poing ? — Parce qu'ils ont ete desobeissants. — Avez-vous tire un coup de fusil ? — Pen ai tire trois. — Sur quoi avez-vous tire ? — J'ai tire sur un oiseau. — Avez-vous tire un coup de fusil a cet homme ? — Je lui ai tire un coup de pistolet. — Pourquoi lui avez-vous tire un coup de pistolet? — Parce qu'il m'a donne un coup de couteau. — Com- oien de coups avez-vous tires sur cet oiseau ? — J'ai tire deux coups sur lui. — L'avez-vous tue ? — Je l'ai tue au deuxieme coup. — Avez-vous tue cet oiseau du premier coup ? — Je l'ai tue du quatrieme. — Tirez-vous sur les oiseaux que vous voyez sur les arbres, ou sur ceux que vous voyez dans les jardins ? — Je ne tire ni sur ceux que je vois sur les arbres, ni sur ceux que je vois dans les jardins, mais sur ceux que j'apercois sui le chateau derriere le bois. 150. — Cent~cinquanti£me Thane. Combien de coups les ennemis ont-ils tires sur nous ? — lis ont tire sur nous plusieurs fois. — Ont-ils tue quelqu'un ? — lis n'ont tue personne. — Avez-vous envie de tirer sur cet oiseau? — J'ai envie de tirer sur lui. — Pourquoi ne tirez-vous pas sur ces oiseaux ? — Je ne puis, car j'ai mal au doigt. — Quand le capitaine a-t-il tire ? — II a tire quand ses soldats ont tire. — Sur combien d'oiseaux avez-vous tire? — J'ai tire sur tous ceux que j'ai apercus, mais je n'en ai pas tue un, parce que mon fusil ne vaut rien. — Avez-vous jete un coup d'oeil sur cet homme? — J'ai jete un coup d'oeil sur lui. — Vous a-t-il vu ? — II ne m'a pas vu car il a mal aux yeux. — Avez-vous bu de ce vin ? — J'en ai bu et il m'a fait du bien. — Qu'avez-vous fait de mon livre ? — Je l'ai mis sur votre coflre. — Dois-je vous repondre ? — Vous me repondrez, quand votre tour viendra. — Est-ce le tour de mon frere ? — Quand son tour viendra, je lui deman- derai ; cur chacun il son tour. — Avez-vous fait un tour de pro- menade ce matin ! — J'ai fait un tour de jardin. — Ou votre oncle est-il alle ? — 11 est alle faire un tour de promenade. — Pourquoi courez-vous? — Jr cours. parce que je vois mon meilleur ami. EXERCISE CLI. 101 — Qui court derriere nous ? — Notre chien court derriere nous. •— Apercevez-vous cet oiseau? — Je 1'apercois derriere l'arbre. — Pourquoi vos freres s'en sont-ils alles 1 — lis s'en sont alles, parce qu'ils n'ont pas voulu etre vus de rhomme dont ils on* tue le chien. 151. — Cent-cinquante et unieme Thime. Avez-vous entendu parler de quelqu'un? — Je n'ai entendu parler de personne, car je ne suis pas sorti ce matin. — N'avez- vous pas entendu parler de rhomme qui a tue un soldat ? — Je n'en ai pas entendu parler. — Avez-vous entendu parler de mes freres ? — Je n'en ai pas entendu parler. — De qui votre cousin a-t-il entendu parler % — II a entendu parler de son ami qui est alle en Amerique. — Y a-t-il long-temps qu'il en a entendu par- ler ? — II n'y a pas long-temps qu'il en a entendu parler. — Combien y a-t-il? — II n'y a qu'un mois. — Y a-t-il long-temps que vous etes a Paris ? — II y a trois ans. — Y a-t-il long-temps que votre frere est a Londres ? — II y a dix ans qu'il y est. — Combien de temps y a-t-il que vous avez dme ? — II y a long- temps que j'ai dine, mais il n'y a pas long-temps que j'ai soupe. — Combien de temps y a-t-il que vous avez soupe ? — II y a une demi-heure. — Combien y a-t-il que vous avez ces livres ? — II y a trois mois que je les ai. — Combien y a-t-il que votre cousin est parti 1 — II y a plus d'un an qu'il est parti. — Qu'est devenu l'homme qui vous a prete de l'argent ? — Je ne sais pas ce qu'il est devenu, car il y a tres long-temps que je ne l'ai vu. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez entendu parler du soldat qui a donne un coup de couteau a votre ami ? — II y a plus d'un an que je n en ai entendu parler. — Combien y a-t-il que vous apprenez le francais ? — II n'y a que deux mois que je l'ap- prends. — Savez-vous deja le parler ? — Vous voyez que je com- mence a le parler. — Y a-t-il long-temps que les enfants des gentilshommes anglais l'apprennent 1 — II y a trois ans qu'ils l'apprennent, et ils ne commencent pas encore a parler. — Pourquoi ne savent-ils pas le parler ? — Ils ne savent pas le parler, parce qu'ils l'apprennent mal. — Pourquoi ne l'apprennent- 9* 102 EXERCISES CLII, CLII1 ils pas bien ? — Ls n'ont pas un bon maitre, de sorte qu'ih ne Tapprennent pas bien. 1 52. — Cent-cinquante-deuxidme Tli&me. Y a-t-il long-temps que vous n'avez vu le jeune homme qui a appris l'allemand chez le maitre chez qui notJ l'avons ap- pris ?— II y a pres d'un an que je ne l'ai vu. — Combien y a-t-il que cet enfant a mange ? — II a mange il y a quelques minutes. — Combien y a-t-il que ces enfants ont bu ? — Ils ont bu il y a un quart d'heure. — Combien y a-t-il que votre ami est en Es- pagne ? — II y a un mois qu'il y est. — Combien de fois avez- vous vu le roi ? — Je l'ai vu plus de dix fois, quand j'ai ete a Paris. — Quand avez-vous rencontre mon frere ? — Je Pai ren- contre il y a quinze jours. — Ou l'avez-vous rencontre? — Je l'ai rencontre devant le theatre. — Yous a-t-il fait du mal ? — II ne m'a pas fait de mal, car c'est un tres-bon garcon.- — Ou son! mes gants ? — On les a jetes. — Les chevaux ont-ils ete trouves? — Ils ont ete trouves. — Ou les a-t-on trouves ? — On les a trou- ves derriere le bois, en deca du chemin. — Avez-vous ete vu de quelqu'un? — Je n'ai ete vu de personne. — Attendez-vous quelqu'un ? — J'attends mon cousin le capitaine. — Ne l'avez- vous pas vu ? — Je l'ai vu ce matin ; il a passe devant mon ma- gasin. — Ce jeune homme qu'attend-il ? — II attend de l'argent. — Attends-tu quelque chose 1 — J'attends mon livre. — Ce jeune homme attend-il son argent ? — II l'attend. — Le roi a-t-il passe par ici ? — II n'a pas passe par ici, mais devant le theatre. — N'a-t-il pas passe devant le chateau? — II y a passe, mais je ne l'ai pas vu. 153* — Ccnt-cinquantC'troisidme Thhne. A quoi passez-vous votre temps ? — Je passe mon temps a etudier. — A quoi votre frere passe-t-il son temps ? — II passe son temps ;i lire et a jouer. — Cet homme passe-t-il son temps a travailler ? — Cost un vaurien ; il passe son temps a boire et a jouer. — A quoi iroa enfants passent-ils leur temps? — Ils pa8sent leur temps a apprendre. — Pouvez-vous me payer ce EXERCISE CLIV. 103 que vous me devez ? — Je ne puis vous le payer, car le mar- chand a manque de m'apporter mon argent. — Pourquoi avez- vous dejeune sans moi 1 — Vous avez manque de venir a neuf heures, de sorte que nous avons dejeune sans vous. — Le mar- chand vous a-t-il apporte les gants que vous avez achetes chez lui 1 — II a manque de me les apporter. — Vous les a-t-il vendus a credit 1 — II me les a, au contraire, vendus argent comptant. . — Connaissez-vous ces hommes ? — Je ne les connais pas, mais je crois que ce sont des vauriens, car ils passent leur temps a jouer. — Pourquoi avez-vous manque de venir chez mon pere ce matin ? — Le tailleur ne m'a pas apporte That) it qu'il m'a promis, de sorte que je n'ai pas pu y aller. — Qui est l'homme qui vient de vous parler 1 — C'est un marchand. — Le cordonnier que vient-il d'apporter 1 — II vient d'apporter les souliers qu'il nous a faits. — Qui sont les hommes qui viennent d'arriver? — Ce sont des Russes. — Ou votre oncle a-t-il dine hier ? — II a dine chez lui. — Combien a-t-il depense ? — II a depense cinq francs. — Combien a-t-il a depenser par mois ? — II a deux cents francs par mois a depenser. — Jetez-vous votre chapeau ? — Je ne le jette pas, car il me va tres-bien. — Combien avez-vous depense aujourd'hui? — Je n'ai pas depense beaucoup ; je n'ai depense que deux francs. — Depensez-vous tous les jours autant que cela ? — Je depense quelquefois plus que cela. — Y a-t-il long-temps que cet homme attend ? — II ne fait que d'arriver. — Que veut-il ? — II veut vous parler. — Voulez-vous faire cela ? — Je veux le faire. — Pourrez-vous le bien faire ? — Je ferai de mon mieux. — Cet homme pourra-t-il faire cela ? — II pourra le faire, car il fera de son mieux. 1 54. — Ce?it'cinquante-quatri£me Thime. Quelle distance y a-t-il de Paris a Londres ? — II y a pres de deux cents milles de Paris a Londres. — Y a-t-il loin d'ici a Berlin? — II y a loin. — Y a-t-il loin d'ici a Vienne ? — II y a pres de cent cinquante milles d'ici a Vienne. — Y a-t-il plus loin de Paris a Blois que d'Orleans a Paris ? — II y a plus loin d'Orleans a Paris que de Paris a Blois. — Quelle distance ji a-t-il de Paris a Berlin ? — II y a pres de cent-trente milles &>i 104 EXERCISE CLV. Paris a Berlin. — Comptez-vous aller bientot a Paris? — i* compte y aller bientot. — Pourquoi voulez-vous y aller cette f i s ? — Pour y acheter de bons livres et de bons gants, et pour voir mes bons amis. — Y a-t-il long-temps que vous n'y avez ete ? — II y a pres d'un an que je n'y ai ete. — N'allez-vous pas en Italie cette annce? — Je n'y vais pas, car il y a trop loin d'ici en Italie. — Qui sont les hommes qui viennent d'arriver? — Ce sont des philosophes. — De quel pays sont-ils ? — lis sont de Londres. — Qui est l'homme qui vient de partir? — C'est un Anglais qui a dissipe tout son bien en France. — De quel pays etes-vous ? — Je suis Espagnol et mon ami est Italien. — Etes- vous de Tours ? — Non, je suis Parisien. — Combien d'argent vos enfants ont-ils depense aujourd'hui ? — lis n'ont guere de- pense ; ils n'ont depense qu'un ecu. — Ou avez-vous dine hier ? — J'ai dine chez l'aubergiste. — Avez-vous depense beaucoup ? — J'ai depense un ecu et demi. — Le roi a-t-il passe par ici 1 — II n'a pas passe par ici, mais devant le theatre. — L'avez-vous vu? — Je l'ai vu. — Est-ce la premiere fois que vous l'avez vu? — Ce n'est pas la premiere fois, car je l'ai vu plus de vingt fois. 1 55. — Cent-cinquante-cinquidme Theme. Pourquoi cet homme s'enfuit-il ? — II s'enfuit, parce qu'il a peur. — Pourquoi vous enfuyez-vous ? — Je m'enfuis parce que j'ai peur. — De qui avez-vous peur ? — J'ai peur de l'homme qui ne m'aime pas. — Est-il votre ennemi ? — Je ne sais s'il est mon enncmi ; mais je crains tous ceux qui ne m'aiment pas, car s'ils ne me font pas de mal, ils ne me feront pas de bien. — Avez-vous peur de mon cousin ? — Je n'ai pas peur de lui, car il n'a jamais fait de mal a personne. — Vous avez tort de vous enfuir devant cet homme, car je vous assure que c'est un tres- brave homme, qui n'a jamais fait de mal a personne. — De'qui irotre fr&re a-t-il entendu parlerl — II a entendu parler cl'im homme a qui il est arrive" un malheur. — Pourquoi vos ecoliers nont-ils pas fait leui themes? — Je vous assure qu'ils les out fiits, et vous vous trompez, si vous croyez qu'ils ne les on: pas fait*. — Qu'ayez-yous fait de mon livre? — Je vous assure EXERCISE CLVI. 105 que je ne l'ai pas vu. — Yotre fils a-t-il eu mes couteaux? — II m'assure qu'il ne les a pas eus. — Yotre oncle est-il deja ar- rive ? — II n'est pas encore arrive. — Voulez-vous attendre jus- qu'a son retour ? — Je ne puis attendre, car j'ai beaucoup a faire. — N'avez-vous rien appris de nouveau? — Je n'ai rien appris de nouveau. — Le roi est-il arrive? — On dit qu'il est arrive. — Que vous est-il arrive ? — II m'est arrive un grand malheur. — Lequel ? — J'ai rencontre mon plus grand ennemi, qui m'a donne un coup de baton.— Alors je ous plains de tout mon coeur. — Pourquoi plaignez-vous cet homme ? — Je le plains, parce que vous lui avez casse le cou. — Pourquoi vous plaignez- vous de mon ami ? — Je me plains de lui, parce qu'il m'a coupe le doigt. — Cet homme vous sert-il bien ? — II me sert bien, mais il depense trop. — Voulez-vous prendre ce domestique ? — Je veux le prendre, s'il veut me servir. — Est-ce que je peux pren- dre ce domestique ? — Yous pouvez le prendre, car il m'a tres- bien servi. — Combien y a-t-il qu'il est hors de votre service ? — II n'y a que deux mois. — Yous a-t-il servi long-temps? — II m'a servi pendant six ans. 1 56. — Cent-cinquante-sixi&me Thime. -M'ofTrez-vous quelque chose ? — Je n'ai rien a vous offrir. — Mon ami que vous ofFre-t-il ? — II m'ofFre un livre. — Les Pari- siens vous ont-ils offert quelque chose ? — lis m'ont ofTert du vin, du pain et de bon bceuf. — Pourquoi plaignez-vous notre voisin ? — Je le plains parce qu'il a confie son argent a un mar- chand de Pars, et que celui-ci ne veut pas le lui rendre. — Confiez-vous quelque chose a cet homme ? — Je ne lui confie rien. — Yous a-t-il deja garde quelque chose ? — Je ne lui ai jamais rien confie, de sorte qu'il ne m'a jamais rien garde. — Voulez-vous confler votre argent a mon pere ? — Je veux le lui confier. — Quel secret mon fils vous a-t-il confie ? — Je ne puis vous confier ce qu'il m'a confie, car il m'a prie d'en garder le secret. — A qui confiez-vous vos secrets ? — Je ne les confie a personne, de sorte que personne ne les sait. — Yotre frere a-t-ii ete recompense ? — II a, au contraire, ete puni ; mais je vous prie d'en garder le secret, car personne ne le sait. — Que Jui 106 EXERCISE CLVII. est-il arrive ? — Je vous dirai ce qui lui est arrive, si vous me promettez (Ten garder le secret. — Me promettez-vous d'en gar- der le secret? — Je vous le promets, car je le plains de tout mon cceur. — Voulez-vous prendre soin de mes habits ? — Je veux en prendre soin. — Prenez-vous soin du livre que je vous ai prete ? — J'en prends soin. — Qui prendra soin de mon domes- tique ? — L'aubergiste en prendra soin. — Jetez-vous votre clia- peau ? — Je ne le jette pas, car il me va a merveille. — Yotre ami vend-il son habit? — II ne le vend pas, car il lui va ex- tremement bien. — Qui a gate mon livre? — Personne ne l'a gate, parce que personne n'a ose le toucher. 1 57. — Cent-cinquante-septieme Theme. Jouez-vous du violon ? — Je ne joue pas du violon, mais du clavecin. — Aurons-nous un bal ce soir? — Nous en aurons un. — A quelle heure ? — A onze heures moins un quart. — Quelle heure est-il a present? — II est pres de onze heures, et le monde va bientot venir.— De quel instrument jouerez-vous ? — Je jou- erai du violon. — Si vous jouez du violon, je jouerai du clave- cin. — Doit-il y avoir beaucoup de monde a notre bal ? — II doit y en avoir beaucoup. — Danserez-vous ? — Je danserai. — Vos enfants danseront-ils ? — lis danseront si cela leur plait. — A quoi passez-vous le temps dans ce pays ? — Je passe le temps a jouer du clavecin et a lire. — A quoi votre cousin s'amuse-t-il ? — 11 s'amuse a jouer du violon. — Quelqu'un danse-t-il quand vous jouez? — Beaucoup de monde danse quand je joue. — Qui? — D'abord nos enfants, ensuite nos cousins, enfin nos voisins. — Vous amuscz-vous? — Je vous assure que nous nous amusons beaucoup. — Qui plaignez-vous ? — Je plains votre ami. — Pour- quoi le plaignez-vous ? — Je le plains, parce qu'il est malade. — Quelqu'un vous a-t-il plaint? — Personne ne m'a plaint, parce que je ifai pas 0\v malade. — M'ofTrez-vous quelque chose? — Je vous offre un beau fusil. — Mon pere que vous a-t-il offert? — II m'a offert un beau livre. — A qui avez-vous offert vos beaux chevaus 9 — Je lea ai offerts au capitaine anglais. — OfTres-tu ton joli petit, chien a ces enfants I — Je le leur offre, car je les aime de tout mon COBUr. — Pourquoi avez-vous donne un coup EXERCISE CLVII1. 107 de poing a ce garcon ? — Parce qu'il m'a empeche de dormir. — Quelqu'un vous a-t-il empeche d'ecrire ? — Personne ne m'a empeche d'ecrire, mais j'ai empeche quelqu'un de faire du mal a votre cousin 1 58» — Cent-cinqiiante-huitieme Thime. Avez-vous laisse tomber quelque chose ? — Je n'ai rien laisse -omber, mais mon cousin a laisse tomber de l'argent. — Qui 1'a ramasse ? — Des hommes Font ramasse. — Le lui a-t-on rendu? — On le lui a rendu, car ceux qui 1'ont ramasse n'ont pas vtiulu le garder. — Fait-il froid aujourd'hui ? — II fait tres-froid. — Voulez-vous vous approcher du feu? : — Je ne peux pas m'en approcher, car je crains de me bruler. — Pourquoi votre ami s'eloigne-t-il du feu? — II s'en eloigne, parce qu'il a peur de se bruler. — T'approches-tu du feu? — Je m'en approche parce que j'ai tres-froid. — Vous eloignez-vous du feu? — Je m'en eloigne. — Pourquoi vous en eloignez-vous ? — Parce que je n'ai pas froid. — Avez-vous froid ou chaud? — Je n'ai ni froid ni chaud. — ■ Pourquoi vos enfants s'approchent-ils du feu ? — lis s'en ap- prochent parce qu'iis ont froid. — Quelqu'un a-t-il froid ? — Quel- qu'un a froid. — Qui a froid ? — Le petit garcon dont le pere vous a prete un cheval, a froid. — Pourquoi ne se chauffe-t-il pas ? — Parce que son pere n'a pas d'argent pour acheter du bois. — Voulez-vous lui dire de venir chez moi se chauffer? — Je veux le lui dire. — Vous souvenez-vous de quelque chose ? — Je ne me souviens de rien. — Votre oncle que se rappelle-t- il ? — II se rappelle ce que vous lui avez promis. — Que lui ai- je promis ? — Vous lui avez promis d'aller en France avec lui l'hiver prochain. — Je compte le faire, s'il ne fait pas trop froid. — Pourquoi vous eloignez-vous du feu ? — II y a une heure et dernie que je suis assis pres du feu, de sorte que je n'ai plus froid. — Votre ami n'aime-t-il pas a etre assis pres du feu ? — II aime, au contraire, beaucoup a etre assis pres du feu, mais seulement quand il a froid. — Peut-on s'approcher de votre oncle ? — On peut l'approcher, car il recoit tout le monde. — Voulez-vous vous asseoir? — Je veux m'asseoir. — Ou votre pero s'assied-il ? — II s'assied pres de moi. — Ou m'asseierai-je ? — 108 EXERCISES CLIX, CLX. Vous pouvez vous asseoir pres de moi. — Vous asseyez-vous pres du feu 1 — Je ne m'assieds pas pres du feu, car j'ai peur d'avoir trop chaud. — Yous rappelez-vous mon frere? — Je rne le rappelle. 1 59. — Cent-cinquante-neuvieme Thdme. Vos parents se rappellent-ils leurs vieux amis ? — lis se les rappellent. — Vous rappelez-vous ces mots ? — Je ne me les rappelle pas. — Yous etes-vous rappele cela? — Je me le suis rappele. — Yotre oncle s'est-il rappele ces mots ? — II se les est rappeles. — Me suis-je rappele mon theme ? — Yous vous Fetes rappele. — Yous etes-vous rappele vos themes ? — Je me les suis rappeles, car je les ai appris par coeur; et mes freres se sont rappeles les leurs, parce qu'ils les out appris par coeur. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez vu votre ami de Paris ? — Je l'ai vu il y a quinze jours. — Yos ecoliers aiment-ils a appren- dre par coeur ? — lis n'aiment pas a apprendre par coeur ; ils aiment mieux lire et ecrire que d'apprendre par coeur. — Aimez- vous mieux le cidre que le vin ? — J'aime mieux le vin que le cidre. — Yotre frere aime-t-il a jouer ? — II aime mieux etudier que de jouer. — Aimez-vous mieux le veau que le mouton ? — J'aime mieux celui-ci que celui-la. — Aimez-vous mieux boire que de manger ? — J'aime mieux manger que de boire ; mais mon oncle aime mieux boire que de manger. — Le Francais aime-t-il mieux le poulet que le poisson ? — II aime mieux le poisson que le poulet. — Aimez-vous mieux ecrire que de par- ler? — J'aime a faire Tun et l'autre. — Aimez-vous mieux le miel que le sucre 1 — Je n'aime ni l'un ni l'autre. — Yotre pere aime- t-il mieux le cafe que le the? — II n'aime ni l'un ni l'autre. — Pouvez-vous me comprendre ? — Non, Monsieur, car vous parlez trop vite. — Voulez-vous avoir la bonte de ne pas parler si vite ? — Je ne parlerai pas si vite, si vous voulez m'ecouter. 1 GO. — Cent-soixantibne Thhne. Pouvez-vous comprendre ce que mon frere vous dit? I] parle si vite que je ne puis le comprendre. — Yos eleves peu- EXERCISE CLX1. 109 Yent-ils vous comprendre ? — lis me comprennent quand je parle lentement, car pour etre compris, il faut parler lentement. — Faut-il parler haut pour apprendre le francais ? — II faut parler haut.— Votre maitre parle-t-il haut ?— II parle haut et lente- ment. — Pourquoi n'achetez-vous pas quelque chose a ce mar- chand ? — II vend si cher que je ne puis rien acheter chez lui. — Voulez-vous me mener chez un autre ? — Je veux vous mener chez le fils de celui a qui vous avez achete l'annee passee. — Vend-il aussi cher que celui-ci ? — II vend moins cher. — Yos enfants aiment-ils mieux apprendre l'italien que l'espagnol ?— lis n'aiment a apprendre ni Fun ni l'autre ; ils n'aiment a ap prendre que le francais. — Aimez-vous le mouton? — J'aimc mieux le boeuf que le mouton. — Yos enfants aiment-ils mieux le gateau que le pain? — Ils aiment Fun et l'autre. — A-t-il In tous les livres qu'il a achetes ? — II en a tant achete qu'il ne peut les lire tous. — Youlez-vous ecrire des themes ? — J'en ai tant ecrit, que je ne peux plus en ecrire. — Pourquoi cet homme s'enfuit-il ? — II s'enfuit, parce qu'il a peur. — Quelqu'un veut-il iui faire du mal ? — Personne ne veut lui faire de mal ; mais il n'ose pas rester, parce qu'il n'a pas fait son devoir, et il a peur d'etre puni. — Quelqu'un veut-il le toucher ?— Personne ne veut le toucher, mais il sera puni par son maitre, pour n'a- voir pas fait son devoir. 161* — Cent-soixante et unieme Theme. A-t-on trouve vos livres ? — On les a trouves. — Ou? — Sous le lit. — Mon habit est-il sur le lit? — II est dessous. — Les bas dc votre frere sont-ils sous le lit? — Ils sont dessus. — Ai-je ete vu de quelqu'un? — Yous n'avez ete vu de personne. — Avez-vous passe pres de quelqu'un ? — J'ai passe a cote de vous, et vous ne m'avez pas vu. — Quelqu'un a-t-il passe a cote de vous ? — Personne n'a passe a cote de moi. — Ou votre fils est-il passe ? — II est passe pres du theatre. — Passerez-vous pres du cha- teau ? — J'y passerai. — Pourquoi n'avez-vous pas nettoye mon cofFre ? — J'avais peur de me salir les doigts. — Le domestique de mon frere a-t-il nettoye les fusils de son maitre ? — II les a nettoyes. — N'a-t-il pas eu peur de se salir les doigts ? — IL n'a 10 110 EXERCISE CLXII. pas eu peur de se les salir, parce que ses doigts ne sont jamais propres. — Vous servez-vous des livres que je vous ai pretes 7 — Je m'en sers. — Puis-je me servir de votre couteau? — Tu peux t'en servir, mais il ne faut pas te couper. — Mes freres peuvent-ils se servir de vos livres ? — lis peuvent s'en servir. — Pouvons-nous nous servir de votre fusil ? — Vous pouvez vous en servir, mais il ne faut pas le gater. — Qu'avez-vous Jait de mon bois ? — Je m'en suis servi pour me chauffer. — Votre pere s'est-il servi de mon cheval ? — II s'en est servi. — Nos voisins se sont-ils servis de nos habits 1 — lis ne s'en sont pas servis, parce qu'ils n'en ont pas eu besoin. — Qui s'est servi de mon chapeau? — Personne ne s'en est servi. — Avez-vous.dit a votre frere de descendre ? — Je n'ai pas ose le lui dire. — Pourquoi n'avez-vous pas ose le lui dire ? — Parce que je n'ai pas voulu le reveiller. — Vous a-t-il dit de ne pas le reveiller? — II m'a dit de ne pas le reveiller, quand il dort. 162. — Cent-soixante-deuxieme Thime. Vous etes-vous rase aujourd'hui 1 — Je me suis rase. — Votre frere s'est-il rase ? — II ne s'est pas rase, mais il s'est fait raser. — Vous rasez-vous souvent ? — Je me rase tous les matins, et quelquefois aussi le soir. — Quand vous rasez-vous le soir? — Quand je ne dine pas a la maison. — Combien de fois par jour votre pere se rase-t-il 1 — II ne se rase qu'une fois par jour, mais mon oncle se rase deux fois par jour. — Votre cousin se rasc-t-il souvent ? — II ne se rase que de deux jours Fun. — A quelle heure vous habillez-vous le matin? — Je m'habille aussi- tot que j'ai dejeune, et je dejeune tous les jours a huit heures, on h huit heures et un quart. — Votre voisin s'habille-t-il avant de dejeuner ! — II dejeune avant de s'habiller. — A quelle heure dii soir to deshabilles-tu ' — Je me deshabille aussitot que je reviena du theatre. — Vas-tu au theatre tous les soirs ? — Je n'y v;iis pas tons les soirs, car il vaut mieux etudier que d'aller au theatre.— A quelle heure te deshabilles-tu quand tu ne vas pas au theatre ? — Alors je me deshabille aussitot que j'ai soupe, et je vais me coueher a dix heures. — Avez-vous deja habille l'en- iant? — Je ne Tai p;is encore habille*, car il dort encore. — A EXERCISE CLXII1. 115 quelle heure se leve-t-il ? — II se leve aussitot qu'on le reveille. — Vous levez-vous d'aussi bonne heure que moi ? — Je ne sais pas a quelle heure vous vous levez, mais je me leve aussitot que je me reveille. — Voulez-vous dire a mon domestique de m'eveiller demain a quatre heures? — Je veux le lui dire. — Pourquoi vous etes-vous leve de si bonne heure ? — Mes en- fants ont fait tant de bruit qu'ils m'ont reveille. — Avez-vous bien dormi ? — Je n'ai pas bien dormi, car vous avez fait trop de bruit. — A quelle heure le bon capitaine s'est-il eveille ? — II s'est eveille a cinq heures et un quart du matin. 1 63» — Cent-soixante-troisieme Thime. Comment mon enfant s'est-il comporte ? — II s'est tres-bien comporte. — Comment mon frere s'est-il comporte envers vous? — II s'est tres-bien comporte envers moi, car il se comporte bien envers tout le monde. — Est-ce la peine d'ecrire a cet homme? — Ce n'est pas la peine de lui ecrire. — Est-ce la peine de descendre de cheval pour acheter un gateau ? — Ce n'est pas la peine, car il n'y a pas long-temps que vous avez mange. — Est-ce la peine de descendre de cheval pour donner quelque chose a ce pauvre ? — Oui, car il parait en avoir besoin ; mais vous pouvez lui donner quelque chose sans descendre de che- val. — Yaut-il mieux aller au theatre que d'etudier? — II vaut mieux faire ceci que cela. — Yaut-il mieux apprendre a lire le francais que d'apprendre a le parler ? — Ce n'est pas la peine d'apprendre a le lire sans apprendre a le parler. — Vaut-il mieux aller se coucher que d'aller se promener ? — II vaut mieux faire ceci que cela. — Yaut-il mieux aller en France qu'en Allemagne ? — Ce n'est pas la peine d'aller en France ou en Allemagne, quand on n'a pas envie de voyager. — Yous etes- vous enfin debarrasse de cet homme? — Je m'en suis debarrasse. — Pourquoi votre pere s'est-il defait de ses chevaux? — Parce qu'il n'en avait plus besoin. — Yotre marchand est-il enfin par- venu a se defaire de son sucre avarie ? — II est parvenu a s'en defaire. — L'a-t-il vendu a credit? — II a pu le vendre comptant, de sorte qu'il ne l'a pas vendu a credit. — Qui vous a appris a lire ? — Je l'ai appris chez un maitre francais. — Yous a-t-i] 112 EXERCISE CLXl\ . appris a ecrire? — II m'a appris a lire et a ecrire. — Qui a appris le calcul a votre frere ? — Un maitre francais le lui a appris. — M'appelez-vous ? — Je vous appelle. — Que vous plait-il? — Pourquoi ne vous levez-vous pas ; ne savez-vous pas qu'il est deja tard ? — Que me demandez-vous ? — J'ai perdu tout mon ar- gent, et je viens vous prier de m'en preter. — Quelle heure est- il ? — n est deja six heures et un quart, et vous avez assez dormi. — Y a-t-il long-temps que vous vous etes leve ? — II y a une heure et demie que je me suis leve. — Voulez-vous faire un tour de promenade avec moi 1 — Je ne puis aller me prome- ner, car j'attends mon maitre de francais. 1 64o — Cent-soixante-quatrieme Theme. Esperez-vous recevoir un billet aujourd'hui ? — J'espere er recevoir un. — De qui? — D'un de mes amis. — Qu'esperes-tu * — J'espere voir mes parents aujourd'hui, car mon precepteuT m'a promis de me mener chez eux. — Votre ami espere-t-il re- cevoir quelque chose ? — II espere recevoir quelque chose, car il a bien travaille. — Esperez-vous arriver de bonne heure a Paris ? — Nous esperons y arriver a huit heures et un quart, car notre pere nous attend ce soir. — Esperez-vous le trouver a la niaison? — Nous l'esperons. — Contre quoi avez-vous change vo- ire carosse, dont vous m'avez parle ? — Je l'ai change contre unbeau cheval arabe. — Youlez-vous changer votre livre contre \r mien ? — Je ne le puis, car j'en ai besoin pour etudier le francais. — Pourquoi otez-vous votre chapeau ? — Je l'ote, parce (Uie je vois venir mon vieux maitre. — Changez-vous de cha- peau pour aller au marche ? — Je n'en change pas pour aller au marche, mais pour aller au concert. — Quand le concert aura-t- il lieul — II aura lieu apres demain. — Pourquoi vous en allez- vous? Ne vous amusez-vous pas ici ? — Vous vous trompez, quand vous dites que je ne m'amuse pas ici; car je vous assure que je trourc beaucoup de plaisir a causer avec vous ; mais je inYii vais parce qu'oo m'attend au bal de mon parent. — Avez- \ous promia d*y nll< i- .' — -Pai promis. — A.vez-vous change de chapeau pour allei chez \r capitaine anglais .' — J'ai change de chapeau, mais je n'ai change ni d'habit ni de souliers. — Com- EXERCISES CLXV, CLXVI. 113 bien de fois par jour changes-tu d'habits ? — J'en change pour diner et pour aller au theatre. 165. — Cents oixante-cinquieme Theme. Pourquoi vous melez-vous parmi ces hommes ? — Je me mele parmi eux, pour savoir ce qu'ils disent de moi. — Que devien- drez-vous si vous vous melez toujours parmi les soldats ? — Je ne sais pas ce que je deviendrai, mais je vous assure qu'ils ne me feront pas de mal, car ils ne font de mal a personne. — Avez-vous reconnu votre pere ? — II y a si long-temps que je ne l'ai vu, que je ne l'ai pas reconnu. — Yous a-t-il reconnu? — II m'a reconnu sur le champ. — Combien y a-t-il que vous avez cet habit? — II y a long-temps que je l'ai. — Combien de temps y a-t-il que votre frere ace fusil ? — II y a tres long-temps qu'il l'a. — Parlez-vous toujours le francais ? — II y a si long-temps que je ne l'ai parle, que je l'ai presque tout oublie. — Combien de temps y a-t-il que votre cousin apprend le francais ? — II rry a que trois mois. — Sait-il autant que vous ? — II sait plus que moi, car il y a plus long-temps qu'il l'apprend. — Savez-vous pourquoi cet homme ne mange pas ? — Je crois qu'il n'a pas faim, car il a plus de pain qu'il n'en peut manger. — Avez-vous donne de l'argent a votre his ? — Je lui en ai donne plus qu'il n'en depsnsera. — Youlez-vous me donner un verre de cidre ? — Vous n'avez pas besoin de boire du cidre, car il y a plus de vin qu'il n'en faut. — Dois-je vendre mon fusil pour acheter un chapeau neuf ? — Vous n'avez pas besoin de le vendre, car vous avez plus d'argent qu'il ne vous en faut. — Voulez-vous parler au cordonnier? — Je ne veux pas lui parler, car nous avons plus de souliers qu'il ne nous en faut. — Pourquoi les Francais se re- jouissent-ils ? — lis se rejouissent, parce qu'ils se flattent d'avoir beaucoup de bons amis. — N'ont-ils pas raison de se rejouir? — Ils ont tort, car ils ont moins d'amis qu'ils ne pensent. 1 66. — Cent-soixante-sixie'me The* me. Etes-vous pret a partir avec moi ? — Je le suis. — Votre oncle part-il avec nous ? — II part avec nous, s'il le veut. — Voulez- 10* 114 EXLRCISE CLXVII. vous lui dire d'etre pret a partir demain a six heures du soir ? — Je veux le lui dire. — Ce jeune homme est-il pret a sortir ? — Pas encore, mais il sera bientot pret. — Pourquoi a-t-on pendu cet homme ? — On l'a pendu parce qu'il a tue quelqu'un. — A-t- on pendu l'homme qui a vole un cheval a votre frere ? — On Fa puni, mais on ne l'a pas pendu ; on ne pend que les voleurs de grand chemin dans notre pays. — Qu'avez-vous fait de mon ha- bit? — Je l'ai pendu au mur. — Youlez-vous pendre mon chapeau a l'arbre ? — Je veux l'y pendre. — N'avez-vous pas vu mes sou- liers ? — Je les ai trouves sous votre lit, et je les ai pendus aux clous. — Le voleur qui a vole votre fusil a-t-il ete pendu ? — II a ete puni, mais il n'a pas ete pendu. — Pourquoi vous etendez- vous tant sur ce sujet? — Parce qu'il faut parler sur tous les sujets. — S'il faut vous ecouter et vous repondre, quand vous vous etendez sur ce sujet, je pendrai mon chapeau au clou, je m'etendrai sur le plancher, je vous ecouterai et je vous repon- drai de mon mieux. — Vous ferez bien. 167 • — Cent-soixante-septieme Theme. Comment se porte Monsieur votre pere ? — II se porte comme cela. — Comment se porte votre malade ? — II se porte un pen mieux aujourd'hui qu'hier. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez vu Messieurs vos freres ? — II y a deux jours que je ne les ai vus. — Comment te portes-tu? — Je me porte assez bien. — Com- bien de temps y a-t-il que Monsieur votre cousin apprend le Francais ? — II n'y a que trois mois qu'il l'apprend. — Le parle- t-il deja ? — II le parle, le lit et l'ecrit deja mieux que Monsieur votre frere qui l'apprend depuis deux ans. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez entendu parler de mon oncle ? — II y a a peine quinze jours que j'en ai entendu parler. — Ou sejoume-t-il main- tenant! — II sejourne a Berlin, mais mon pere est a Londres. — \ mis rtcs-vous anvtu long-temps a Yienne ? — Je m'v suis ar- quinze jours. — Combien de temps Monsieur votre cousin s, ''-t-il ;m< t' a Paris? — 11 ne s y est arr£te qu'un mois. — Aimez-YOUS a parlei a mon oncle? — J'aime beaucoup a lui parler, mais j<> n'aimr pas qu'il Be moque de moi. — Pourquoi ne mo(pie-t-il de vous —1] se moque de moi parce que je parle EXERCISE CLXVIII. 115 mal. — Pourquoi Monsieur votre frere n'a-t-il pas d'amis ? — II n'en a pas, parce qu'il se moque de tout le monde. — Pourquoi yous moquez-vous de cet homme ? — Je n'ai pas dessein de me moquer de lui. — Je vous prie de ne pas le faire, car .vous lui fendrez le cceur, si vous vous moquez de lui. — Doutez-vous de ce que je vous dis 1 — Je n'en doute pas. — Doutez-vous de ce que cet homme vous a dit ? — J'en doute, car il a souvent menti. — Avez-vous enfin achete le cheval que vous avez voulu ache- ter le mois passe ? — Je ne l'ai pas achete, car je n'ai pas pu me procurer d'argent. 1 68» — Cent-soixante~huiti&me Th&me. Yotre oncle a-t-il enfin achete le jardin ? — II ne l'a pas achete, car il n'a pas pu convenir du prix. — Etes-vous enfin convenus du prix de ce tableau ?— Nous en sommes convenus. — Combien l'avez-vous paye? — Je l'ai paye quinze cents francs. — Qu'as-tu achete aujourd'hui ? — J'ai achete deux beaux che- vaux, trois beaux tableaux, et un beau fusil. — Combien as-tu paye les tableaux ? — Je les ai achetes sept cents francs. — Les trouvez-vous chers ? — Je ne les trouve pas chers. — Yous etes- vous accorde avec votre associe ? — Je me suis accorde avec lui. — Consent-il a vous payer le prix du vaisseau ? — II consent a me le payer. — Consentez-vous a aller en France ? — Je con- sens a y aller. — Avez-vous revu votre vieil ami ? — Je l'ai revu. — L'avez-vous reconnu ? — Je ne l'ai presque plus reconnu, car, contre son ordinaire, il porte un grand chapeau. — Comment se porte-t-il ? — II se porte tres-bien. — Quels vetements porte-t-il ? — II porte de beaux vetements neufs. — Vous etes-vous apercu de ce que votre garcon a fait? — Je m'en suis apercu. — L'en avez-vous puni ? — Je Ten ai puni. — Monsieur votre pere vous a-t-il drja ecrit? — Pas encore; mais je m'attends a recevoir un billet de lui aujourd'hui. — De quoi vous plaignez-vous ? — Je me plains de ne pouvoir me procurer de l'argent. — Pourquoi ces pauvrc s hommes se plaignent-ils ? — lis se plaignent parce qu'ils ne peuvent se procurer de quoi manger. — Comment se portent vos parents ? — lis se portent, comme a l'ordinaire, fort bien. — Monsieur votre oncle se porte-t-il bien 1 — II se porte 116 EXERCISES CLXIX, CLXX. rnieux qu'a l'ordinaire. — Avez-vous deja entendu parler de votre ami qui est en Allemagne? — Je lui ai deja ecrit plusieura fois, cependant il ne m'a pas encore repondu. 169. — Cent-soixante neuvieme Theme. Qu'avez-vous fait des livres que le capijaine anglais vous a pretes ? — Je les lui ai rendus, apres les avoir lus. — Pourquoi avez-vous jete votre couteau ? — Je l'ai jete apres m'etre coupe. — Quand ai-je ete au concert? — Yous y avez ete apres vous etre tabille. — Quand votre frere est-il alle au bal ? — II y est alle apres s'etre habille. — Quand avez-vous dejeune ? — Nous avons dejeune apres nous etre rases. — Quand nos voisins sont- ils sortis 1 — lis sont sortis apres s'etre chaurTes. — Pourquoi avez-vous puni votre garcon ? — Je Pai puni, parce qu'il a casse mon plus beau verre. Je lui ai donne du vin, et, au lieu de le boire, il Pa repandu sur le tapis neuf, et il a casse le verre. — Qu'avez-vous fait ce matin 1 — Je me suis rase apres m'etre leve, et je suis sorti apres avoir dejeune. — Monsieur votre pere qu'a-t-il fait liier soir ? — II a soupe apres etre alle au spectacle et il est alle se coucher apres avoir soupe. — S'est-il leve de bonne heure 1 — II s'est leve au lever du soleil. 170. — Cent-soixante-dixihne Th£me. Comment se portent Messieurs vos freres ? — lis se portent fort bien depuis quelques jours. — Ou sejournent-ils ? — lis sejournent a Paris. — Quel jour de la semaine les Turcs fe- tent-ils 1 — lis fetent le vendredi ; mais les chretiens fetent le dimanche, les Juifs le samedi et les n^gres le jour de leur naissance. — Parmi vous autre gens de campagne il y a beau- coup de fous, n'est-ce pas ? demanda l'autre jour un philosophe ;i mi j)u\s;m. Celui-ci repondit : " Monsieur, on en trouve dans tons les Stats." " Lei fous disent quelquefois la verite," dit le philosophe. — Votre bcbui a-t-elle mon ruban d'or? — Elle ne l'a pas. — Qu'a-t-elle ! — Elle n'a rien. — Votre mere a-t-elle quelque chose.' — EUe a une belle fourchette d'or. — Qui a ma grandebouteillc? — Voire BCBur l'a. — Voyez-vous quelquefois ma EXERCISE CLXXI. 117 nere ? — Je la vois souvent. — Quand avez-vous vu Mademoiselle /otre so?ur ? — Je Fai vue il y a quinze jours. — Qui a mes belles loix ? — Yotre bonne soeur les a. — A-t-elle aussi mes fourchettes d'argent? — Elle ne les a pas. — Qui les a? — Yotre mere les a. — Quelle fourchette avez-vous ? — J'ai ma fourchette de fer. — Vos soeurs ont-elles eu mes plumes ? — Elles ne les ont pas eues, mais je crois que leurs enfants les ont eues. — Pourquoi votre frere se plaint-il ? — II se plaint parce qu'il a m&l a la main droite. — Pourquoi vous plaignez-vous ? — Je me plai; s parce que j'ai mal a la main gauche. 171. — Cent-soixante et onzi&me Theme. Yotre soeur est-elle aussi agee que ma mere? — Elle n'est pas si agee, mais elle est plus grande. — Yotre frere a-t-il fait des emplettes ? — II en a fait. — Qu'a-t-il achete ? — II a achete de belle toile et de bonnes plumes. — N'a-t-il pas achete des bas de soie? — II en a achete. — Votre soeur ecrit-elle ? — Non, Madame, elle n'ecrit pas. — Pourquoi n'ecrit-elle pas ? — Parce qu'elle a mal a la main. — Pourquoi la fille de votre voisin ne sort-elle pas? — Elle ne sort pas parce qu'elle a mal aux pieds. — Pour- quoi ma soeur ne parle-t-elle pas ? — Parce qu'elle a mal a la bouche. — N'as-tu pas vu ma plume, d'argent ? — Je ne Fai pas vue. — As-tu une chambre sur le devant? — J'en ai une sur le derriere, mais mon frere en a une sur le devant. — Est-ce une chambre du haut? — C'en est une. — La femme de notre cor- donnier sort-elle deja? — Non, Madame, elle ne sort pas encore, car elle est encore tres-malade. — Quelle bouteille votre petite soeur a-t-elle cassee ? — Elle a casse celle que ma mere a ache- tee hier. — Avez-vous mange de ma soupe ou de celle de ma mere ? — Je n'ai mange ni de la votre, ni de celle de votre mere, mais de celle de mabofine soeur. — Avez-vous vu la femme qui a ete chez moi ce matin? — Je ne Fai pas vue. — Yotre mere s'est-elle fait mal ? — Elle ne s'est pas fait mal. 118 EXERCISES CLXXII, CLXXITI. 1 7 2» — Cent-soixante-douzi£me Thime. Avez-vous mal au nez ? — Je n'ai pas mal au nez, mais j'a! mal aux dents. — Vous etes-vous coupe le doigt? — Non, Ma dame, je me suis coupe la main. — Voulez-vous me dormer une plume ? — Je veux vous en donner une. — Youlez-vous avoir celle-ci ou celle-la ? — Je ne veux avoir ni l'une ni l'autre. — Laquelle voulez-vous ? — Je veux celle que votre soeur a. • - Voulez-vous la bonne soie noire de ma mere, ou celle .le ma sceur ? — Je ne veux ni celle de votre mere, ni celle de votre soeur, mais celle que vous avez. — Pouvez-vous ecrire avec cette plume? — Je puis ecrire avec. — Chaque femme se croit aimable, et chacune a de l'amour propre. — De meme que les homines, mon cher ami: tel se croit savant, qui ne Test pas, et bien des hommes surpassent les femmes en vanite. — Qu'avez- vous ? — Je n'ai rien. — Pourquoi votre soeur se plaint-elle ? — Parce qu'elle a mal a la joue. — Votre frere a-t-il mal a la main? — Non, mais il a mal au cote. — Ouvrez-vous la fenetre ? — Je l'ouvre, parce qu'il fait trop chaud. — Quelles fenetres votre soeur a-t-elle ouvertes ? — Elle a ouvert celles de la chambre du devant. — Avez-vous ete au bal de mon ancienne connais- sance ? — J'y ai ete. — Quelles demoiselles avez-vous conduites au bal ? — J'y ai conduit les amies de ma soeur. — Ont-elles danse? — Elles ont beaucoup danse. — Se sont-elles amusees? — Ellcs se sont amusees. — Sont-elles restees long-temps au bal? — Elles y sont restees deux heures. — Cette demoiselle est-elle Turquc ? — Non, elle est Grecque. — Parle-t-elle francais ? — Elle le parle. — Ne parle-t-elle pas anglais ? — Elle le parle aussi, mais elle parle mieux le francais. — Votre soeur a-t-elle une compagne ? — Elle en a une. — L'aime-t-elle ? — Elle l'aime beaucoup, car elle est tres-aimable. 17 3. — Cent-soixante-treiziimc Thdme. Ou 681 voire cousin \ — H est dans la cuisine. — Votre cuisi- niere a-t-elle deja fait la soupe? — Elle Fa faite, car elle est ieja BUT la table. — Oft eat Madame votre mere? — Elle est a EXERCISE CLXXIV. 119 1 egLse. — Votre soeur est-elle allee a l'ecole? — Elle y est allee — Madame votre mere va-t-elle souvent a l'eglise ? — Elle y va tous les matins et tous les soirs. — A quelle heure du matin va< t-elle a l'eglise ? — Elle y va aussitot qu'elle se leve. — A quelle neure se leve-t-elle ? — Elle se leve au lever du soleil. — Vas-tu a l'ecole aujourd'hui ? — J'y vais. — Qu'apprends-tu a l'ecole ? — J'y apprends'a lire, a ecrire et a parler. — Ou est votre tante ? — Elle est allee au spectacle avec ma petite soeur. — MesJemoi- selles vos soeurs vont-elles ce soir a l'opera ? — Non, Madame, elles vont a l'ecole de danse, — Ne vont-elles pas a l'ecole de franc&is ? — Elles y vont le matin, mais non le soir. — Monsieur votre pere est-il alle a la chasse ? — II n'a pas pu aller a la chasse, car il est enrhume. — Aimez-vous a aller a la chasse ? — J'aime mieux aller a la peche que d'aller a la chasse — Monsieur votre pere est-il encore a la campagne ? — Oui, Ma- dame, il y est encore. — Qu'y fait-il ? — II va a la chasse et a la peche. — Avez-vous chasse a la campagne ? — J'ai chasse toute la journee. — Jusqu'a quand etes-vous reste chez ma mere ? — J'y suis reste toute la soiree. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez ete au chateau? — J'y ai ete la semaine derniere. — Y avez-vous trouve beaucoup de monde ? — Je n'y ai trouve que trois personnes, le comte, la comtesse et leur fille. 174. — Cent-soixante-quatorzieme Theme. Ces filles sont-elles aussi sages que leurs freres ? — Elles sont plus sages qu'eux. — Mesdemoiselles vos scaurs savent- elles parler allemand ? — Elles ne le savent pas, mais elles l'apprennent. — Avez-vous apporte quelque chose a Madame votre mere ? — Je lui ai apporte de bons fruits et une belle tourte. — Yotre niece que vous a-t-elle apporte? — Elle nous a apporte de bonnes cerises, de bonnes fraises et de bonnes peches. — Aimez-vous les peches ? — Je les aime beaucoup. — Combien de peches votre voisine vous a-t-elle donnees ? — Elle m'en a donne plus dc vingt. — Avez-vous mange beaucoup de cerises cette annee ? — J'en ai mange beaucoup. — En avez-vous donne a votre petite soeur ? — Je lui en ai donne tant qu'elle ne peut pas les manger toutes. — Pourquoi n'en avez-vous pas 120 EXERCISE CLXXV. donne a. votre bonne voisine ? — J'ai voulu lui en donner, mais elle n'a pas voulu en prendre, parce qu'elle n'aime pas les cerises. — Y a-t-il cu des poires l'annee derniere ? — II n'y en a pas eu beaucoup. — Votre cousine a-t-elle des fraises ? — -Elle en a tant qu'elle ne peut pas les manger toutes. 1 75. — Cent-soixante-quinzi£me Thime. Pourquoi Mesdemoiselles vos soeurs ne vont-elles pas au spectacle ? — Elles ne peuvent pas y aller parce qu'elles sont enrhumees, et cela les rend tres-malades. — Ou se sont-elles enrhumees ? — Elles se sont enrhumees en sortant de l'opera hier soir. — Convient-il a votre sceur de manger des peches ? — II ne lui convient pas d'en manger, car elle en a deja beaucoup mange, et si elle mange tant, cela la rendra malade. — Avez- vous bien dormi la nuit derniere ? — Je n'ai pas bien dormi, car mes enfants ont fait trop de bruit dans ma chambre. — Ou avez- vous ete hier au soir? — J'ai ete chez mon beau-frere. — Avez- vous vu Madame votre belle-sceur 1 — Je l'ai vue. — Comment se porte-t-elle ? — Elle se porte mieux qu'a l'ordinaire. — Avez- vous joue '{ — i\ous n'avons pas joue, mais nous avons lu quel- ques bons livres ; car ma belle-sceur aime mieux lire que de jouer. — Avez-vous lu la gazette aujourd ? hui 1 — Je l'ai lue. — Y a-t-il queique chose de nouveau? — Je n'y ai rien lu de nouveau. — Ou avez-vous ete depuis que je ne vous ai vu ? — J'ai ete a Vienne, a Paris et a Berlin. — Avez-vous parle a ma tante 1 — Je lui ai parle. — Que dit-elle ? — Elle dit qu'elle veut vous voir — Ou avez-vous mis ma plume ? — Je l'ai mise sur le banc. — Comptez-vous voir votre niece aujourd'hui ? — Je compte la voir, car elle m'a promis de diner avec nous. — J'admire cette famille, car le pere en est le roi et la mere en est la reine. Les enfants et les domestiques sont les sujets de l'etat. Les pr^cepteurs des enfants sont les ministres, qui partagent avec le foi et la reine le soin du gouvernement. La bonne educa- tion qu'on donne aux enfants est la couronne des* monarques. EXERCISES CLXXVI, CLXXVII. 12] 1 7 6. — Cent-soixante-seizieme Theme. Avez-vous deja loue une chambre? — J'en ai deja loue une.— Ou l'avez-vous louee ? — Je l'ai louee (dans la) rue Guillaumej numero cent-cinquante-deux. — Chez qui l'avez-vous louee ? — Chez rhomme dont le flls vous a vendu un cheval.- — Pour qui votre pere a-t-il loue une chambre ? — II en a loue une pour son fils qui vient d'arriver de France.— Pourquoi n'avez-vous pas tenu votre promesse ? — Je ne me ressouviens pas de ce que je vous ai promis. — Ne nous avez-vous pas promis de nous menei iu concert jeudi dernier? — Je confesse que j'ai eu tort de vous le promettre ; cependant le concert n'a pas eu lieu. — Votre frere convient-il de sa faute ? — II en convient. — Votre cr cle que dit-il de ce billet ? — II dit qu'il est tres-bien ecrit ; mais i] convient qu'il a eu tort de l'envoyer au capitaine. — Convenez vous de votre faute a present ? — Je conviens que c'est une faute. — Ou avez-vous trouve mon habit? — Je l'ai trouve dans la chambre bleue. — Voulez-vous pendre mon chapeau a l'arbre ? — Je veux l'y pendre. — Comment vous portez-vous aujourd'hui? — Je ne me porte pas tres-bien. — Qu'avez-vous ? — J'ai un vio- lent mal de tete et un rhume de cerveau. — Ou vous etes-vous enrhume ? — Je me suis enrhume hier soir en sortant du spec- tacle. 1 77 • — Cent-soixante-dix-septieme Theme. Voulez-vous diner avec nous aujourd'hui ? — Avec beaucoup de plaisir. — Quels mets avez-vous, (qu'avez-vous a diner?) — Nous avons de bonne soupe, de la viande fraiche et de la viande salee, et du laitage. — Aimez-vous le laitage ? — Je le prefere a tout autre aliment. — Etes-vous pret a diner ? — Je suis pret. — Comptez-vous bientot partir ? — Je compto partir la se- maine prochaine. — Voyagez-vous seul ? — Nor, Madame, je voyage avec mon oncle. — Voyagez-vous a pied ou en voiture ? — Nous voyageons en voiture. — Avez-vous rencontre quelqu'un dans votre dernier voyage a Berlin ? — Nous avons rencontre beaucoup de voyageurs. — A quoi comptez-vous passer le temps 11 122 EXERCISE CLXXVII1. cet ete? — Je compte faire un petit voyage. — Avez-vous teau coup marche dans votre dernier voyage ? — J'aime beaucoup a marcher, mais mon oncle aime a aller en voiture. — N'a-t-il pas voulu marcher ? — II a voulu marcher d'abord, mais il a voulu monter en voiture apres avoir fait quelques pas, de sorte que je n'ai pas beaucoup marche. — Qu'avez-vous fait aujourd'hui a l'ecole ? — Nous avons ecoute notre professeur. — Qu'a-t-il dit ? — II a fait un grand discours sur la bonte de Dieu. Apres avoir dit : La repetition est la mere des etudes, et une bonne memoire est un grand bienfait de Dieu, il a dit : Dieu est le createur du ciel et de la terre ; la crainte du Seigneur est le commencement de toute sagesse. — Que faites-vous toute la journee dans ce jardin? — Je m'y promene. — Qu'est-ce qui vous y attire ? — Le chant des oiseaux m'y attire. — Y a-t-il des ros- signols ? — II y en a, et l'harmonie de leur chant m'enchante. — Ces rossignols ont-ils plus de pouvoir sur vous que les beautes de la peinture, ou que la voix de votre tendre mere, qui vous aime tant ? — J'avoue que l'harmonie du chant de ces petits oiseaux a plus de pouvoir sur moi que les paroles les plus tendres de mes plus chers amis. 1 78» — Cent-soixante-dix-huitiime Thime. A quoi votre niece s'amuse-t-elle dans sa solitude ? — Elle lit beaucoup et elle ecrit des lettres a sa mere. — A quoi votre oncle s'amuse-t-il dans sa solitude? — II s'occupe de peinture et de chimie. — Ne fait-il plus d'affaires ? — II n'en fait plus, car il est trop age pour en faire. — Pourquoi se mele-t-il de vos af- faires? — 11 ne se mele pas ordinairement des affaires des autres, mais il se mele des miennes, parce qu'il m'aime. — Votre maitre vous a-t-il fait repeter votre lecon aujourd'hui ? — 11 me l'a fait repeter. — L'avez-vous sue? — Je 1'ai sue asscz hicii — Avez-vous aussi fait des themes? — J'en ai fait; mais qu'est-ce que ceja vous fait, je vous prie ? — Je ne me mele pas ordinairement des choses qui ne me regardent pas, mais je vous aime tan! que je m'int&esse beaucoup a ce que vous faites. — Quelqu'un so Boucie-t-il de vous? — Personne ne se Boucie dr uioi par \B nVn vaux pas la peine. — Qui est-ce qui EXERCISE CLXXIX. 123 corrige vos themes? — Mon maitre les corrige. — Comment les corrige-t-il ? — II les corrige en les lisant, et en les lisant ll me parte. — Combien de choses votre maitre fait-il a la fois ? — II fait quatre choses a la fois. — Comment cela? — II lit e* corrige mes themes, il me parte et me questionne tout a la lois . — Ala- demoiselle votre soeur chante-t-elle en dansant. — Elle chante en travaillant, mais elle ne peut pas chanter en dansant. — Votre mere est-elle partie ? — Elle n'est pas encore partie. — Quand partira-t-elle ? — Elle partira demain soir. — A quelle heure ? — A sept heures moins un quart. — Vos soeurs sont-elles arrivees ? — Elles ne sont pas encore arrivees, mais nous les attendons ce soir. — Passeront-elles la soiree avec nous ? — Elles la passeront avec nous, car elles m'ont promis de le faire. — Ou avez-vous passe la matinee ? — Je l'ai passee a la campagne. — Allez-vous tous les matins a la campagne ? — Je n'y vais pas tous les matins, mais deux fois par semaine. — Pourquoi votre niece n'est-elle pas venue me voir ? — Elle est tres-malade, et elle a passe toute la journee dans sa chambre. 1 7 9. — Cent-soixante-dix-neuvieme Theme, Vos parents iront-ils demain a la campagne ? — lis n'iront pas, car il fait trop de poussiere. — Irons-nous nous promener aujourd'hui ? — Nous n'irons pas nous promener, car il fait trop sale dehors. — Voyez-vous le chateau de mon parent derriere cette montagne-la ? — Je le vois. — Y entrerons-nous ? — Nous y entrerons si cela vous plait. — Voulez-vous entrer dans cette chambre? — Je n'y entrerai pas, car il y fait de la fumee. — Je vous souhaite le bonjour, Madame. — Ne voulez-vous pas en- trer ? Ne voulez-vous pas vous asseoir ? — Je m'assierai sur cette grande chaise. — Voulez-vous me dire ce qu'est devenu votre frere ? — Je vais vous le dire. — Ou est votre soeur ? — Ne la voyez-vous pas ? Elle est assise sur le banc. — -Votre perc est-il assis sur le banc ? — Non, il est assis sur la chaise. — As- tu depense tout ton argent? — Je n'ai pas tout depense. — Com- bien t'en reste-t-il ? — II ne m'en reste pas beaucoup ; il ne me reste plus que cinq francs. — Combien d'argent reste-t-il a tes soeurs? — II ne leur reste plus que trois ecus. — Vous reste-t-il 124 EXERCISES CLXXX, CLXXXI assez (Targent pour payer votre tailleur ? — II m'en resve assez pour le payer ; mais si je le paie, il ne m'en restera guere. — Combien d'argent restera-t-il a vos freres ? — II leur restera cent ecus. — Quand irez-vous en Italie ? — J'irai aussitot que j'aurai appris l'italien. — Quand vos freres iront-ils en France ? — lis iront aussitot qu'ils sauront le francais. — Quand l'appren- dront-ils ? — lis l'apprendront, quand ils auront trouve un bon maitre. — Combien nous restera-t-il d'argent, quand nous aurons paye nos chevaux ? — Quand nous les aurons payes, il ne nous restera que cent ecus. 1 80. — Cent-quatre~vingti£me Thime. Gagnez-vous quelque chose a cette affaire ? — Je n'y gagne pas beaucoup ; mais mon frere y gagne beaucoup. II remplit d'argent sa bourse. — Combien d'argent y avez-vous gagne ? — Je n'y ai guere gagne, mais mon cousin y a gagne beaucoup. II a rempli sa poche d'argent. — Pourquoi cet homme ne tra- vaille-t-il pas 1 — C'est un vaurien, car il ne fait que manger toute la journee. II remplit toujours de viande son ventre, de sorte qu'il se rendra malade, s'il continue a manger tant. — De quoi avez-vous rempli cette bouteille ? — Je l'ai remplie de vin. — Cet homme veut-il avoir soin de mon cheval ? — II veut en avoir soin. — Qui aura soin de mon domestique ? — L'aubergiste aura soin de lui. — Votre domestique a-t-il soin de vos che- vaux ? — II en a soin. — A-t-il soin de vos habits ? — II en a soin, car il les brosse tous les matins. — Avez-vous jamais bu du vin francais ? — Je n'en ai jamais bu. — Y a-t-il long-temps que vous n'avez mange du pain francais ? — II y a pres de trois ans que je n'en ai mange. — Avez-vous fait mal a mon beau-fiere? — Je ne lui ai pas fait mal, mais il m'a coupe le doigt. — Avec quoi vous a t-il coupe le doigt ? — Avec le couteau que vous lui avcz pnU\ 181 • — ('cnt-yuatrc-vinnt-iniicmc Thdjne. Votre pfere est-il enfin arrive? — Tout le monde dit qu'il est arrive ; mais je ne l'ai pas encore vu — Le medecin a-t-il fail EXERCISE CLXXXII 125 mal a votre fils ? — II lid a fait mal, car il lui a coupe le doigt. — A-t-on coupe la jambe a cet homme ? — On la lui a coupee. — Etes-vous content de votre domestique ? — J'en suis tres-con- tent, car il est propre a tout. — Que sait-il ? — II sait tout. — Sait-il monter a cheval ? — II le sait. — Yotre frere est-il enfin revenu d'Angleterre ? — II en est revenu, et il vous a amene un beau cheval. — A-t-il dit a son palefrenier de me l'amener ? — II lui a dit de vous Pamener. — Que dites-vous de ce cheval? — Je dis qu'il est beau et bon, et je vous prie de le mener a l'ecurie. — A quoi avez-vous passe le temps hier ? — J'ai ete au concert et ensuite au spectacle. — Quand cet homme est-il descendu dans le puits ? — II y est descendu ce matin. — Est-il deja re- monte ? — II y a une heure qu'il est remonte. — Ou est votre frere ? — II est dans sa chambre. — Voulez-vous lui dire de de- scendre ? — Je veux le lui dire ; mais il n'est pas encore ha- bille. — Votre ami est-il toujours sur la montagne ? — II en est deja descendu. — Avez-vous descendu ou remonte la riviere ? — Nous l'avons descendue. — Mon cousin vous a-t-il parle avant departir? — II m'a parle avant de monter en voiture. — Avez- vous vu mon frere ? — Je l'ai vu avant de monter sur le vaisseau. — Vaut-il mieux aller en voiture que de monter sur un vais- seau ? — Ce n'est pas la peine de monter en voiture, ni de mon- ter sur le vaisseau, quand on n'a pas envie de voyager. 1 82. — Cent~quatre~vingt-deuxi£me Theme. Etiez-vous aime quand vous etiez a Dresde ? — Je n'etais pas hai'. — Yotre frere etait-il estime, lorsqu'il etait a Londres ? — II etait aime et estime. — Quand etiez-vous en Espagne ? — J'y etais lorsque vous y etiez. — Qui etait aime et qui etait hai* ? — Ceux qui etaient sages, assidus et obeissants etaient aimes, et ceux qui etaient mechants, paresseux et desobeissants etaient punis, hai's et meprises. — Etiez-vous a Berlin, lorsque le roi y etait ? — J'y etais lorsqu'il y etait. — Votre oncle etait-il a Lon- dres, lorsque j'y etais ? — II y etait lorsque vous y etiez. — Ou etiez-vous lorsque j'etais a Dresde? — J'etais a Paris. — Ou etait votre pere, lorsque vous etiez a Vienne ? — II etait en Angle- terre. — Quand dejeuriez-vous, lorsque vous etiez en France? — 11* 126 EXERCISE CLXXXIII. Je dejeunais lorsque mon oncle dejeunait. — Travailliez-vous lorsqu'il travaillait? — J'etudiais lorsqu'il travaillait. — Votre frere travaillait-il lorsque vous travailliez ? — II jouait lorsque je tra- vaillais. — De quoi nos ancetres vivaient-ils ? — lis ne vivaient que de poisson et de gibier, car ils allaient tous les jours a la chasse et a la peche. — Quelles gens etaient les Romains ? — C'etaient de tres-bonnes gens, car ils cultivaient les arts et les sciences et recompensaient le merite. — Alliez-vous souvent voir vos amis lorsque vous etiez a Berlin? — J'allais souvent les voir. — Alliez-vous quelquefois aux Champs-Elysees, lorsque vous etiez a Paris ? — J'y allais souvent. 183. — Cent-quatre-vingt-troisieme Thdme. Que faisiez-vous lorsque vous demeuriez dans ce pays ? — Quand nous y demeurions, nous allions souvent a la peche. — N'alliez-vous pas vous promener ? — J'allais me promener quel- quefois. — Vous levez-vous de bonne heure ? — Pas si tot que vous ; mais quand je demeurais chez mon oncle je me levais de meilleure heure que je ne le fais maintenant. — Gardiez- vous le lit quelquefois, lorsque vous demeuriez chez votre oncle? — Quand j'etais malade, je gardais le lit toute la journee. — Y a-t-il beaucoup de fruit cette annee ? — Je ne le sais pas, mais Fete dernier, lorsque j'etais a la campagne, il y avait beaucoup de fruit. — A quoi gagnez-vous votre vie ? — Je gagne ma vie a travailler. — Votre ami gagne-t-il sa vie a ecrire ? — II la gagne a parler et a ecrire. — Ces messieurs gagnent-ils leur vie a travailler ? — Ils la gagnent a ne rien faire, car ils sont trop paresseux pour travailler. — A quoi votre ami a-t-il gagne cet argent ? — II Fa gagne a travailler. — A quoi gagniez-vous votre vie, lorsque vous etiez en Angleterre ? — Je la gagnais a ecrire. — Votre cousin gagnait-il sa vie a ecrire ? — II la gagnait a travailler. — Avez-vous jamais vu une telle personne ? — Je n'en ai jamais vu une pareille. — Avez-vous deja vu notre eglise ? — Je ne Fai pas encore vue. — Ou est-elle ? — Elle est hors de la ville. Si vous voulcz la voir, j'irai avec vous pour vous la montrer. — De quoi rivent les gens qui habitent le bord de la* wicr ? — Ils ne vi\ nil que de poisson. — Pourquoi ne voulez-voua EXERCISES CLXXXIV, CLXXXV. 127 plus aller a la chasse ?--^J'ai chasse liier toute la journee et je n'ai tue qu'un vilain oiseau, de sorte que je n'irai plus a la chasse. — Pourquoi ne mangez-vous pas? — Parce que je n'ai pas bon appetit.— -Pourquoi votre frere mange-t-il tant? — Parce qu'il a bon appetit. 1 84. — Cent-quatre-vingt-quatriime Theme. Qui cherchez-vous (qui est-ce que vous cherchez?) — Je cherche mon petit frere.— Si vous voulez le trouver, il faul aller dans le jardin, car il y est. — Le jardin est grand, et je ne pourrai pas le trouver, si vous ne me dites pas dans quelle partie du jardin il est. — II est assis sous le grand arbre, sous lequel nous etions assis hier. — A present je le trouverai. — Pourquoi ne m'avez-vous pas apporte mes habits ? — lis n'etai- ent pas faits, de sorte que je ne pouvais pas vous les apporter ; mais je vous les apporte a present. — Yous avez appris votre lecon, pourquoi votre soeur n'a-t-elle pas appris la sienne ? — Elle est allee se promener avec ma mere, de sorte qu'elle n'a pas pu 1'apprendre ; mais elle l'apprendra demain. — Quind corrigerez-vous mes themes ? — Je les corrigerai, lorsque vous m'apporterez ceux de votre soeur. — Pensez-vous y avoir fait des fautes ? — Je ne le sais pas. — Si vous avez fait des fautes, vous n'avez pas bien etudie vos lecons, car il faut bien appren- dre les lecons pour ne pas faire de fautes dans les themes. — C'eet egal : si vous ne me les corrigez pas aujourd'hui, je ne les apprendrai que demain. — II ne faut pas faire de fautes dans vos themes, car vous avez tout ce qu'il faut pour n'en pas faire. 1 85. — Cent-quatre-vingt-cinquieme Theme. Oubliiez-vous quelque chose lorsque vous alliez a l'ecole ? — Nous oubliions souvent nos livres. — Ou les oubliiez-vous ? — Xous les oubliions a l'ecole. — Oubliions-nous quelque chose? ---Vous n'oubliiez rien. — Votre mere priait-elle pour quelqu'un, lorsqu'elle allait a l'eglise ? — Elle priait pour ses enfants. — Pour qui priions-nous ? — Vous priiez pour vos parents. — Pou r qui nos parents priaient-ils ? — Us priaient pour leurs enfants.— - 128 EXERCISE CLXXXVI. Lorsque vous receviez votre argent qu'en faisiez-vous ? — Nous l'employions a acheter de bons livres. — Employiez-vous aussi le votre a acheter des livres ? — Non, nous l'employions a se- courir les pauvres. — Ne payiez-vous pas votre tailleur? — Nous le payions. — Payiez-vous toujours comptant, lorsque vous achetiez chez ce marchand'? — Nous payions toujours comptant, car nous n'achetons jamais a credit. — Votre soeur est-elle par- venue a raccommoder vos bas ? — Elle y est parvenue. — Votre mere est-elle revenue de Teglise ? — Elle n'en est pas e.icore revenue. — Ou votre tante est-elle allee ? — Elle est allee a l'eglise. — Ou nos cousines sont-elles allees? — Elles sont allees au concert. — N'en sont-elles pas encore revenues ? — Elles n'en sont pas encore revenues. 1 86. — Cent-quatre-vingt-sixi£me Thhne. Qui est la 1 — C'est moi. — Qui sont ces hommes I — Ce sont des etrangers qui veulent vous parler. — De quel' pays sont-ils? — Ce sont des Americains. — Ou est mon livre ? — Le voila. — Et ma plume ? — La voici. — Ou est Mademoiselle votre soeur 1 — La voila. — Ou sont nos cousines ? — Les voila. — Ou etes- vous, Jean ? — Me voici. — Pourquoi vos enfants demeurent-ils en France ? — lis veulent apprendre le Francais ; voila pour- quoi ils demeurent en France. — Pourquoi etes-vous assis pres du feu? — J'ai froid aux mains et aux pieds, voila pourquoi je suis assis pres du feu. — Votre soeur a-t-elie froid aux mains ? — Non, mais elle a froid aux pieds. — Madame votre tante qu'a- t-elle ? — La jambc lui fait mal. — Avez-vous quelque chose ? — La tete me fait mal. — Cette femme qu'a-t-elle ? — La langue lui fait beaucoup de mal. — Pourquoi ne mangez-vous pas? — Je ne mangerai pas avant d'avoir bon appetit. — Votre soeur a-t-elle bon appetit ?- -Elle a tres-bon appetit ; voila pourquoi elle mange taut. — Si vous avez lu les livres que je vous ai pretes, pourquoi ne me les rcndez-vous pas? — Je compte les lire en- core unc i'ois ; voil;i pourquoi je ne vous les ai pas encoie rendus ; mais je vous les reiulrai aussitot que je les aurai lus pour la Beconde fois. — Pourquoi u'avez-vous pas apporte mes 80uliers? — Us u^taienl pas fails, c'est pourquoi je ne les ii EXERCISES CLXXXVII, CLXXXVIII. 129 pas apportes; mais je vous les apporte a present: les voici. — Pourquoi votre iille n'a-t-elle pas appris ses themes ? — Elle a . ete faire un tour de promenade avec sa compagne ; voila pour- quoi elle ne les a pas appris : mais elle promet de les appren- dre demain, si vous ne la grondez pas. 1 87 • — Cent-quatre-vingt-septieme Theme. Auriez-vous de l'argent, si votre pere etait ici ? — J'en aurais, s'il etait ici. — Auriez-vous ete content, si j'avais eu des livres ? — J'aurais ete tres-content, si vous en aviez eu. — Auriez-vous loue mon petit frere, s'il avait ete sage ? — S'il avait ete sage, je l'aurais certainement non seulement loue, mais aussi aime, honore et recompense. — Serions-nous loues, si nous faisions nos themes 1 — Si vous les faisiez sans faute, vous seriez loues et recompenses. — Est-ce que mon frere n'aurait pas ete puni, s'il avait fait ses themes 1 — II n'aurait pas ete puni, s'il les avait faits. — Ma soeur aurait-elle ete louee, si elle n'avait pas ete habile ? — Elle n'aurait certainement pas ete louee, si elle n'avait pas ete tres-habile, et si elle n'avait pas travaille depuis le matin jusqu'au soir. — Me donneriez-vous quelque chose, si j'etais tres-sage 1 — Si vous etiez tres-sage, et si vous travailliez bien, je vous donnerais un beau livre. — Auriez-vous ecrit a votre soeur, si j'avais ete a Paris ? — Je lui aurais ecrit et je lui aurais envoye quelque chose de beau, si vous y aviez ete. — Parleriez-vous si je vous ecoutais 1 — Je parlerais si vous m'e- coutiez, et si vous me repondiez. — Auriez-vous parle a ma mere si vous l'aviez vue ? — Je lui aurais parle, et je l'aurais pri6e de vous envoy er une belle montre en or, si je l'avais vue. 1 88. — Cent-quatre-vingt'huitieme TMme. Un des valets de chambre de Louis XIV. demandait a ce prince, comme il se mettait au lit, de faire recommander a Monsieur le premier president un proces qu'il avait contre son beau-pere, et disait, en le pressant : " Helas, Sire, vous n'avez qu'un mot a dire." " Eh!" dit Louis XIV., " ce n'est pas de quoi je suis en peine ; mais, dis-moi, si tu etais a la place de 130 EXERCISES CLXXXIX, CXC, ton beau-pere, et ton beau-pere a la tienne, serais-tu bien aise si je disais cc mot ?" Si les hommes venaient, il faudrait leur donner quelque chose a boire. — S'il pouvait faire ceci il voudrait faire cela. — Je me suis toujours flattee, mon cher frere, que vous m'aimiez autant que je vous aime ; mais je vois a present que je me suis trompee. — Je voudrais savoir pourquof vous avez ete vous pro- mener sans moi. — J'ai appris, ma chere sceur, que vous etiez fachee contre moi, parce que j'ai ete me promener sans vous. Je vous assure que si j'avais su que vous n'etiez pas malade, je serais venu vous chercher ; mais je me suis informe de votre sante chez votre medecin, et il m'a dit que vous gardiez le lit depuis huit jours. 1 89. — Cent-quatre-vingt-neuvieme Theme. Un officier francais etant arrive a la cour de Yienne, l'impe- ratrice Therese lui demanda, s'il croyait que la princesse de N., qu'il avait vue la veille, etait reellement la plus belle femme du monde, comme on le disait. " Madame," repliqua l'officier, "je le croyais hier." — Comment trouvez-vous cette viande ? — Je la trouve fort bonne. — Oserais-je vous demander un morceau de ce poisson ? — Si vous voulez avoir la bonte de me passer votre assiette, je vous en donnerai. — Youdriez-vous avoir la bonte de me verser a boire ? — Avec beaucoup de plaisir. — Ciceron voyant son beau-fils,qui etait tres-petit, venir avec une longuc epee au cote, dit : Qui est-ce qui a attache mon beau- fils a cette epee ? 1 90. — Ccnt-quatrc-v'uigt-dixidmc Thtme. Qu'est devenu votre oncle ? — Je vous dirai ce qu'il est de- venu. Yoici la chaise sur laquelle il etait assis souvent. — Kst-il mort ! — 11 rst mort. — Quand est-il mort ? — II est mort il y a deui ans. — J'en suis trfes-afflig6. — Pourquoi ne vous as- Beyez-YOUfl pas?— Si vous voulez rester aupres de moi, je nfassirrai ; maifl si vous vous en alloz, je mVn irai avec vous — Qu'est devenuc votre tante ! — Je ne sais pas ce qu'elle est EXERCISE CXCI. 131 devenue. — Voulez-vous me dire ce qu'est devenue votre soeur? — Je veux vous dire ce qu'elle est devenue. — Est-elle morte ? — Elle n'est pas morte. — Qu'est-elle devenue 1 — Elle est allee a Vienne. — Que sont devenues vos soeurs 1 — Je ne peux pas vous dire ce qu'elles sont devenues, car il y a deux ans que je ne les ai vues. — Yos parents vivent-ils ? — lis sont morts. — Combien de temps y a-t-il que votre cousine est morte ? — II y a six mois qu'elle est morte. — Le vin se vendait-il bien Fannee derniere ? — II ne se vendait pas trop bien ; mais il se vendra mieux Fannee prochaine, car il y en aura beaucoup, et il ne sera pas cher. — Pourquoi ouvrez-vous la porte ? — Ne voyez- vous pas comme il fait de la fumee ici 1 — Je le vois, mais il faut ouvrir la fenetre au lieu d'ouvrir la porte. — La fenetre ne s'ouvre pas facilement, voila pourquoi j'ouvre la porte. — Quand la fermerez-vous ? — Je la fermerai aussitot qu'il n'y aura plus de fumee. — Alliez-vous souvent a la peche, lorsque vous etiez dans ce pays ? — Nous allions souvent a la peche et a la chasse. — Si vous vouiez venir avec nous a la campagne, vous verrez le chateau de monpere. — Yous etes tres-poli, Monsieur; mais j'ai deja vu ce chateau. 191 » — Cent-quatre-vingt-onzieme TMrne. Quand avez-vous vu le chateau de mon pere ? — Je Fai vu en voyageant Fannee derniere. C'est un tres-beau chateau et il se voit de loin. — Comment cela se dit-il 1 — Cela ne se dit pas. Cela ne se concoit pas. — Ne peut-on pas tout dire dans votre langue ? — On peut tout dire, mais non comme dans .^ votre. — Yous leverez-vous de bonne heure demain ? — C'est selon ; si je me couche de bonne heure, je me leverai de bonne heure ; mais si je me couche tard, je me leverai tard. — Aime- rez-vous mes enfants ? — S'ils sont sages, je les aimerai. — Dinerez-vous avec nous deinain ? — Si vous faites preparer les mets quej'aime, je dinerai avec vous. — Avez-vous deja lu la lettre que vous avez recue ce matin ? — Je ne Fai pas encore ouverte. — Quand la lirez-vous ? — Je la lirai aussitot que j'aurai Je temps. — A quoi cela est-il bon ? — Cela n'est bon a rien. — Pourquoi Favez-vous ramasse ? — Je Fai ramasse pour vous le 132 EXERCISE CXCII. montrer. — Pouvez-vous me dire ce que c'est ? — Je ne peux pas vous le dire, car je ne le sais pas ; mais je demanderai a mon frere qui vous le dira. — Ou l'avez-vous trouve ? — Je l'ai trouve au bord de la riviere pres du bois. — L'avez-vous apercu de loi n ? — j e rvavais pas besoin de l'apercevoir de loin, car je passais a cote de la riviere. — Avez-vous jamais vu une telle chose? — Jamais. — Est-il utile de parler beaucoup? — C'est se- lon : quand on veut apprendre une langue etrangere, il est utile de parler beaucoup. — Est-il aussi utile d'ecrire que de parler ? — II est plus utile de parler que d'ecrire ; mais pour apprendre une langue etrangere, il faut faire l'un et l'autre. — Est-il utile d'ecrire tout ce qu'on dit ? — Cela est inutile. 1 92» — Cent-quatre-vingt-douziime Thime. Ou avez-vous pris ce livre ? — Je l'ai pris dai3 la chambre de votre amie. — Est-il bien de prendre les livres des autres? — Ce n'est pas bien, je le sais ; mais j'en avais besoin, et j'espere que votre anrie n'en sera pas fachee : car je le lui rendrai aussitot que je l'aurai lu. — Comment vous appelez- vous ? — Je m'appelle Guillaume. — Comment s'appelle votre soeur? — Elle s'appelle Leonore. — Pourquoi Charles se plaint- il de sa soeur? — Parce qu'elle a pris ses plumes. — De qui ces enfants se plaignent-ils ? — Francois se plaint de Leonore, et Leonore de Francois. — Qui a raison ? — lis ont tort tous deux ; car Leonore veut prendre les livres de Francois et Francois ceux de Leonore. — A qui avez-vous prete les osuvres de Ra- cine ? — J'ai prete le premier volume a Guillaume et le second a Louise. — Comment cela se dit-il en franc ais ? — Cela se dit amsi. — Comment cela se dit-il en allemand ? — Cela ne se dit pas en allemand. — Le tailleur vous a-t-il apporte votre habit unit'? — 11 me l'a apporte, mais il ne me va pas bien. — Vous en fera-t-i] un autre? — II m'en fera un autre; car plutol que de le porter, je Le donnerai. — Vous servirez-vous de ce cheval? Je De m'en Bervirai pas. — Pourquoi ne vous en servirez-vous pas I — Parcequ'i] ne me convientpas. — Le paierez-vous? — Je le paierai plut6t que de m'en Bervir. — A qui appartiennent cej beaux lnrrs ! — Us appartiennent a Guillaume. — Qui les lui a EXERCISES CXCII1, CXCIV. 333 donnes ? — Son pere. — Les lira-t-il ? — II les dechirera plutot que de les lire. — Qui vous a dit cela? — II me l'a dit lui-meme. 1 93.- — Cent-quatre-vingt-treizieme Theme. De quel pays cette dame est-elle ? — Elle est de France. — Etes-vous de France? — Non, je suis d'Allemagne. — Pourquoi ne donnez-vous pas vos habits a raccommoder ? — Ce n'est pas la peine, car il me faut des habits neufs. — L'habit que vous portez n'est-il pas bon ? — C'est un habit a demi use, et il ne vaut rien. — Seriez-vous fache si votre mere arrivait aujour- d'hui ? — Je n'en serais pas fache. — Votre soeur serait-elle fachee, si elle etait riche ? — Elle n'en serait pas fachee. — Etes-vous fache contre quelqu'un ? — Je suis fache contre Louise qui est allee a l'opera sans m'en dire un mot. — Ou etiez-vous quand elle est sortie ? — J'etais dans ma chambre. — Je vous assure qu'elle en est tres-fachee ; car si elle avait su que vous etiez dans votre chambre, elle vous aurait appele pour vous emmener avec elle a l'opera. — Charles-Quint, qui parlait cou- ramment plusieurs langues europeennes, avait coutume de dire qu'il fallait parler espagnol avec les dieux, italien avec son amie, francais avec son ami, allemand avec les soldats, anglais avec les oies, hongrois avec les chevaux, et bohemien avec le diable. 1 94. — Cent-quatre-vingt-quatorzieme Theme. De quelle maladie votre sceur est-elle morte ? — Elle est morte de la fievre. — Comment se porte Monsieur votre frere ? — Mon frere ne vit plus. II est mort il y a trois mois. — J'en suis etonne, car il se portait fort bien l'ete dernier, lorsque j'etais a la campagne. De quoi est-il mort? — II est mort d'a- poplexie. — Comment se porte la mere de votre ami ? — Elle ne se porte pas bien ; la fievre l'a prise avant-hier et ce matin elle l'a reprise. — A-t-elle une fievre intermittente ? — Je ne sais, mais elle a souvent des acces de fievre. — Qu'est devenue la femme que j'ai vue chez votre mere ? — Elle est morte ce matin d'apoplexie. — Vos ecoliers apprennent-ils leurs theme* 12 134 EXERCISE CXCV. par coeur 1 — lis les dechireront plutot que de les apprendr*, pai cceur. — Que me demande cet homme ? — II vous demande Tar gent que vous lui devez. — S'il veut se rendre demain matin chez moi, je lui paierai ce que je lui dois. — II perdra son argent plutot que de s'y rendre. — Pourquoi la mere de notre vieux domestique verse-t-elle des larmes ? Que lui est-il ar- rive ? — Elle verse des larmes, parce que le vieil ecclesiastique, son ami, qui lui faisait tant de bien, est mort il y a qnelques jours. — De quelle maladie est-il mort? — II a ete frappe d'apo- plexie. — Avez-vous aide votre pere a ecrire ses lettres ? — Je I'ai aide. — M'aiderez-vous a travailler quand nous irons a la ville ? — Je vous aiderai a travailler, si vous m'aidez a gagner ma vie. 1 95. — Cent-quatre-vingt-quinziime Thime. Vous etes-vous informe du marchand qui vend a si bon marche ? — Je m'en suis informe ; mais personne n'a pu me dire ce qu'il est devenu. — Ou demeurait-il, lorsque vous etiez ici il y a trois ans ? — II demeurait alors rue Charles, numero cin- quante-sept. — Comment trouvez-vous ce vin ? — Je le trouve fort bon, mais il est un peu sur. — Comment votre soeur trouve- t-elle ces pommes ? — Elle les trouve tres-bonnes, mais elle dit qu'elles sont un peu trop douces. — Voulez-vous avoir la bonte de me passer ce plat? — Avec beaucoup de plaisir. — Faut-il vous passer ces poissons ? — Je vous prie de me les passer. — Faut-il passer le pain a votre sceur? — Vous lui ferez plaisir de le lui passer. — Comment Madame votre mere trouve-t-elle nos meta 7 — Elle Irs trouve tres-bons, mais elle dit qu'elle a assez mange.— Que me demandes-tu? — Je vous prie de me donner un petit morceau de ce mouton. — Voulez-vous me passer la bouteille, s'il vous plait? — N'avcz-vous pas assez bu? — Pas encore, car j*ai 'il vous platt. — Le comte est-il chez lui ? Je desire avoir rimiim-iir de Lui purler. — Oui, Monsieur, il est chez lui; qui aurai-je llionneur d'aunoneer ! — Je suis de B., (^t je nrappelle F. Quel est le chemin le plus court pour aller a Tarsenal? — Buivez cette rue et quand vous sim-(^z au bout, tournez a EXERCISE CCXXY. 157 gauclie ; vous trouverez un carrefour que vous traverserez , ensuite vous entrerez dans une rue plus etroite, qui vous menera a une grande place, ou vous verrez un cul-de-sac. — Par lequel je passerai 1 — Non, car il n'y a pas d'issue. Vous le laisserez a droite, et vous passerez sous les arcades qui sont a cote. — Et puis ? — Et puis vous demanderez. — Je vous suis fort oblige. — II n'y a pas de quoi. — Pouvez-vous traduire une lettre anglaise en franc ais 1 — Je le puis. — Qui vous l'a appris ? — Mon maitre de francais m'a mis en etat de le faire. 225* — Deux cent-vingt-cinquieme Thime. Pourquoi Madame votre mere s'inquiete-t-elle ? — Elle s r :n- quiete de ne pas recevoir de nouvelles de son rils qui est a l'armee. — Elle n'a pas besoin de s'inquieter de lui, oar toute? les fois qu'il s'attire de mauvaises affaires, il sait s'en tirer. L'ete dernier, quand nous etions ensemble a la chasse, la nuit nous surprit a dix lieues au moins de notre maison de cam- pagne. — Eh bien, ou passates-vous la nuit ? — J'etais d'abord tres-inquiet, mais votre frere pas le moins du monde ; au con- traire, il me tranquillisait, de sorte que je perdis mon inquie- tude. Xous trouvames enfin une cabane de paysan, ou nous passames la nuit. La j'eus occasion de voir combien votre frere est habile. Quelques bancs et une botte de paille lui servirent a faire un lit commode ; une bouteille lui servit de chandelier, nos gibecieres nous servirent d'oreillers et nos cravates de bonnets de nuit. Quand nous nous eveillames le matin, nous etions aussi frais et bien portants, que si nous avions dormi sur le duvet et sur la soie. — Un candidat deman- dait au roi de Prusse un emploi. Ce prince lui demanda ou il etait ne. '' Je suis ne a Berlin,'' repondit-il. " Allez-vous- en," dit le monarque, " tous les Berlinois ne sont bons a rien.'" u Je demande pardon a votre majeste," repliqua le candidat, "il y en a de bons, et j'en connais deux." "Qui sont ces deux?'* demanda le roi. " Le premier," repliqua le candidat " c'est votre majeste, et le second c'est moi." Le roi ne put s ? empecher de rire de cette reponse, et accorda la demande. 14 158 EXERCISES CCXXVI, CCXXVII. 226. — 'Deux cent-vingt-sixieme Theme. Un voleur etant entre un jour dans ime pension, vola trois manteaux. En sortant il fut rencontre par un pensionnaire qui avait un beau manteau galonne. En voyant tant de manteaux, il demanda a cet homme ou il les avait pris. Le voleur repondit froidement qu'ils appartenaient a trois messieurs de la maison qui les lui avaient donnes a degraisser. " Degraissez done aussi le mien, car il en a grand besom," dit le pensionnaire ; " mais," ajouta-t-il, " il faut me le rendre a trois heures." " Je n'y manquerai pas, Monsieur," repondit le voleur, en en> portant les quatre manteaux qu'il n'a pas encore rapportes. — Vous chantez, Messieurs, mais il ne s'agit pas de chanter ; vous devriez vous taire et ecouter ce qu'on vous dit. — Nous sommes embarrasses. — Quel est votre embarras ? — Je vais vous le dire : il s'agit de savoir comment nous passerons notre temps agreablement. — Faites une partie de billard ou une par- tie d'echecs. — -Nous nous sommes propose d'aller a une partie de chasse ; etes-vous des notres ? — Je ne puis, car je n'ai pas encore fait mon devoir, et si je le neglige, mon maitre me grondera. — Chacun a son gre ; si vous aimez mieux rester a la maison que d'aller a la chasse, nous ne saurions vous en empecher. — Monsieur B. vient-il avec nous? — Peut-etre. — Je n'aimerais pas a aller avec lui, car il est trop bavard. A cela prcs il est honnete homme. Qu'avez-vous? vous avez Fair fache. — J'ai lieu d'etre fache\ car il n'y a pas moyen de se procurer dexl'argent a present. — \\ ■( z-\ ous 6t& chea Monsieur A. ? — J'ai ete chez lui, mais il ny a pas nuiycn de lui en emprunter. Je me doutais bien qu'il ne m'en preterait pas, voila pourquoi je n'ai pas voulu lui en demander; et si vous ne m'aviez pas dit de le faire, je no me Bends p:«s expose a un rcfus. 227 . — l)(ux cent-vingt*septiime Theme jV ww doutais bien que vous aunez soif etque Mademoiselle rotre mbut aurait faim; \oila pourquoi je vous ai amenes ici. EXERCISE ccxxvin. 159 — Je suis fache pourtant de ne pas voir Madams voire mere. — - Pourquoi ne prenez-vous pas votre cafe ? — -Si je n'avais pas sommeil, je le prendrais* — Tantot vous avez sommeil, tantot froid, tantot chaud, et tantot quelque autre chose. Je crois que vous pensez trop au malheur qui est arrive a votre amie. — Si je n'y pensais pas, qui y penserait ? — A qui Monsieur votre frere pense-t-il ? — II pense a moi ; car nous pensons toujours Fun a F autre, quand nous ne sommes pas ensemble. J'ai vu aujourd'hui six joueurs qui gagnaient tous en meme temps. — Cela ne se peut; car un joueur ne peut gagner que lorsqu'un autre perd. — Vous auriez raison si je parlais de joueurs de cartes ou de billard ; mais je parle de joueurs de flute et de violon. — Faites-vous quelquefois de la musique ? — Tres-souvent, car je l'aime beaucoup.— De quel instrument jouez-vous ?— Je joue du violon et ma soeur joue du clavecin. Mon frere qui joue de la basse nous accompagne, et Mademoi- selle Stolz nous applaudit quelquefois. — Ne joue-t-elle pas aussi ,de quelque instrument de musique 1 — Elle joue de la harpe, mais elle est trop fiere pour faire de la musique avec nous. — Une ville assez pauvre fit une depense considerable en fetes et en illuminations a Poccasion du passage de son prince. Celui-ci en parut lui-meme etonne. " Elle n'a fait," dit un courtisan, " que ce qu'elle devait." " Cela est vrai," reprit un autre, " mais elle doit tout ce qu'elle a fait." 2%8.—Deux cent'vingt-huitieme Theme* Avez-vous fait votre composition francaise ? — Je l'ai faite. — Yotre instituteur en a-t-il ete content ? — II ne Fa pas ete. J'ai beau faire de mon mieux, je ne puis rien faire a son gre. — Vous avez beau dire, personne ne vous croira. — Pouvez-vous, sans vous gener, me preter cinq cents francs? — Comme vous en avez toujours bien use avec moi, j'en userai de meme avec vous : je vous preterai Fargent qu'il vous faut, mais a condition que vous me le rendrez la semaine prochaine.— Vous pouvez y compter. — Comment mon fils s'est-il comporte envers vous ? — II s'est bien comporte envers moi, car il se comporte bien envers tout ]e monde. Son pere lui disait souvent : " La con 160 EXERCISE CCXXIX. iluite dcs autres n'est qu'un echo de la notre. Si nous nou* comportons bien envers eux, ils se comporteront bien aussi envers nous ; mais si nous en usons mal avec eux, nous ne devons pas attendre mieux de leur part." — Puis-je voir Mes- sieurs vos freres ? — Yous les verrez demain. Comme ils ne font que d'arriver d'un long voyage, il leur tarde de dormir, car ils sont tres -fatigues. — Ma soeur qu'a-t-elle dit? — Elle a dit qu'il lui tardait de diner parce qu'elle avait grand' faim. — Etes-vous bien a votre pension ? — J'y suis tres-bien. — Avez- vous fait part a Monsieur votre frere de ce que je vous ai dit ? — Comme il etait tres-fatigue, il lui tardait de dormir, de sorte que j'ai remis a demain a lui en faire part. 220* — Deux cent-vingt-neuvieme Theme. J'ai l'honneur de vous souhaiter le bonjour. — Comment vous portez-vous ? — Tres-bien, a vous rendre mes devoirs. — Et comment se porte-t-on chez vous ? — Assez bien, Dieu merci. — Ma soeur a ete un peu indisposee, mais elle est retablie ; elle m'a charge de bien des compliments pour vous. — Je suis charme d'apprendre qu'elle se porte bien. Quant a vous, vous etes la sante meme ; vous avez la meilleure mine du monde. — Je n'ai pas le temps d'etre malade ; mes affaires ne me le permettraient pas. — Donnez-vous la peine de vous asseoir ; voici une chaise. — Je ne veux pas vous distraire de vos occu- pations ; je sais que le temps est precieux a un negociant. — Je n'ai rien de presse a faire maintenant ; mon courrier est deja expedie. — Je ne m'arreterai pas davantage. J'ai voulu seule- rnent, en passant par ici, m'informer de votre sante. — Yous me faites bcaucoup d'honneur. — II fait bien beau temps aujour- (rhui. — Si vous le permettez, j'aurai le plaisir de vous revoir cetto apres-dinee, et si vous avez le temps, nous irons faire un p tit tour ensemble. — Avec le plus grand plaisir. — Dans ce cas je \ous attendrai. — Je viendrai vous prendre vers les sept hemes. —Adieu done-, au revoir. — J'ai rhonncur de vous saluer. EXERCISES CCXXX, OCX XXI. 161 230. — Deux cent-trentieme Theme. La perte du temps est une perte irreparable. — On ne peut plus recouvrer une seule minute pour tout l'or du monde. II est done de la derniere importance de bien employer le temps qui ne consiste qu'en minutes, dont il faut tirer parti. On n'a que le present ; le passe n'est plus rien et l'avenir est incei- tain. — Une infinite d'hommes se ruinent a force de vouloir se faire du bien. Si la plupart des hommes savaient se contenter de ce qu'ils ont, ils seraient heureux ; mais leur avidite les rend assez souvent malheureux. Pour etre heureux, il faut oublier le passe, ne pas s'inquieter de l'avenir, et jouir du pre- sent. — J'etais fort triste lorsque mon cousin vint chez moi. " Qu'avez-vous ?" me demanda-t-il. " Ah ! mon cher cousin," lui repondis-je, " en perdant cet argent, j'ai tout perdu." " Ne vous inquietez pas," me dit-il, " car j'ai trouve votre argent." 231. — Deux cent-trente et unieme Theme. Pourquoi avez-vous joue un tour a cet homme ? — Parce qu'il trouve toujours a redire a tout ce qu'il voit. — Qu'est-ce que cela veut dire, Monsieur ? — Cela veut dire que je n'aime pas a faire des affaires avec vous, parce que vous y regardez de trop pres. — Je voudrais bien savoir pourquoi votre frere n'a pas fait son devoir. — II etait trop difficile. II a veille toute la nuit et n'a pas pu le faire, parce que ce devoir etait hors de sa portee. — Aussitot que M. Flausen me voit, il commence a par- lor anglais pour s'exercer, et me comble d'honnetetes, de sorte que souvent je ne sais que lui repondre. Ses freres en font autant: cependant ils ne laissent pas d'etre de fort bonne gens ; non seulement ils sont riches et aimables ; mais ils sont aussi genereux et bienfaisants. lis m'aiment sincerement ; e'est pourquoi je les aime aussi, et par consequent je ne dirai jamais rien a leur desavantage. Je les aimerais encore davantage, s'ils ne faisaient pas tant de ceremonies ; mais chacun a sea iefauts, et le mien, e'est de trop parler de leurs ceremonies. 14* 162 EXERCISES CCXXXII, CCXXXIII 232» — Deux cent-trente-dcuxiime Thetme. Les ennemis se sont-ils rendus ? — lis ne se sont pas rendus, car ils ne preferaient pas la vie a la mort ; ils n'avaient ni pain, ni viande, ni eau\ ni amies, ni argent, et nonobstant ils ont mieux aime mourir que de se rendre. — Pourquoi etes-vous si triste ? — Yous ne savez pas ce qui m'inquiete, ma chere amie. — Dites-le-moi ; car je vous assure que je partage vos peines aussi bien que vos plaisirs. — Je suis sure que vous prenez part a mes peines, mais je ne puis vous dire en ce moment ce qui m'inquiete. Je vous le dirai cependant a l'Gccasion. Parlons d'autre chose (changeons de discours) maintenant. Que pen- sez-vous de Fhomme qui nous parla hier au concert 1 — C'est un homme de beaucoup d'esprit, et il n'est pas du tout infatue de son merite. Mais pourquoi me demandez-vous cela? — Pour parler de quelque chose. — On dit : Contentement passe richesse ; soyons done toujours contents. Partageons ce que. nous avons et demeurons toute notre vie amis inseparables. Yous serez toujours le bienvenu chez moi, et j'espere l'etre aussi chez vous. Si je vous voyais heureux je le serais aussi, et nous serions plus contents que les plus grands princes, qui ne le sont pas toujours. Nous serons heureux quand nous serons parfaitement contents de ce que nous avons ; et si nous faisons bien notre devoir, le bon Dieu aura soin du reste. Le passe n'etant plus rien, ne nous inquietons pas de l'avenir, et jouissons du present. 233. — Deux ccnt-trentC'troisicmc Theme. Regardez, Mesdames, ces belles fleurs au teint si frais et si 6clatant; elles ne boivent que de l'eau. Le lis blanc a la couleUT de l'innocence; la violettc marque la douceur; on peut J;i voir dans les yni\ do Louise. La germandree a la couleur du ciel, notre demeure future, et la rose, la reine des fleurs, est L'embldme de la beaute et de la joio. On voit tout cela per- sonnilio, on royanl la belle Anudio. C^ik^ la verdure fraiche est hollo' Elle fail du bien a nos yeux, et (die a la couleur de EXERCISE CCXXXIV. 1G3 Fesperance, notre amie la plus fidele, qui ne nous quitte ja- mais, pas meme a la mort. — Encore un mot, mon cher ami. — Que vous plait-il ?— J'ai oublie de vous prier de faire mes compliments a Madame votre mere. Dites-lui, s'il vous plait, que je regrette de ne m'etre pas trouve a la maison, lorsque dernierement elle m'honora de sa visite. — Je vous remercie de sa part, je ny manquerai pas. — Adieu done. 234. — Deux cent-trente-quatrieme Theme. Mademoiselle votre soeur est-elle sortie aujourd'hui ? — Elle est sortie pour faire quelques emplettes. — Qu'a-t-elle achete 1 — Elle s'est achete une robe de soie, un chapeau de velours, et un voile de dentelle. — Qu'avez-vous fait de mon pot d'ar- gent ? — II est sur la table de cuisine avec la bouteille a l'huile, le pot au lait, le pot a l'eau, le pot a moutarde et le moulin a cafe. — Demandez-vous une bouteille a vin 1 — Non, je demande une bouteille de vin et non pas une bouteille a vin. — Si vous vou- lez avoir la bonte de me donner la clef de la cave au vin, j'irai en chercher une. — Cet homme qu'exige-t-il de moi? — II n'exi- ge rien ; mais il acceptera ce que vous lui donnerez, car il manque de tout. — Je vous dirai que je ne l'aime pas, car sa conduite fait naitre des soupcons dans mon esprit. II outre tout ce qu'il dit et tout ce qu'il fait. — Yous avez tort d'en avoir si mauvaise opinion, car il vous a tenu lieu de pere. — Je sais ce que je dis. II m'a trompe en petit et en grand, et toutes les fois qu'il vient me voir, il me demande quelque chose. C'est ainsi qu'il m'a demande tour a tour tout ce que j'avais : mon fusil de chasse, ma ligne a pecher, ma roontre a repetition et mes chandeliers d'or. — Ne vous abandonnez pas tant a la dou- leur, sinon vous me ferez fondre en larmes. Democrite et Heraclite etaient deux philosophes d'un carac- tere bien different : le premier riait des folies des hommes, et l'autre en pleurait. — lis avaient raison tous deux, car les folies des hommes meritent qu'on en rie et qu'on en pleure. 164 EXERCISES CCXXXV, CCXXXV1. 235. — Deux cent-trentc-cinquieme Theme. Avez-vous vu Mademoiselle votre niece 1 — Oui, c'est uno tres-bonne fille qui ecrit bien et qui parle encore mieux le francais : c'est pourquoi elle est aimee et honoree de tout le monde. — Et son frere, que fait-il? — Ne me parlez pas de lui, (ne m'en parlez pas ;) c'est un mechant garcon, qui ecrit tou- jours mal et qui parle encore plus mal le francais : aussi n'est- il aime de peisonne. II aime beaucoup les bons morceaux ; mais les livres, il ne les aime pas. Quelquefois il se met au lit en piein jour, et se dit malade ; mais, quand on se met k table, il est ordinairement retabli. II doit etudier la medecine, mais il n'en a aucune envie. II parle presque toujours de ses chiens qu'il aime passionnement. Son pere en est extreme- ment fache. Le jeune imbecile dit dernierement a sa soeur: " Je me ferai enroler, aussitot que la paix sera publiee." Mon cher pere et ma chere mere dinerent hier avec quel- ques amis au roi d'Espagne. — Pourquoi parlez-vous toujours anglais et jamais francais ? — Parce que je suis trop timide. — Vous plaisantez ; est-ce qu'un Anglais est jamais timide ? — J'ai grand appetit: donnez-moi quelque chose de bon a manger. — Avez-vous de l'argent ? — Non, Monsieur. — Alors je n'ai rien a manger pour vous. — Ne me donnez-vous pas a credit? j'cngagc mon honneur. — C'est trop peu. — Comment, Monsieur! 23G. — Deux ccnt-trcnte-sixidme Theme. Voulcz-vous me raconter quelque chose 1 — Que voulez-vous que je vous raconte ? — Une petite anecdote, si vous voulez. — 1 n petit garcon demandait un jour a table de la viande ; son pire lui dii qu'il n'Stait pas honnete d'en demander, et qu'il devait attendre qu'on lui en donn&t. Le pauvre petit gargon, voyanl que tout le monde mangeaitet qu'onne lui donnait rien, dil ;i sou j.irc : k Mon cher p^re, donnez-moi, s'il vous plait, un pen de sel." " Qu'en veux-tu faire .'" demanda le pere. u C'eBl pour le manger ar«c la viande que vous me donnerez," repliqua PenfaAt. Tout le monde admira l'esprit du petit gar- EXERCISE CCXXXVII. 165 con, et son pere, s apercevant qu'il n'avait rien, lui donna de la viande, sans qu'il en demandat. — Qui etait ce petit garcon, qui demanda de la viande a table ? — C'etait le fils d'un de mes amis. — Pourquoi demanda-t-il de la viande? — II en demanda parce qu'il avait bon appetit. — Pourquoi son pere ne lui en donna-t-il pas de suite ? — Parce qu'il l'avait oublie. — Le petit garcon eut-il tort d'en demander ? — II eut tort, car il aurait du attendre. — Pourquoi demanda-t-il du sel a sor pere? — II de- manda du sel, pour que son pere s'apercut qu'il n'avait pas de viande ; et qu'il lui en donnat. Youlez-vous que je vous raconte une autre anecdote ? — Vous m'obligerez beaucoup. — Un homme faisant des emplettes chez un marchand, lui disait: " Yous me surfaites trop ; vous ne devriez pas me vendre aussi cher qu'a un autre, puisque je suis des amis de la maison." Le marchand repliqua : " Mon- sieur, il faut que nous gagnions quelque chose avec nos amis, car nos ennemis ne viendront jamais chez nous." 237* — Deux cent-trente-septieme Theme. Un jeune prince, age de sept ans, etait admire de tout le monde a cause de son esprit ; se trouvant un jour en societe d'un vieil officier, celui-ci observa, en parlant du jeune prince, que quand les enfants avaient tant d'esprit dans les premieres annees, ils en ont ordinairement fort peu quand ils sont avances en age. " En ce cas," dit le jeune prince, qui l'avait entendu, " iL faut que vous ayez eu infiniment d'esprit dans votre en- fance." Un Anglais, a sa premiere visite en France, rencontra dans les rues de Calais un fort jeune enfant qui parlait le francais couramment et avec elegance. " Mon Dieu ! est-il possible,*' s'ecria-t-il, " que meme les enfants ici parlent francais avec purete ?" Rechorchons l'amitie des bons et evitons la societe des me- diants ; car les mauvaises societes corrompent les bonnes mceurs. — Quel temps fait-il aujourd'hui ? — II neige toujours comme il neigea hier, et selon toute apparence il neigera aussi demain. — Qu'il neige ; je voudrais qu'il neigeat encore plus, 166 EXERCISE CCXXXVIII. car je me porte toujours tres-bien quand il fait tres-froid. — E moi, je me porte toujours tres-bien quand il ne fait ni froid m chaud. — II fait trop de vent aujourd'hui, et nous ferions mieux de rester a la maison. — Quelque temps qu'il fasse, il faut que je sorte ; car j'ai promis d'etre chez ma soeur a onze lieures et un quart, et il faut que je tienne parole. 238» — Deux cent-trente-huitieme Theme. M. de Turenne ne voulait jamais rien acheter a credit chez les marchands, "de peur," disait-il, " qu'ils n'en perdissent une grande partie, s'il arrivait qu'il fut tue." Tous les ou -i'ers qu'il employait dans sa maison, avaient ordre d'apporter leurs memoires, avant qu'il se mit en campagne, et ils etaient payes regulierement. Vous ne serez jamais respecte, a moins que vous n'abandon- niez la mauvaise compagnie que vous frequentez. — Vous ne pourrez finir votre travail ce soir, a moins que je ne vous aide. — Je vous expliquerai toutes les difficultes, afin que vous ne vous decouragiez pas dans votre entreprise. — Suppose que vous per- diez vos amis, que deviendriez-vous ? En cas que vous ayez besoin de mon assistance, appelez-moi, je vous aiderai. — Un homme sage et prudent vit avec economie quand il est jeune, afin qu'il jouisse du fruit de son travail, quand il sera vieux. — Portez cet argent a M. N. afin qu'il puisse payer ses dettes. — Voulez-vous me preter cet argent ? — Je ne vous le preterai pas, a moins que vous ne me promettiez de me le rendre le plus tot que vous pourrez. — Le general est-il arrive? — II arriva hier matin an camp, las et harasse, mais tres a propos; il donna de suite sos ordres pour engager Taction, quoiqu'il n'eut pas encore toutes ses troupes. — Mesdemoiselles vos soeurs sont- ellos heuieuses? — Elles ne le sont pas, quoiqu'elles soient riches, parce qu'elles ne sont pas contentes. Bien qu'elles aient bonne m6moire, cela ne suilit pas pour apprendre quel- que langue que c< i Boil ; il faut qu'elles (assent usage de leur jugement — Regardea comme cette dame est aimable; quoi- qu'elle n'ail \)ns de fortune, je ne Yen aime pas moins. — You- lt}z-vnus me prdter rotre violon ? — Je vous le preterai, pourvu EXERCISE CCXXXIX. 16/ que vous me le rendiez ce soir. — Madame votre mere viendra- t-elle me voir? — Elle viendra, pourvu que vous promeltiez de la mener au concert. — Je ne cesserai de Fimportuner jusqu'a ce qu'elle m'ait pardonne. — Donnez-moi ce canif. — Je vous le donnerai, pourvu que vous n'en fassiez pas mauvais usage. — Irez-vous a Londres ? — J'irai, pourvu que vous m'accompa- gmez ; et je recrirai a Monsieur votre frere, en cas qu'il n'ait pas recu ma lettre. 239. — Deux cent-trente-neuviime Theme, Ou etiez-vous pendant 1'afFaire ? — J'etais au lit a faire panser mes blessures. Plut a Dieu que j'y eusse ete ! J'aurais v^ulu vaincre ou perir. — On evita la bataille de peur que nous ne fussions pris, leurs forces etant superieures aux notres. — A Dieu ne plaise que je blame votre conduite ; mais vos affaires ne seront jamais faites comme il faut, a moins que vous ne les fassiez vous-meme. — Partirez-vous bientot? — Je ne partirai pas, que je n'aie dine. — Pourquoi m'avez-vous dit que mon pere etait arrive, quoique vous sussiez le contraire ? — Vous etes si prompt que, pour peu qu'on vous contrarie, vous vous empor- tez en un instant. Si votre pere n'arrive pas aujourd'hui, et que vous ayez besoin d'argent, je vous en preterai. — Je vous suis fort oblige. — Avez-vous fait votre devoir? — Pas tout-a- fait ; si j'avais eu le temps, et que je n'eusse pas ete si inquiet de l'arrivee de mon pere, je l'aurais fait. — Si vous etudiez et que vous soyez attentif, je vous assure que vous apprendrez la langue francaise en tres-peu de temps. Celui qui veut ensei- gner un art, doit le connaitre a fond ; il faut qu'il n'en donne que des notions precises et bien digerees ; il faut qu'il les fasse entrel une a une dans l'esprit de ses eleves, et surtout qu'il ne surcharge pas leur memoire de regies inutiles et insi- gnifiantes. Mon cher ami, pretez-moi un louis. — En voici deux au lieu d'un. — Que d'obligations je vous ai ! — Je suis toujours bien aise quand je ^ous vois, et je trouve mon bonheur dans le vo- tre. — Cette maison est-elle a vendre ? — Voulez-vous l'acheter ? — Pourquoi non ? — Pourquoi Mademoiselle votre soeur ne parle 168 EXERCISE CCXL. t-elle pas ? — Elle parlerait si elle n'etait pas toujours si dis» traite. — J'aime les jolies anecdotes : elles assaisonnent la conversation et amusent tout le monde. — Je vous prie de m'en raconter quelques-unes. — Voyez, s'il vous plait, page cent* quarante-huit du livre que je vous ai prete, et vous en trouve rez. *24cO*—Deux cent-quarantieme Tteme. II faut que vous ayez patience, quoique vous n'en ayez pas envie, car il faut que j'attende aussi jusqu'a ce que je recoive mon argent. En cas que je le recoive aujourd'hui, je vous paierai tout ce que je vous dois. Ne croyez pas que je Paie oublie, car j'y pense tous les jours. Ou croyez-vous peut-etre que je l'aie deja recu ? — Je ne crois pas que vous Fayez deja recu ; mais je crams que vos autres creanciers ne l'aient deja recu. — Vous voudriez avoir plus de temps pour etudier et vos freres voudraient n'avoir pas besoin d'apprendre. — Plut a Dieu que vous eussiez ce que je vous souhaite, et que j'eusse ce que je desire. Quoique nous n'ayons pas eu ce que nous souhai- tons, nous avons presque toujours ete contents, et Messieurs B. out presque toujours ete mecontents, quoiqu'ils aient eu tout ce done un homme raisonnable peut se contenter. — Ne croyez pas, Madame, que j'aie eu votre eventail. — Qui vous dit que je le croie ? — Mon beau-frere voudrait ne pas avoir eu ce qu'il a eu. — Pourquoi ? — II a toujours eu beaucoup de crean- ciers et point d'argent. — Je desire que vous me parliez tou- jours francais, et il faut que vous m'obeissiez, si vous voulez L'apprendre, et que vous ne vouliez pas perdre votre temps in- utilement. je voudrais que vous fussiez plus assidu et plus attentif quand je vous parlc. Si je n'etais pas votre ami, et que vous he fussiez pas le mien, je ne vous parlerais pas ainsi. — Mefiez-vous de M. N., car il vous flatte. Pensez-vous qu'un flatteur puisee etre un ami \ — Vous ne le connaissez pas aussi bien que moi, bien cjur vous le voyiez tous les jours. — Ne croyez pas que je sois i'arhe coutre lui, parce que son pere m'a oileuse ! — Oh ! Je voila qui vieut ; vous pouvez tout lui dire vous-nieme. EXERCISE CCXLt. 169 24 1« — Deux cent-quarante et uni£me Thhne. Que pensez-vous de notre roi ? — Je dis que e'est un grand homme, mais j'ajoute que, quelque puissants que soient les rois, ils meurent aussi bien que le plus vil de leurs sujets. — Avez- vous e'te content de mes sceurs 1 — Je l'ai ete, car quelque laides qu'elles soient, elles ne laissent pas d'etre tres-aimables, et quelque savantes que soient les filles de nos voisines, elles se trompent encore quelquefois. — Leur pere n'est-il pas riche ? — Quelque riche qu'il soit, il peut tout perdre en un moment. — Quelque soit l'ennemi dont vous apprehendez la malice, vous devez vous reposer sur votre innocence ; mais les lois con- damnent tous les criminels, quels qu'ils soient. — Quelles que soient vos intentions vous auriez du agir difTeremment. — Quel- ques raisons que vous m'alleguiez, elles n'excuseront pas votre action, blamable en elle-meme. — Quelque chose qui vous arrive dans ce monde, ne murmurez jamais contre la divine provi- dence, car quelque chose qu'on souffre, on le merite. — Quelque chose que je fasse, vous n'etes jamais content. — Quoi que vous disiez, vos sceurs seront punies si elles le meritent, et si elles ne tachent pas de s'amender. — Qui est-ce qui a pris ma montre en or? — Je ne le sais pas. — Ne croyez pas que je l'aie eue, ou que Mademoiselle C. ait eue votre tabatiere d'argent, car j'ai vu Tune et l'autre dans les mains de Mademoiselle votre soeur, lorsque nous jouions au gage touche. — Demain je partirai pour Douvres, mais dans quinze jours je reviendrai, et alors je viendrai vous voir, vous et votre famille. — Ou votre soeur est- elle a present ? — Elle est a Paris, et mon frere est a Berlin. — On dit que cette petite femme doit epouser le general K., votre ami ; est-ce vrai ? — Je n'en ai pas entendu parler. — Quelles nouvelles y a-t-il de notre grande armee ? — On dit qu'elle est entre le Weser et le Rhin. — Tout ce que le courrier m'a dit paraissant tres-vraisemblable, je me rendis de suite au logis, j'ecrivis quolques lettres et partis pour Londres, 15 170 EXERCISES CCXLII, CCXLIII. 242* — Deux cent-quarante-deuxiime Th&me. Ou irez-vous l'annee prochaine ? — J'irai en Angleterre, cai c'est un beau royaume, ou je compte passer 1'ete a mon retoui de France.— Ou irez-vous l'hiver ? — J'irai en Italie et de la aux Indes occidentales ; mais avant cela, il faut que j'aille en Hollande prendre conge de mes amis. — Quel pays ces peuples habitent-ils ? — lis habitent le midi de l'Europe ; leurs pays s'appellent l'ltalie, l'Espagne et le Portugal, et eux-memes sont Italiens, Espagnols et Portugais ; mais les peuples qu'on ap^ pelle les Russes, les Suedois et les Polonais habitent le nord de l'Europe, et les noms de leurs pays sont la Russie, la Suede et la Pologne. La France est separee de l'ltalie par les Alpes, et de l'Espagne par les Pyrenees. — Quoique l'usage du vin soit defendu aux Mahometans, quelques-uns d'entre eux ne laissent pas d'en boire. — Monsieur votre frere a-t-il mange quelque chose ce matin 1 — II a beaucoup mange ; bien qu'il ait dit qu'il n'avait pas bon appetit, il n'a pas laisse de manger toute la viande, tout le pain et tous les legumes, et de boire tout le vin, toute la biere et tout le cidre. — Les ceufs sont-ils chers a present 1 — lis se vendent six francs le cent. — Aimez- vous le raisin ? — J'aime non seulement le raisin, mais aussi ]es prunes, les amandes, les noix et toute espece de fruits. — Bien que la modestie, la candeur et l'amabilite soient des qualites precieuses, il y a cependant des dames qui ne sont ni modestes, ni candides, ni aimables. — La crainte de la mort et l'amour de la vie etant naturels a l'homme, on doit fair le vice et s'at- tacher a la vertu. 243. — Deux ccnt-quarante-troisidme Th£me. Voulez-vous prendre une tasse de cafe ? — Je vous remercio, je n'aime pas le cafe. — Alors vous prendrez un verre de vin? — Je viens d'en boire. — Allons faire un tour de promenade. — Je le veux bien ; mais ou irons-nous ? — Venez avec moi an jardin de ma tante, nous y trouverons une societe tres-agreable. — Je le crois bien ; mais as success- fully piv^ecuted the system of teaching practised by Ollendorff; and is the author of Ollendorff's First Lessons in French. The ' Companion' consists of Dialogues and a Vocabulary. The study of it is begun as soon as the scholar has learned enough about French verbs to enable him to translate. The dialogues have each prefixed to them a special vocabulary of the new words which occur in the lesson. These special vocabularies are to be committed to memory, as also Jie general vocabulary at the end of the series of lessons. When this is learned, the 6tudent will M Ollendorff's complete French Method," ad bi published In accordance with a very general demand made for a more elementary work ban ill" larger Grammar. • I? 11 believed thai the student who shall take the pains in <:<> carefully through this volume, B the manner suggested In the Directions for studying it, will come to the study of the ' Com- plric Method 1 With a degree of preparation which will render his subsequent progress easy and 'rceable." 19 fimk Mezzofanti's System of Learning Languages applied to the Study of French. IN TWO VOLUMES. FIKST FRENCH READER. With a treatise on French versification, and a dictionary of idiomi, peculiar expressions, etc. BY J. ROEMER, Professor of the French Language and Literature in the N. Y. Free Academy. 12mo. $1. SECOND FRENCH READER. ILLUSTRATED WITH HISTORICAL, GEOGRAPHICAL, PHILOSOPHICAL, AND PHILOLOGICAL NOTES. BY J. ROEMER. 12mo. 81 25. " With \ifi exception of our own tongue, French is undoubtedly the most important Ian. guage of the modern world. Commerce, literature, science, and the fine arts, all demand ita aid. It therefore is justly classed with the numerous branches of knowledge essential to a good education. " The work now before us is an amplification of the system pursued by the late Cardinal Mezzofanti, applied to the French language. Professor Roemer, who is favorably known in connection with the Free Academy of this city, was personally acquainted with this extraor- dinary linguist, and received from him the details of his successful mode of study." u We approve highly of the method so ably advocated by Professor Roemer ; it is simple, encouraging in its nature, and more likely to conduct the student to a sound knowledge of the structure of the language than any other with which we are acquainted. The introductory remarks on the history and analogies of the French language are practical and suggestive. An admirable treatise on French versification (generally neglected in tuition), and a copious dictionary of idioms, &c, are very important features in the work. The progressive reading exercises, in prose and verse, have been selected with great taste, and justly claim for the volume the additional merit of being highly interesting even to those who have mastered the language, and now cultivate its literature. We cannot close our notice of this excellent work more appropriately, than by recommending it as being well worthy of the attention of all those who are interested in educational progress and the simplification of valuable knowledge." —Journal of Commerce. NEW POETICAL FRENCH READER. CHOIX DE POESIES POUR LES JEUNES PEESO^TXES. PAR MADAME A. COUTAN. 1 vol., 12mo. $1. " Choix des Poesies pour les Jeunes Personnes, is the title of a selection of poems in the French language, designed for the perusal of the young, by Madame A. Coutan, just published by Appleton and Company, of this city. It is a very charming collection of some of the sweetest and most graceful verses in the French language. We were hardly aware, till Wc looked over this book, that so many distinguished French authors had contributed to a class of productions, so peculiarly suited to readers of an early age."— Evening Post. THE YOUXG LADIES' GUIDE TO FREXCH COMPOSITION. BY GUSTAVE CHOUQUET. 1 vol., 12mo. F attract from Preface. "This work is intended to serve as a reading and translation book, a text-book on Rhetoric^ and as a manual of French composition and conversation. The treatise on Rhetoric, bemf applicable to all languages, will help to exercise the minds of young ladies in the elaboration m thought, and train their judgments to sound and correct literary triticism." <§imm. OLLENDORFF'S NEW METHOD OF LEARNING TO READ, WRITE, AND SPEAK THE GERMAN LANGUAGE. Reprinted from the Frankfort edition, to which is added a Systematic Outline of thedifferen Parts of Speech, their Inflection and Use, with full Paradigms, and a complete List of the Irregular Verbs. BY GEORGE J. ADLER, A. B., Pnfessor uf German in the University of the City of New-York. One volume, llmo. 81 &X OX A KEY TO THE EXERCISES, in a separate volume. 75 cts. " Ollendorff's new method of Learning to Read, Write, and Speak the German Lan- ■ftuige, with a systematic outline of German Grammar, by George J. Adler, is one of those rare works which leave nothing to be desired on the subjects of which they treat. The learner's dif- ficulties are so fully and exactly provided for, that a constant sense of satisfaction and progress is fell from the beginning to the end of the book. A bare inspection of one of the lesscr.3 will satisfy any one acquainted with the elements of German grammar, that it adapts itself perfectly to his wants. With the systematic outline of grammar by Prof. Adler, the new method is sub- stantially perfect, and it is probably second in its advantages only to residence and intercourse with educated Germans." " The study of the German is becoming so essential a part of an ordinary education, that every work tending to facilitate the acquisition of the language should be welcomed. An Ameri- can edition of Ollendorff has been much wanted. His system is based upon natural principles. tie teaches by leading the student to the acquisition of phrases, from which he deduces the rulte yi the language. The idioms are also carefully taught, and the entire construction of the system is such that, if adhered to with fidelity and perseverance, it will secure such a practical know- icdge of the German as can be acquired by no other mode, so rapidly and thoroughly. We neartily commend the book to all who really wish to understand a tongue which contains sc. many treasures. NEW GRAMMAR FOR GERMANS TO LEARN ENGLISH. OLLENDORFF'S NEW METHOD OF LEARNING TO READ, WRITE, AND SPEAK THE ENGLISH LANGUAGE THROUGH THE MEDIUM OF THE GERMAN; Arranged and adapted for Schools and Private Instruction, BY P. GANDS. One volume, 12mo. Key to the s.^ie, uniform with the above. Price 75 cts. " ivly compilation of the French Grammar after the method of Ollendorff, has made the Ger man public so thoroughly acquainted with this highly practical svstem of instruction, that it will net be necessary to add any further recommendation in this place. It was so universally ac- knowledged and adopted, .that I was induced to compile a similar Grammar for Germans to 5earn English, and I du. this the more willingly because I was urged to do so by many from all quarters. "In carrying out the plan, I endeavored to introduce exe-rises in questions and answers suited to familiar and social conversation, bo as to do away with me antiquated Phrase-books mill in use. The frequent application and repetition of the rules set forth in this book, I have sought to make as free from dull monotony as possible, by giving ( } ie sentences a new '.urn, and by arranging them in different order, *> as not to repeat the same over and over again " A practical routine of instruction carried on for many years, has taught me the wants p* Ac student; I feel therefore perfectly confident in bringing this book before the public. " P. GAND8." 24 si' t , % \-4 A ^ 1 v o ^ v- ' • 4 ,0o. ** ^ , Deacidified using the Bookkeeper proce: Neutralizing agent: Magnesium Oxide Treatment Date: Sept. 2006 & ■% <5> n 7L ^ \0o. V " > ^ ^> \ - \ <& %. x ■ v LIBRARY OF CONGRESS 003 117 637 2 8H IflRRl Ufa HP Hi mwi msm