' ^isnlras, Iqrans anb Ipiritiml longs, | 4 J It ■J { :'s C < WHICH iS£ SE£UED SCITABIE FOB PRENCH SCHOOLS AiND CONGREGATIONS AME IIICA. BY W. L. M 'CALL A, PASTOR OF THE CNION PEESBTTEEIAN CHtlRCU, PHILADELPHIA, (Thirteenth Street, below Spruce.) PHILADELPHIA: ^ING & BAIHD, PRINTERS, No. 9 SANSOM STREET. 1851. ^^^^ 3^0-^ g -«^i^«^^^°-«^^^«^^- g (i^C^ 40652 v^ b^^ FEW SPECIMENS j^Balras/fipns m\ Ifiiritiml longs, WHICH ARE DEEMED SUITABLE FOR FRENCH SCHOOLS AND CONGREGATIONS AMERICA. BY W. L. M'CALLA, PASTOR OF THE UNION PRESBTTERIAN CHURCH, PHILADELPHIA, (Thirteenth Street, below Spruce.) PHILADELPHIA: KING & BAIRD, PRINTERS, No. 9 SANSOM STREET. 18 5 1. Presbyterian Hltf^rical Society 4agnes, at the expense of rhyme. It gives two syllables to viennent ; and to armes it gives sometimes one, and sometimes two. This is the way with all their sa- cred poetry also which has come into my hands. Their excellent hymn, called " The converted malefactor," is to the Common Metre, which has an alternation of lines with eight and six syllables. The latter half of the sixth verse reads Dai-gne m'accorder u-ne part Au c^les-te rojaume. My edition removes this musical Patois of dai-gne, u-ne, and celes-te, and sings the right number of syllables with the right pronunciation. Daigne, Sauveur, m'accorder une part, A ton celeste royaume. To me this way of singing is practi- cable, pleasant and profitable. May the God of the Huguenots make it so to others. CANTIQUE I. Psaume 1. Partie 1. i lignes 10s. 1. Qui au conseil des malins n'a ^t^ Qui n'est au train dcs pdclieurs arrets, Qui au banc des moqueurs n'est point propice, Mais toujours I'dvangile est ses ddlices; 2. II aime la loi, et en est ddsireux ; Certainement celui-la sera heureux ; Et semblera un arbre vert, grand, et beau, Plants au long d'un clair courant ruisseau. 3. Get arbre son fruit en sa saison apporte, Duquel aussi la feuille n'est jamais morte : Vraiment tel homme, et tout ce qu'il fera, Toujours heureux et prospere il sera. DOXOLOGIE. Au Pere, et Fils Divin, et Saint Esprit, Soit honneur, gloire, et louanges infinies ; Un Pieu, qui nous a donnd tous bienfaits, C^l^brez-le dor^navant a jamais. 1* CANTIQUE II. Psaume 1. Partie 2. 4 lignes 10s. 1. De grace les ames perverses ne sont vetues, Mais ils seront tout semblables aux fdtus, Et a la poudre au grd clu vent cliassde, Partant leur mauvaise cause est renversde, 2. En le jugement ; et tous ces reprouv^s, Au rang des bons ne seront point trouves : Car tous les justes I'Eternel connait bien ; II est tres soigneux de ceux qu'il soutient. 3. Les bons auront felicitd qui dure; Quant aux m^chants, qui n'ont ni soin ni cure, De s'amender le chemin qu'ils tiendront, Eux et leur faits en perdition viendront. DOXOLOGIE. Nous louons maintenant et pour toujours, Le Dieu qui est tout-puissant, sage et pur; Le Pere, le Fils, le Saint Esprit Divin, Qui aime sa vraie ^glise " jusqu'a la fin." CANTIQUE III. Psaume 23. 4 lignes 10s. 1. Dieu est mon Berger, sa puissance tres haute Me soutient ; de rien je n'aurais faute : En bercail sur, joignant.les beaux herbages, Coucher me fait, me mene aux clairs rivages. 2. II traite ma vie en douceur tres humaine, Et pour son nom, par sentiers droits me mene, Si surement que quand au val je viendrai, D'ombre noir de mort, mil mal je ne craindrai. 3. Car avec moi tu es a chaque triste heure, . Puis ton baton et ta houlette m'assure : Tu fournis de victuailles ndcessaires, Ma table aux yeux de tous mes adversaires. 4. Tu oincts mon chef d'huile, et en pratiques bonnes, Et jusqu'a I'heure finale pleine coupe me donnes : Mis^ricorde me poursuit et assure XJne habitation celeste pour toujours. CANTIQUE IV. Psaume 27. 4 lignes lis et 4 8s. 1. L'Eternel est ma lumiere et mon salut, De quel ennemi aurai-je peur ? L'appui de ma vie est mon Ami glorieux, De quelle alarm e aurai-je frayeur ? Lorsque les mdchans qui m'injurent m'ont approchd, Se mettant d^vorant ma chair, lis ont broncli